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  • Allemagne : la police de Berlin devra utiliser le terme “ouest-asiatique” pour désigner les migrants turcs, irakiens ou afghans ; le terme “réfugié” sera aussi remplacé par “personne en quête de protection”

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    Allemagne – La résolution du Nouvel An des fonctionnaires de police la capitale est la suivante : choisir un vocabulaire plus prudent. Dans une recommandation pour un “usage linguistique sensible à la discrimination” (que BILD a pu consulter), on explique aux fonctionnaires quels termes sont “appropriés”.

    ► Ainsi, les policiers doivent dire “ouest-asiatique” au lieu de “originaires de pays du Sud”. Motif : Le terme serait géographiquement imprécis et “connoté négativement par des médias”.

    (…) Le chef du syndicat allemand de la police, Rainer Wendt (66 ans), craint une “dissimulation de la réalité”.

    Wendt à BILD : “A Berlin, il n’est pas rare que de jeunes hommes originaires de Turquie, d’Irak ou du Liban soient impliqués dans des délits”. Si ces personnes sont qualifiées d'”Asiatiques de l’Ouest”, “cela brouille la réalité”.

    ► Le terme de “réfugié” est également “controversé”. Il serait “préférable” pour les policiers de parler de “personnes en quête de protection”.

    Wendt trouve cela irritant. Au vu des problèmes de la police berlinoise – criminalité clanique, islamistes, etc. – de telles recommandations “ressemblent à une moquerie du personnel”.

    (…) Bild via fdesouchehttps://www.fdesouche.com/2023/01/03/allemagne-la-police-de-berlin-devra-utiliser-le-terme-ouest-asiatique-pour-designer-les-migrants-turcs-irakiens-ou-afghans-le-terme-refugie-sera-aussi-remplace-par-personne-en-quete-de/

  • Son djihad en Syrie était financé par son épouse prostituée et il avait prévenu ses amis que s’il revenait en France et croisait un Français, il l’égorgerait

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    Nael, le revenant de Syrie, et Malicia, son épouse prostituée : récit d’un bien curieux djihad

    Mis en examen et écroué le 18 novembre, un Français est soupçonné d’avoir fait partie d’un groupe proche d’Al-Qaïda. Il était financé par son épouse religieuse… qui avait recours à la prostitution.

    Il se fait appeler « Citoyen du monde » sur les réseaux sociaux. Elle, « Inès voilée ». Derrière ces pseudonymes, un jeune homme et une jeune femme, Nael A. et Malicia J., à l’histoire d’amour pour le moins surprenante. Après s’être rencontrés sur une plate-forme de jeux vidéo en ligne, ils ont succombé au coup de foudre et se sont mariés religieusement à distance, par un simple envoi d’enregistrement audio sur la messagerie Signal.

    Un mariage entre deux musulmans ayant chacun une lecture très personnelle du Coran. Où l’on découvre, de part et d’autre, des mensonges originels. À sa dulcinée, Nael A. prétend d’abord vivre en région parisienne. Il se trouve en fait en Syrie, dans les rangs d’un groupe djihadiste proche d’Al-Qaïda. À son époux, Malicia J. justifie ses revenus confortables par le commerce de vêtements. En réalité, elle vend ses charmes à un rythme effréné, en se faisant passer pour une Algérienne qu’elle n’est pas…

    (…)

    Ils ont découvert qu’il avait envoyé à l’un de ses amis en France des photos de lui en train de poser fièrement avec des armes lourdes : kalachnikov, mitrailleuse, pistolet automatique… Sur un autre cliché, il porte une ceinture d’explosifs. « Une fois, je lui ai mis un message pour lui demander des nouvelles et il m’a dit : Je suis parti au front désolé, on a pété des têtes et après on les a pillés, on a tout pris le butin, a confié cet ami de Nael A. aux policiers de la DGSI. Il me disait même : C’est comme ça que ça se passait du temps du prophète. (…) Il m’a également dit que s’il revenait en France et s’il revoyait un Français, il l’égorgerait. »

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Mosquée de Montreuil (93) : pour le Conseil d’Etat, l’exercice du droit de préemption pour agrandir une mosquée et créer une école coranique est conforme à l’intérêt général et n’est pas une atteinte à la laïcité (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    04/01/2023

    Gelé depuis plus de deux ans, le projet d’extension de la mosquée de Montreuil (Seine-Saint-Denis) sort de l’ornière. Fin décembre, le Conseil d’État a annulé l’annulation de la préemption par la mairie du terrain qui jouxte l’édifice de la rue de Rosny. En 2018 et 2020, le tribunal administratif de Montreuil puis la cour administrative d’appel de Versailles (Yvelines) s’étaient prononcés contre cette décision municipale prise en 2017, au motif notamment qu’elle constituait une atteinte à la laïcité.

