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  • Mutinerie au centre de rétention administrative de Sète (34) : des clandestins tentent de « tendre un piège » aux policiers

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    Les policiers du centre de rétention administrative de Sète ont dû faire face à une mutinerie, rapidement maîtrisée, dans la nuit du 4 au 5 janvier. Après plusieurs épisodes de violence au sein du CRA, le syndicat Unité SGP Police 34 tire la sonnette d’alarme.

    Forte tension au sein du centre de rétention administrative de Sète, dans la nuit du mercredi 4 au jeudi 5 janvier. Les policiers ont dû faire face à un début de mutinerie après l’interception d’un colis. Aucun blessé n’est a déplorer mais du matériel a été dégradé au sein du bâtiment du quai François Maillol.

    […]

     

    Le syndicat demande que les personnes en situation irrégulière qui ont purgé une peine de prison soient directement reconduites à la frontière. “On se retrouve aujourd’hui avec des délinquants chevronnés qui viennent passer jusqu’à 90 jours en centre de rétention administrative. Nous ne sommes pas une prison. Ce n’était pas le rôle de départ des CRA.”

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • l'immigration de masse n'est pas pour rien dans l'actuelle pénurie de médicaments que subissent les Français.

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    Comme pour de bien trop nombreux dysfonctionnements de notre société, l'immigration de masse n'est pas pour rien dans l'actuelle pénurie de médicaments que subissent les Français.
    Surconsommateurs, grisés par la gratuité, revendeurs dans leur pays d'origine, nombre d'immigrés extra-européens ou Français de papiers plombent notre (trop) généreux système d'accès aux soins.
    Dans une période tendue comme aujourd'hui, la préférence nationale pour la délivrance et la vente de médicaments devrait être immédiatement appliquée ; de même que pour les hôpitaux, la sécurité sociale, etc.
    Toutefois, une telle mesure de bon sens ne sera jamais prise par le ramassis de veules cosmopolites qui nous gouvernent.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
    Peut être une image de 1 personne et position debout
     
     
     
     
  • Les jeunes mamans hongroises et les mères de famille de quatre enfants et plus sont exonérées de l’impôt sur le revenu des personnes physiques

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    Auteur : 

    Hongrie – Le directeur politique du cabinet du Premier ministre Viktor Orbán, a fait la promotion des nouvelles politiques natalistes, affirmant que le gouvernement espérait encourager ainsi davantage de jeunes à avoir des enfants.

    « La Hongrie étend ses politiques favorables à la famille« , a-t-il écrit. « A partir de janvier, les femmes qui sont mères avant leur 30e anniversaire seront exonérées de l’impôt sur le revenu des personnes physiques. »

    Les allégements fiscaux font partie des politiques pro-vie et pro-famille du Premier ministre Orbán. En 1956, sous la dictature communiste, la Hongrie a légalisé le meurtre de bébés à naître lors d’avortements pour quelque raison que ce soit au cours du premier trimestre. Depuis lors, plus de 6 millions de bébés à naître ont été avortés. Cependant, les Hongrois ont depuis plusieurs années réélu des dirigeants plus conservateurs, dont le Premier ministre Viktor Orbán et la présidente Katalin Novak, qui soutiennent le droit à la vie des enfants à naître et les valeurs familiales.

    En septembre, le gouvernement avait adopté une ordonnance obligeant les centres d’avortement à faire entendre aux mères les battements de cœur de leur bébé à naître avant qu’elle ne prenne une décision finale concernant la vie de leur enfant.

    Source : medias-presse.info

  • 5 janvier 1945 : bombardement de Royan.

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    Royan bombardé - Patrimoine et inventaire de Nouvelle-Aquitaine - site ...

    1945 : bombardement de Royan.

