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  • Angoulême (16) : un point de deal tétanise le quartier de La Grand-Font, les habitants excédés, les autorités assurent travailler sur le sujet

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Un point de deal s’est installé début mars dans l’immeuble-pont du quartier de La Grand-Font. Les habitants sont excédés. Les autorités assurent travailler sur le sujet.

    Shit ? Coke ? Suivez les flèches rouges sur les panneaux du chantier des écoles Macé et Sand et sur la façade de l’immeuble-pont et de la résidence Darras, à La Grand-Font. Un point de deal a élu domicile début mars dans ces bâtiments, à deux pas de la gare d’Angoulême. Les riverains se disent à bout, les pouvoirs publics prennent le sujet au sérieux.

    Ce dimanche de fin d’hiver, trois ados tournent sur le parking. « Ce sont les guetteurs », indique Monique (1) depuis son appartement avec vue sur le commerce. Ils veillent sur les allées et venues à proximité de la porte d’entrée de la résidence Darras, barrée d’un tag « Drive, ici ». Les affaires s’affichent au grand jour. La vente s’effectue à l’intérieur, dans les couloirs ou des appartements relais.

    (…) Pourquoi ici ? « Les trafiquants repèrent un élément de fragilité dans un immeuble et s’y installent », décrit Jean-Philippe Pousset, adjoint à la sécurité à la mairie d’Angoulême. Un appartement inoccupé, un locataire facilement impressionnable et le tour est joué. Le logement devient un frigo : un lieu de stockage et de vente.

    L’ambiance dans les barres se dégrade vite. « Les parents gardent leurs enfants à l’intérieur, ils ne veulent pas qu’ils se retrouvent au milieu de tout ça », décrit Monique. Jacques abonde : « Ils ne nous menacent pas, mais ça met une atmosphère pesante. » Un autre riverain complète : « Ils savent qu’on n’aime pas ce qu’ils font, ils sont suspicieux, on a l’impression d’être contrôlés quand on rentre à la maison ». Ajoutez à cela les désagréments du chantier du groupe scolaire attenant, les habitants sont épuisés.

    (…) Côté riverains, l’exaspération atteint son paroxysme. « On comprend qu’il faut laisser la police enquêter et que les bailleurs doivent respecter des délais mais on ne tiendra pas longtemps comme ça », grimace Monique. Ces derniers jours, elle a retrouvé un peu de paix. Les vendeurs se sont déportés dans la résidence Darras… à quinze mètres de leur magasin initial.

    (…) Charente Libre via fdesouche

  • Évasion au centre de rétention administrative de Sète (34) : six migrants clandestins prennent la fuite par une porte défaillante

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Unité SGP Police FO dénonce, ce lundi 3 avril, l’évasion de plusieurs retenus du CRA de Sète dans la nuit de samedi à dimanche. Selon le syndicat, c’est une porte dont la fermeture défaillante avait été signalée par les policiers du centre de rétention administrative qui est à l’origine de ce départ.

    Six individus se sont évadés, dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 avril, du centre de rétention administrative (CRA) de Sète. Selon le syndicat Unité SGP Police FO, huit hommes ont tenté de prendre la fuite grâce à l’ouverture d’une porte dont le verrouillage électronique était défectueux. Une panne qui, couplée au vent fort, leur aurait ouvert l’accès à la cour de promenade.

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • La grande cathédrale de Manchester transformée en mosquée pour le Ramadan (VIDÉO)

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Posté par Eric Martin 

    La grande cathédrale de Manchester transformée en mosquée pour le Ramadan (VIDÉO)

    Source : ndf

  • Sophie Binet à la tête de CGT : la classe ouvrière perd un nouveau bastion au profit de la boborgeoisie woke

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Au sein de la CGT il y avait déjà eu un certain émoi lorsque Philippe Martinez avait été élu. En effet, celui-ci n’était pas un ouvrier mais un technicien, et la nuance est importante au sein de la Centrale ! En 2015, c’est donc un technicien métallo au sein de la régie Renault qui prenait les rênes du syndicat, anciennement proche du PC.

