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  • Avec le Parti de la France, la peur changera de camps !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Parce que la sécurité est la première des libertés, le Parti de la France s'engage à la rétablir sur tout le territoire. Pour cela, consignes et moyens supplémentaires seront donnés aux forces de l'ordre pour neutraliser la racaille qui pourrit la vie des Français. La peur changera de camp !

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  • Transsexuels : l’ordre des médecins creuse encore

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    On avait eu une idée de la servilité de l’ordre des médecins pendant la plandémie du Covid. Voici un nouvel avis où ce dernier ne trouve rien à redire à des chirurgies irréversibles sur des enfants auxquels on aura lavé le cerveau pour qu’ils se disent et se pensent transsexuels.

    Relevé par Breizh Info

    « Sollicitée par l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, la section Éthique et Déontologie du Conseil National de l’Ordre des médecins a rendu son avis ce jeudi 05 janvier sur la prise en charge chirurgicale des mineurs prétendument « transexuels » : Cet avis apporte de l’eau au moulin des jeunes filles fragiles voulant bénéficier d’actes de chirurgies mutilants, notamment des torsoplasties (ablation des seins).

    Selon l’organisation communautaire « Réseau santé trans », « l’argumentation de l’Ordre des Médecins mérite qu’on s’y attarde, car elle ouvre un espace de possibilités pour d’autres opérations chirurgicales, notamment la féminisation faciale et l’augmentation mammaire, chez les adolescentes transféminines, mais aussi les chirurgies pelviennes. »

    Décryptage pour les non-initiés au charabia trans : les opérations de féminisation faciale consistent à rendre plus féminin des visages d’hommes. Le terme « chirurgies pelviennes » est, quant à lui, un euphémisme pour désigner une castration complète, c’est à dire l’ablation du pénis et des testicules pour donner naissance à un trou béant appelé « néo-vagin ».

    La plupart des actes de « chirurgie pelvienne » sont stérilisantes ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Aurillac : des lycéens confrontés à des oeuvres pornographiques et blasphématoires

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Le n’importe quoi intégral que l’on appelle « art contemporain » a encore frappé.

    A Aurillac, des lycéens ont été confrontés à des oeuvres pornographiques et blasphématoires – qui singent notamment la crucifixion et la Cène, insérées au sein d’une exposition d’oeuvres sur le Chili. Aux parents d’élèves, il a été expliqué qu’il s’agissait d’une exposition de photographies du pays.

    En ce moment, jusqu’au 18 février, divers artistes exposent des oeuvres sur le thème du Chili. Comme nous l’indique une mère de famille aurillacoise, « des élèves emmenés par leurs professeurs d’espagnol ou d’arts ont été confrontés à ces abominations à l’insu des parents qui pensaient qu’il ne s’agissait que de photos de type touristique… Les parents font confiance aux professeurs signent l’autorisation de sortie scolaire et se retrouve avec des jeunes choqués, scandalisés, horrifiés… Mais le mal est fait !« .

    Selon nos informations, l’auteur de ces abominations est une certaine Zaida Gonzalez, dont la présentation en regard des « oeuvres » précise : « photographe et médecin vétérinaire, elle étudie la photographie publicitaire à partir de 1997. Elle n’exerce pourtant à aucun moment cette profession dans laquelle elle ne se retrouve pas […] elle se décide à développer une oeuvre personnelle […] entremêlant scènes oniriques et esthétique populaire […] Elle aborde sans complexe […] presque de façon militante, les thèmes sensibles de la société chilienne, l’avortement, la religion, les relations de couple standardisées par le mariage et le machisme inhérent, l’homosexualité« .

    Un certain nombre de ses oeuvres sont des simulacres d’images de communion, détournées au profit de l’activisme LGBT.

    Elle est exposée par la galerie Negpos à Nîmes qui présente en ce moment même une de ses oeuvres – là aussi blasphématoire – mais aussi LGBT, sataniste et clairement occultiste, le Jugement dernier : « il s’agit d’un projet photographique qui s’approprie les 22 arcanes majeurs du Tarot (puisant dans le Rider-Waite Smith Tarot, le Tarot de Marseille et le Tarot du chat de Marseille) en remplaçant les figures des cartes par des modèles non standardisés, tels que des travestis, des transgenres, des transsexuels, des migrants, des jeunes atteints du syndrome de Down, des personnes âgées et d’autres personnes qui correspondent au sens de la carte attribuée« .

     

    Source : medias-presse.info

  • Le rejet de l’euthanasie nous concerne aussi, par Civitas Portugal

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Moins d’un mois après que le Président de la République ait demandé un contrôle préventif de la loi sur l’euthanasie, la Cour Constitutionnelle a annoncé hier que certaines des règles de la loi sont inconstitutionnelles.

    Le document a été renvoyé par le Palais de Belém à l’Assemblée de la République, qui devrait bientôt reprendre le processus révolutionnaire de “correction” du texte et le soumettre à nouveau au vote, puis à l’analyse du “catholique” Marcelo Rebelo de Sousa. Au total, ce sera la quatrième fois que le Chef de l’État devra décider de la suite à donner à cette affaire, après avoir demandé, en février 2021 et au début de ce mois, le contrôle préventif du diplôme et, en novembre 2021, avoir opposé son veto au diplôme, le renvoyant à l’Assemblée de la République, en évitant, en tant que “catholique”, de rejeter définitivement cette initiative insensé.

    Réaffirmant ce qu’il avait transmis dans son bref communiqué de presse du 5 janvier, le mouvement Civitas regrette, d’une part, le manque d’engagement non négociable envers la vie humaine, dont seul Dieu peut disposer, de la part du Président de la République et, d’autre part, l’euphorie déplacée des deux partis politiques et d’autres entités, pour la plupart conservatrices, face au “plomb” du Palais Ratton.