    A l’aube, la ville était anéantie sous un tapis de bombes larguées par les forces alliées. Plus de 1500 tonnes de bombes ordinaires et 27 tonnes de bombes incendiaires ont été larguées en deux vagues.
    441 morts et plus de 400 blessés.
    Dans le centre, tous les bâtiments publics sont détruits : mairie, port, casino, église, temple, hôpital et marché. Aucun bâtiment allemand n’est touché, les fortifications bétonnées allemandes sont intactes.
    Quelques images de Royan ravagée :

    Sur les bombardements alliés ayant ravagé la France en général, on peut lire notamment deux livres : Les Français sous les bombes alliés d’Andrew Knapp et La France sous les bombes américaines de Jean-Claude Valla.
    Ces bombardements ont fait près de 100 000 morts parmi les civils français ! On n’en parle jamais, contrairement à d’autres choses qui concernent beaucoup moins les Français…

     

    Source : contre-info

  • Pourquoi la crise démographique française devient une urgence nationale : “Contrairement à un discours parfois entendu, l’immigration ne saurait être considérée comme un palliatif commode à la dénatalité”

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    FIGAROVOX/TRIBUNE – La baisse de la natalité aura, sur le long terme, de graves conséquences sur le financement de notre protection sociale et pèsera lourd sur notre croissance économique, alerte le haut fonctionnaire Tristan Claret-Trentelivres.

    Dans l’indifférence presque totale des observateurs, la France est entrée en crise démographique. En octobre 2022, le nombre des naissances a été inférieur de 10 % à celui d’octobre 2021, cette baisse brutale confirmant des chiffres déjà en nette diminution au mois de septembre. S’il est trop tôt pour savoir s’il s’agit d’une baisse durable ou d’un simple point bas, cette chute inquiétante ne constitue pas, tant s’en faut, un coup de tonnerre dans un ciel serein. Depuis 2015, l’indicateur conjoncturel de fécondité (ICF), qui mesure le nombre d’enfants moyen par femme, ne cesse de diminuer, lentement mais sûrement. De 2,0 en 2015, il était de 1,83 en 2021, désormais loin du taux de remplacement de 2,1, permettant de stabiliser la population hors flux migratoires.

    (…) Cas d’école trop peu discutés en France, certains pays développés font face à un véritable effondrement démographique qui pourrait même mettre en cause, à horizon d’un siècle, leur existence nationale. En Corée du Sud, cas extrême de dénatalité où l’ICF atteint 0,8 enfant par femme, chaque génération est appelée en l’absence de rebond à être presque trois fois moins nombreuse que la précédente ce qui, par dynamique exponentielle, conduirait à une division par 27 en l’espace de seulement trois générations, c’est-à-dire une vie d’homme. Bien plus proche de nous, l’Espagne et l’Italie avec un ICF respectivement de 1,19 et 1,25 en 2021, font également face à un véritable mur démographique.

    Même sans effondrement, le déclin démographique accélère le vieillissement de la population, compromettant le financement de la protection sociale et réduisant la croissance potentielle.

    Tristan Claret-Trentelivres

    (…) Contrairement à un discours parfois entendu, l’immigration ne saurait être considérée comme un palliatif commode à la dénatalité. Au vu de l’ampleur des flux nécessaires à moyen terme pour stabiliser la population, elle devrait être durable et massive, ce qui poserait d’évidents problèmes d’intégration et de cohésion sociale, sauf à considérer les êtres humains comme de simples pions interchangeables. Surtout, les effets de la baisse de la population étant exponentiels, les flux nécessaires pour la compenser le seraient aussi, exigeant toujours plus d’immigration, de nouveaux immigrés toujours plus nombreux étant requis pour «payer la retraite» des immigrés précédents. Tel le Moloch, la France devrait ainsi dévorer toujours davantage la substance démographique d’autres pays plus pauvres pour maintenir la sienne. Une telle dynamique, discutable sur le principe, ne serait de toute évidence pas soutenable dès lors que la chute générale de la natalité, y compris dans les pays en développement, ne laissera d’ici quelques décennies que peu de pays disposant d’importants surplus de population.

    (…) Une grande enquête rigoureuse, quantitative et qualitative, pourrait être conduite afin de déterminer la part des différents facteurs limitant le nombre d’enfants des ménages français (prix de l’immobilier, disponibilité des places en crèche, inadaptation des conditions de travail dans les entreprises aux exigences des familles nombreuses, etc.), et tout particulièrement ceux empêchant les couples d’avoir un troisième enfant. En s’appuyant sur ce diagnostic, il appartiendrait alors à nos gouvernants de mettre résolument la politique familiale au service de la relance des naissances. Agissant dans le cadre d’une vision à long terme, garantissant l’avenir même du pays, ils rempliraient ainsi le cœur de la mission de l’État.

    Le Figaro via fdesouche