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  • Vandalisme au sanctuaire de la Flagellation à Jérusalem

    Publié par Guy de Laferrière le 04 février 2023

    Vandalisme au sanctuaire de la Flagellation à Jérusalem

    Hier, un juif a pénétré dans le sanctuaire de la Flagellation, sur la Via dolorosa, à Jérusalem, est allé dans la chapelle de la Condamnation, a renversé la statue du Christ et lui a frappé la tête à coups de marteau. Arrêté par la police, il a crié : « Il ne peut y avoir d’idoles à Jérusalem, qui est la ville sainte. » Puis il a été conduit à l’hôpital pour une « évaluation psychiatrique »…

    Communiqué de la Custodie de Terre Sainte suite au vandalisme du jeudi 2 février :

    Aujourd’hui à 8h30 du matin, un extrémiste juif est entré dans l’église de la Flagellation, qui est la première étape de la Via Dolorosa, dans la vieille ville de Jérusalem. L’homme a démoli la statue de Jésus et a dégradé le visage de la statue. Après avoir été immobilisé par le portier du sanctuaire, la police est arrivée et l’a arrêté.

    Il s’agit du cinquième incident survenu ces dernières semaines. Pas plus tard que la semaine dernière, des touristes ont été attaqués par un groupe de juifs religieux qui sont entrés dans la Porta Nuova. Ils ont vandalisé la Nouvelle Porte, près du siège de la Custodie de Terre Sainte, jetant des chaises, des tables et des verres et transformant le quartier chrétien en champ de bataille.

    Il y a environ deux semaines, un cimetière chrétien de Jérusalem a été vandalisé, des graffitis “Mort aux chrétiens” ont été inscrits sur les murs d’un monastère du quartier arménien et des locaux utilisés comme église dans le centre maronite de Ma’alot ont été vandalisés.

    Nous suivons avec préoccupation et condamnons fermement cette série croissante d’actes graves de haine et de violence contre la communauté chrétienne en Israël. Ce n’est pas un hasard si la légitimation de la discrimination et de la violence dans l’opinion publique et dans le scénario politique israélien actuel se traduit également par des actes de haine et de violence contre la communauté chrétienne.

    Nous attendons et exigeons que le gouvernement israélien et les forces de l’ordre agissent de manière décisive pour garantir la sécurité de toutes les communautés, garantir la protection des minorités religieuses et éradiquer le fanatisme religieux, ces graves phénomènes d’intolérance, ces crimes de haine et de vandalisme dirigés contre les chrétiens en Israël.

    Fr Francesco PATTON, OFM, Custode de Terre Sainte

    Fr Alberto Joan PARI, OFM, Secrétaire de Terre Sainte
     
    Source : lesalonbeige
  • Rencontre ce matin avec Jason Cazaurang. Le PdF Occitanie s'étoffe.

    Publié par Guy de Laferrière le 04 février 2023

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    Rencontre ce matin avec Jason Cazaurang.
    Ce Toulousain de 27 ans est :
    Titulaire d’un master en urbanisme et aménagement du territoire
    Ex ingénieur militaire des infrastructures au service infrastructures de la défense, au grade de lieutenant (école militaire de St Cyr Coëtquidan)
    Actuellement responsable de développement foncier Occitanie dans une société de promotion immobilière.
    Après avoir milité à la Ligue du Midi, il a intégré le FN puis Le RN (membre du bureau départemental 31), avant de faire une apparition chez Reconquête.
    Compte-tenu de ses diverses expériences, Jason a décidé de rejoindre la seule formation politique qui pour lui est la plus apte à lutter pour le salut de la France en préservant nos valeurs de civilisation : Le Parti de La France.
    En renforçant la Parti de la France Occitanie, Jason sera chargé tout particulièrement de dynamiser le département de la Haute-Garonne (31).
    Souhaitons-lui la bienvenue et une bonne réussite.
    Guy Jovelin
    Délégué d’Occitanie
    Membre du bureau politique du PdF
  • Panique dans un TGV Colmar-Paris : un homme “menaçait de se faire exploser” dans le train et avait demandé à des passagers s’ils “croyaient en Dieu” ; il a été neutralisé par un policier

    Publié par Guy de Laferrière le 03 février 2023

    Un homme qui menaçait de commettre un attentat dans un TGV Colmar-Paris, ce vendredi matin, a été maîtrisé par un policier hors service. La rame a été immobilisée en gare de Lorraine TGV, le temps d’effectuer une fouille approfondie.