    Ce que réfute le Conseil d’État : « En premier lieu, le principe constitutionnel de laïcité ne fait pas obstacle à ce qu’une décision de préemption soit prise, dans le respect du principe de neutralité à l’égard des cultes et du principe d’égalité, en vue de permettre la réalisation d’un équipement collectif à vocation cultuelle (…). En revanche, ces dispositions impliquent (…) que la mise en œuvre d’un tel projet soit effectuée dans des conditions qui excluent toute libéralité et, par suite, toute aide directe ou indirecte à un culte », écrivent les magistrats. Autrement dit, le fait que la municipalité prévoit de revendre — et non de donner — ensuite le terrain à la Fédération cultuelle des associations musulmanes de Montreuil (FCAAM) rend possible la préemption.

    Le Conseil d’État considère également que les objectifs « d’augmenter la capacité d’accueil de la mosquée existante pour répondre aux besoins de la communauté musulmane locale ainsi que celle du parc de stationnement assurant l’accueil des fidèles et, d’autre part, de créer des salles de classe, des salles de conférences et une bibliothèque consacrées à l’enseignement religieux » constitue une « opération d’aménagement qui vise l’intérêt général ».

    Le maire (PCF) de Montreuil, qui s’est entretenu ce lundi 2 janvier avec le président de la mosquée, parle « d’une décision importante » : « C’est une première au niveau national, il n’y avait pas de jurisprudence établie sur le sujet. Et cette décision contredit les deux précédentes. Cela nous conforte dans le bien-fondé d’avoir insisté », estime Patrice Bessac, qui se dit « heureux pour Montreuil et heureux d’apporter une solution concrète à la demande légitime d’étendre la mosquée ».

    […]

    En plus d’étendre le parking et d’agrandir l’espace dédié au culte, Maged Osman rêve d’ouvrir un centre socioculturel, avec une médiathèque et des salles d’exposition. Un projet de collège-lycée musulman a également été mentionné. « Tout cela va être rediscuté, c’est à réfléchir avec l’ensemble de la fédération », poursuit-il.

    Le Parisien via fdesouche

  • Un enseignante dans un quartier immigré de Suède : « les élèves disent que je suis sale. Par ‘sale’ ils veulent dire que je suis blanche et chrétienne », «Je pense à porter un gilet pare-balles comme d’autres le font »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    Une enseignante d’une école suédoise située dans une banlieue no-go zone de la ville de Stockholm a affirmé que les élèves la traitent de “sale” parce qu’elle est blanche et chrétienne.

    L’enseignante, âgée d’une soixantaine d’années, travaille depuis des années dans une école de Järva, dans la banlieue de Stockholm, et a déclaré qu’elle était régulièrement harcelée et insultée par les élèves et que certains parents se présentent même aux réunions en portant des gilets pare-balles en raison de la prévalence de la violence armée dans la région.

    “J’ai envisagé de porter un gilet de protection. Tous les autres en ont un. Même les parents viennent aux réunions de développement avec le gilet. Ce n’est pas bizarre, l’arrêt à l’école est juste un parmi d’autres pour eux”, a déclaré l’enseignante au journal Expressen.

    L’enseignante, qui affirme que ses collègues sont tous confrontés aux mêmes problèmes, a déclaré que les élèves l’appellent souvent “sale” : “À l’école, les élèves disent que je suis sale. Par ‘sale’, ils entendent que je suis blanche et chrétienne”, et a ajouté : “Ne me touche pas, tu es sale, ils peuvent crier.”