    Loin d’être un exploit, comme beaucoup le prétendent, prouvant un manque total de discernement, nous nous trouvons face à une circonstance passagère, c’est-à-dire que la loi en question peut être parfaitement confirmée par la Cour Constitutionnelle à condition que, comme on peut le lire dans l’Arrêt n.º 5/2023, le législateur prend l’initiative de préciser «si l’exigence [associée à la pratique infâme de l’euthanasie] est cumulative (souffrance physique, plus souffrance psychologique, plus souffrance spirituelle) ou alternative (à la fois souffrance physique, psychologique et spirituelle).» En bref, il s’agit de la substitution vulgaire d’une conjonction. Comme si cela ne suffisait pas, dans le communiqué accompagnant l’arrêt susmentionné, les juges de la Cour Constitutionnelle déclarent allègrement que «la Cour a considéré que le droit de vivre ne peut en aucun cas être transformé en un devoir de vivre», cherchant grossièrement à se substituer au Créateur et prétendant avoir la fausse primauté constitutionnelle de décider quand mettre fin à la vie humaine, même en piétinant de manière insensée et préméditée les desseins de Dieu.

    Comme il fallait s’y attendre, les partis politiques promoteurs de ce diplôme infâme, qui défendent tous des idéologies conduisant à l’égocentrisme et à l’absence totale de surnaturel, se sont déjà déclarés tout à fait intéressés à corriger le “petit détail” de la conjonction erronée afin que, “au nom du progrès”, il soit légal d’assassiner ses semblables.

    Si les médecins et autres personnels médicaux sont tenus de combattre de manière constructive la souffrance de leurs patients, ces derniers, comme l’écrivait Mgr Bernard Tissier de Mallerais, doivent «essayer d’en assumer au moins une partie [la souffrance], en profitant de cette grâce qui leur est offerte pour satisfaire la justice divine de leurs péchés et éviter ainsi les peines du Purgatoire», tout en s’unissant à la Passion rédemptrice de Notre Seigneur Jésus-Christ.

    De la part du mouvement Civitas, une résistance ferme sera maintenue aux initiatives promouvant la culture satanique de la mort, avec la promesse de l’intensification nécessaire des activités de formation et d’information dans les semaines à venir. Néanmoins, il est impératif que les catholiques portugais offrent des prières et des sacrifices pour les auteurs de cette infamie, ainsi que pour l’élimination de toutes les lois qui portent atteinte, même le moins du monde, aux droits de Dieu, et pour le triomphe de la Sainte Mère l’Église. La prière, le sens surnaturel et l’action militante sont les seules armes efficaces pour vaincre de manière exemplaire les ennemis du Christ Roi.

    31 janvier 2023

    Le Secrétariat de Civitas Portugal

    Source : Délégation Civitas Portugal

  • 2 février : la chandeleur (origines et histoire)

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    chandeleur1Nom populaire de la fête chrétienne commémorant la « présentation de Jésus au Temple » (et, dans le calendrier traditionnel, « la purification de la sainte Vierge »), il nous vient du latin  festa candelarum (« fête des chandelles »), en raison de la bénédiction des cierges qui avait lieu ce jour-là.

    Quarante jours après Noël, l’Église célèbre l’épisode rapporté dans l’Évangile selon Saint Luc (Luc, 2, 22-35) de la présentation de l’Enfant au temple de Jérusalem : obligation sacrée, à cette époque, pour chaque nouveau-né (un peu comme le baptême par la suite).
    Le vieillard Siméon avait alors reconnu en le Christ la « lumière pour éclairer les nations ».

    Célébrée à Jérusalem dès le IVe siècle, la procession des cierges (les chandelles) vit le jour vers 450. La célébration s’exporta en Syrie, à Constantinople puis à Rome (sous le pontificat de Sergius Ier, d’origine syrienne). Une procession avait alors lieu à l’aurore entre le Forum et Sainte-Marie-Majeure.

    L’utilisation des cierges serait à rapprocher de l’ancien usage des Romains de déposer des lampes funéraires sur les tombes des ancêtres du 13 au 21 février.
    Ils cherchaient à éloigner les esprits des ténèbres (février vient du februare, « purifier ») ; la fin de l’hiver annonçant chez eux le réveil des forces chtoniennes. Dans le calendrier celtique, le premier février correspondait à la fête d’Imbolc, culte domestique destiné à protéger et purifier la maison.

    La pâtisserie rituelle associée à la chandeleur est la crêpe, également caractéristique du carnaval. Faite de farine, lait et œufs, elle servait à prouver que l’on avait encore des réserves à la fin de l’hiver et jouait un rôle protecteur : la première devait être lancée sur le dessus d’une armoire, pour veiller à l’économie familiale, et une pièce en or dans la main selon certaines superstitions, pour s’assurer la fortune toute l’année.

    Une scène du film Archimède le clochard (campé par un Gabin truculent, réalisé par Gilles Grangier en 1959) illustre d’ailleurs cet usage.

    Cette dernière fête familiale marque la fin du temps de Noël (en Provence, la crèche est enlevée à ce moment).
    Y succéderont les jours gras, tournés vers l’extérieur.
    Le 2 février était aussi la « fête de la purification de Marie » de la fin du VIIIe siècle à 1969 (nouveau calendrier romain mis en place par Paul VI). Là encore, la Sainte Vierge, bien que n’ayant nul besoin d’être « purifiée », se soumet à cette obligation rituelle.

     

    Source : contre-info