    « La situation est terminée et sous contrôle. La personne a été interpellée », a rapporté un porte-parole de la SNCF. La compagnie a précisé que le train avait pu repartir « après intervention des forces de l’ordre ».

    (…) L’homme, âgé de 24 ans, « menaçait de se faire exploser » et avait demandé à des passagers s’ils croyaient en Dieu, mais ne disposait ni d’arme ni d’explosif, a expliqué la gendarmerie de la Moselle.

    (…) Le Télégramme via fdesouche

  • Corans brulés : la Turquie convoque l’ambassadeur de Norvège. Quelques heures après, la Norvège annule pour des “raisons de sécurité” la manifestation qui prévoyait de brûler un coran devant l’ambassade turque

    Publié par Guy de Laferrière le 03 février 2023

    Le ministère turc des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur de Norvège à AnkaraErling Skjonsberg, au sujet de plans visant à brûler le Coran dans le pays scandinave vendredi.

    Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a annoncé jeudi que la Norvège a annulé l’autorisation donnée au projet de brûler le Saint Coran, à la suite de l’avertissement d’Ankara.

    […]

    Vous avez vu ce qui s’est passé en Suède, aux Pays-Bas et au Danemark. La même chose allait se produire en Norvège. C‘est un crime de haine. La haine n’est pas la liberté d’expression. Aujourd’hui, nous avons convoqué l’ambassadeur norvégien. Et ils ont retiré l’autorisation qu’ils avaient accordée” a précisé Mevlut Cavusoglu.

    […]

    Il a été signifié à Erling Skjonsberg qu’Ankara condamne fermement l’approche de la Norvège consistant à ne pas empêcher l’acte de provocation prévu, qui est clairement un crime haineux, que cette attitude est inacceptable et attend que cet acte ne soit pas autorisé”, selon les sources diplomatiques turques.

    Anadolu Agency

    […]

    Le groupe islamophobe Stop à l’islamisation de la Norvège (Sian) a plusieurs fois brûlé le Coran de manière démonstrative pour montrer son opposition à l’islam.

    Le groupe a demandé à organiser une manifestation devant l’ambassade de Turquie à Oslo vendredi. Là, un Coran aurait été incendié.

    Jeudi après-midi, la police a décidé de mettre un terme à la manifestation.

    L’inspecteur de police Martin Strand, du district de police d’Oslo, dément que la décision soit liée à un éventuel brûlage du livre saint de l’islam.

    “Nous ne nous demandons pas si les organisateurs doivent brûler le Coran ou non. C’est une expression politique qui est autorisée en Norvège et que nous n’interférons pas.

    Ce que nous avons pris en compte, c’est la sécurité de l’événement, et avec les informations dont nous disposons, nous estimons qu’il est plus sûr de l’arrêter, déclare Martin Strand à NRK.

    Il se réfère aux informations des services de renseignement, que la police ne veut pas rendre publiques.

    L’inspecteur de police dit qu’ils font toujours une évaluation de la sécurité de tous les événements.

    “Dans ce cas, nous avons conclu que la sécurité ne serait pas suffisante, ni pour les spectateurs ni pour les organisateurs”, déclare M. Strand.

    […]

    Nrk

    Le leader de Sian, Lars Thorsen, ne le pense pas. Il n’exclut pas que l’organisation organise une manifestation inopinée ailleurs.

    […]

    Ce que la police fait, c’est m’interdire toute activité politique légale afin qu’elle puisse avoir une journée tranquille au travail. La constitution et la convention des droits de l’homme me permettent de le faire“, a déclaré à Aftenposten le dirigeant de Sian, Lars Thorsen.

    Comment allez-vous réagir à la décision de la police ?

    Ce que nous faisons normalement, c’est de trouver autre chose et de ne pas en parler à la police. Mais nous sommes alors plus exposés à des adversaires violents. Il n’est pas rare que nous soyons exposés à cela. Je pense que c’est une mauvaise chose que nous soyons forcés de participer à des activités sans protection policière“, déclare Thorsen.

    Vous prévoyez toujours une manifestation et un brûlage de Coran vendredi ?

    “Il est utopique de penser que nous arriverons à l’ambassade de Turquie vendredi. Cela ne signifie pas que j’exclue que nous trouvions autre chose. Nous n’avons pas encore eu le temps de planifier. Mais quelque chose va se passer, mais il n’est pas bon de dire où et quand, dit-il.