    Selon l’enseignante, des élèves l’ont même suivie jusqu’à son domicile après qu’elle disciplina un élève de son école. “Il a commencé à me harceler plusieurs fois après que j’ai travaillé jusqu’au le soir. Je ne m’en soucie pas tant que ça, mais il m’a dit ‘faites attention’ et des choses du genre”, a-t-elle déclaré.

    “Je les ai entendus essayer de passer la porte. Ensuite, il y a eu 53 SMS sous-entendant que je devais me méfier, il y avait aussi des photos de moi. Ils ont envoyé des SMS reprenant des chansons de rap”, a-t-elle ajouté.

    Bien qu’elle doive faire face à des menaces, l’enseignante a déclaré qu’elle était bien payée et qu’elle pouvait se permettre de louer un garage pour sa voiture, dans lequel un homme garde son véhicule contre les attaques, car il est trop dangereux pour elle de prendre les transports publics dans la région.

    En 2019, le gouvernement suédois a offert des primes aux enseignants travaillant dans des zones interdites comme Järva afin de les inciter à continuer à travailler dans ces zones ou à accepter les emplois disponibles. L’enseignante qui s’est confiée à Expressen a noté que certains de ses collègues avaient démissionné au fil des ans en raison de la situation de l’école.

    Breitbart à partir d’un article du journal suédois Expressen

  • “La boule au ventre” : Agressions, menaces, insultes… un collège de Blanquefort (33), près de Bordeaux, contraint de fermer ses portes à cause de l’explosion des violences entre élèves

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    Enseignants, surveillants et agents du collège Dupaty de Blanquefort, commune voisine de Bordeaux en Gironde, dénoncent une montée de la violence au sein de leur établissement depuis plusieurs mois. Ils ont décidé de cesser le travail pour “collège en danger” en ce jour de rentrée.

    La dernière bagarre que j’ai vue, quelqu’un s’est retrouvé avec un nez qui saignait” raconte Marius, un autre élève de quatrième. “Il y a beaucoup d’agitation dans la cour, des cris dans les couloirs, des gens qui tapent aux portes” mais lui avoue avoir fini par s’habituer. “Je n’y fais pas plus attention que ça. C’est surtout pour les sixièmes que c’est compliqué”.

    Il évoque aussi une nouvelle pratique qui consiste à donner une tape derrière la tête à celui qui arrive avec les cheveux fraîchement coupés. “Ça fait mal, mais ça va” sourit l’adolescent.

    Ras-le-bol 

    C’est la première fois que l’on fait une telle action. Il y a un ras-le-bol, on est très fatigué“. Sophie Calland est professeure de Lettres. Elle se tient devant le collège avec quelques collègues en grève en ce mardi matin de rentrée. 

    (…) “Il y a trop d’agressions, des crachats, des coups de pied, des cailloux jetés par les fenêtres” affirme cette enseignante rencontrée par notre équipe sur place, Karim Jbali et Jean-François Géa.

    France 3


    Le collège Dupaty, situé à Blanquefort (Gironde), a fermé ses portes ce mardi. Parents et professeurs protestent contre les faits de violences qui règnent à l’intérieur de l’établissement.

    À bout de nerfs. Devant les grilles du collège Dupaty, à Blanquefort (Gironde), parents et professeurs affichaient ce mardi 3 janvier un regard inquiet. Malgré la rentrée des classes en France, cet établissement scolaire n’a reçu aucun élève. Une vingtaine de professeurs souhaitent alerter sur une violence devenue quotidienne dans ce collège. “J’ai la boule au ventre quand je traverse la cour et que je vois ces mouvements de foule. Quand je vois que le seul intérêt des enfants, c’est de provoquer des bagarres ou que le jeu c’est de taper l’autre. […] Il faut leur expliquer que ce n’est pas la norme !”, témoigne une femme auprès de nos confrères de TF1 Info.

    Le personnel enseignant de l’établissement et des jeunes affirment avoir vu le nombre de bagarres entre élèves augmenter sensiblement au sein de l’établissement. À ce point d’ailleurs que des élèves n’osent pas se rendre aux toilettes et évitent certaines zones de la cour de récréation. “On sait qu’il y en a certains qui s’en fichent des sanctions, vu que ce n’est pas assez fort. Et comme il n’y a pas de surveillants, il y en a qui sont capables de faire beaucoup”, témoigne une jeune fille.

    La Dépêche