    […]

    Aftenposten

  • Le Sénégal confronté à la fuite des médecins vers la France

    Publié par Guy de Laferrière le 03 février 2023

    Déjà déficitaire en médecins, le Sénégal est confronté à un phénomène de fuite des cerveaux vers la France. Une tendance qui a des répercussions sur le système sanitaire sénégalais.

    Le docteur Abdoulaye Diop fait défiler les images sur son smartphone : Tulle, Périgueux, la région du Gard… Les offres de remplacement et propositions de gardes pour des maternités en France s’accumulent. « J’en reçois une dizaine par semaine », s’amuse le gynécologue-obstétricien sénégalais qui exerce dans une clinique privée de Dakar. Si ce « pur produit du système sénégalais » n’envisage pas de s’installer en France et se contente d’un déplacement annuel à Paris pour se former dans sa discipline, force est de constater qu’une partie des médecins sénégalais sont séduits par ces opportunités qui combinent salaire attractif et prise en charge du logement et transport. « Plusieurs confrères font régulièrement les allers-retours Sénégal-France pour des remplacements dans les hôpitaux français ou vont même s’y installer. En un mois, ils peuvent gagner ce qu’ils toucheraient en six mois ici ! », détaille-t-il.

    Difficile de chiffrer l’ampleur de cette « fuite des cerveaux » du Sénégal vers la France faute de données suffisantes. La tendance s’est accentuée ces dernières années avec le besoin croissant en ressources humaines dans le secteur du côté français. Un attrait qui joue sur la faible rémunération des médecins, sur un plateau médical défaillant et des conditions de travail difficiles dans le système public sanitaire sénégalais. Les structures françaises proposent, elles, « des conditions d’exercice plus attrayantes », un plateau médical de pointe et « une motivation financière plus importante ».

    « L’exode des médecins africains est une réalité : beaucoup de professionnels sénégalais exercent en France, et nombreux sont des spécialistes. Il y a une vraie saignée », déplore le docteur Boly Diop, président de l’Ordre des médecins du Sénégal. Si la France préfère miser sur du personnel déjà diplômé, les étudiants sont aussi concernés, car nombre d’entre eux y viennent pour se spécialiser, effectuer un stage en hôpital, et tous ne rentrent pas.

    Alors que chaque année, les universités et les écoles privées sénégalaises forment environ mille médecins, l’Etat n’en recrute que « cent pour les structures publiques sanitaires et ne peut pas absorber tout le flux de diplômés », explique le professeur Bara Ndiaye, doyen de la faculté de médecine, pharmacie et d’odonto-stomatologie de Dakar. En 2017, le pays comptait 7 médecins pour 100 000 habitants selon la Banque mondiale, loin des recommandations de l’OMS qui estime qu’à moins de 2,3 agents de santé (médecins, infirmières, sages femmes) pour 1 000 habitants les besoins en santé primaires ne sont pas suffisamment couverts.

    « Les structures publiques sont en sous-effectifs et les professionnels de santé sont submergés par le nombre de patients », raconte le docteur Edmin Diatta, psychiatre au centre hospitalier de Fann, à Dakar. Le déficit de médecins, surtout de spécialistes, est flagrant en milieu rural. « Travailler dans le service public de la santé au Sénégal est un sacerdoce. Mais c’est notre population, on ne peut pas l’abandonner », argumente le docteur Mamadou Demba Ndour, gynécologue-obstétricien dans la région de Matam (nord-est) et secrétaire général du Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES).

    Faute de places suffisantes dans le public, les jeunes diplômés se tournent vers le privé, mais aussi vers l’étranger. D’autant qu’ils sont très sollicités hors des frontières puisqu’ils sont déjà qualifiés et expérimentés. « Il n’y a pas vraiment de problème de reconnaissance des compétences. Ils doivent fournir une attestation de l’Ordre des médecins et passer une “épreuve de vérification des connaissances (EVC) », informe le docteur Boly Diop. Ils peuvent également venir suivre leur spécialité ou la terminer en France. Grâce à une convention entre l’Ordre des médecins du Sénégal et le consulat de France, l’octroi de visas de longue durée, s’il n’est pas garanti, s’avère aisé.  

     « Si les hôpitaux français fonctionnent actuellement, c’est beaucoup grâce à la main-d’œuvre étrangère », tranche le docteur Birane Beye, gastro-entérologue, formé en endoscopie interventionnelle en France, exerçant désormais entre Dakar et Orléans. […]

    Le Monde via fdesouche