    Malgré ce petit défaut d’origine, la moustache avait su faire illusion et la base de la CGT avait, au départ du moins, approuvé et suivi le gavroche Martinez à l’accent de la banlieue parigote que seuls les vieux ouvriers retraités à casquette ont encore. Car aujourd’hui la banlieue parisienne a d’autres accents et d’autres casquettes. Martinez, quant à lui, n’a pas bénéficié longtemps de “l’effet moustache”. En 2023, il quitte la direction de la CGT très affaibli et critiqué.

    Signe des temps : Martinez voulait “une femme” pour le remplacer à la tête de la Centrale. La Gauche a ses marottes et pense toujours qu’une femme fera mieux qu’un homme non-déconstruit tout en… défilant tous les jours contre une femme !

    Pour lui succéder, trois candidates étaient au départ : Marie Buisson, enseignante ultra-woke à la tête de la FERC (Fédération de la Recherche et de la Culture). En tant que professeur de lettres-histoire-géo, Marie Buisson était à la sous-fédé Educ’action. Ceux qui ont eu le bonheur de lire les publications internes d’Educ’Action ont compris que les valeurs de la classe ouvrière étaient désormais révolues dans cette branche de la CGT : écriture inclusive, féminisme à toutes les pages, migrants à bloc, le bulletin national comme les bulletins locaux sont totalement illisibles. Et un ouvrier métallo qui tomberait dessus par hasard croirait découvrir une tendance extrémiste woke d’Alternative Libertaire. Marie Buisson, pourtant favorite de la direction, n’a pas été choisie et c’est le moins pire des scénarios pour les ouvriers de la CGT.

    Sur une autre ligne Céline Verzeletti incarnait un peu plus les intérêts profonds de la classe ouvrière autochtone : ancienne surveillante de prison, elle ne pouvait ignorer les conneries féministes et les oukazes écolos mais avait annoncé que sont ces questions étaient “des sujets importants, mais [qu’ils ne devaient] pas invisibiliser le conflit essentiel entre le monde du travail et les intérêts du grand patronat”. On sentait donc que les luttes pour que les femmes puissent enfin pisser debout allaient un peu passer au second plan face à la vraie question de l’égalité salariale.

    Finalement, ni l’une ni l’autre ne sera choisie, et c’est l’inattendue Sophie Binet qui remporte le grand prix de Cournon d’Auvergne. Première femme en 128 ans d’existence mais… toujours pas une ouvrière ! Ancienne étudiante en philo à Nantes et ancienne membre du bureau national de l’Unef devenue maintenant une véritable médina de l’islamo-gauchisme, Sophie Binet a été conseillère principale d’éducation en lycée professionnel à Marseille puis en Seine-Saint-Denis. En clair, une cadre ! Elle dirigeait d’ailleurs l’Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens de la CGT (Ugict) depuis 2018. Et surtout, elle était, au sein de la direction de Montreuil, en charge de “l’égalité femme-homme”.

    Fini les luttes dans les usines ou la conquête des nouveaux bastions ouvriers que sont les entreprises de nettoyage, de service à la personne ou les cathédrales de l’agro-alimentaire en Bretagne par exemple, la demoiselle n’a que la “lutte contre les discriminations” à la bouche et les questions sociétales. Profil CSP+ qui devrait plaire au petit monde précaro-intello-bobo style “Nuit Debout”.

    Big Mama est donc arrivée à tête de la CGT, le monde ouvrier vient de perdre un bastion de plus au profit de la boborgoisie et de ses petits malheurs à la Simone de Beauvoir. Gageons que, une fois que le conflit sur les retraites sera réglé, la CGT bruissera de “précarité menstruelle” et de “solidarité avec les Sans-Papiers” sans oublier les “luttes contre les discriminations” et “l’inclusivité des personnes transgenres”.

    Les ouvriers de chaîne ou ceux du bâtiment, les caissières et les aides à la personne seront, quant à elles, laissés dans leur diagonale du vide et de l’abandon. Concurrencés par la main d’oeuvre immigrée et soumis à une insécurité culturelle qui n’intéresse pas une CGT qui se boboïse et s’urbanise à marche forcée. Espérons qu’après la “femme” Sophie Binet, la CGT sache dégotter une nouvelle trouvaille dans l’air du temps : une racisé-e transgenre non-binaire voilée par exemple ? Il le faudra bien puisque la classe ouvrière old school n’intéresse plus personne à gauche. Même le terme “quartier populaire” ne désigne plus un quartier où vivent des nationaux modestes mais un endroit où vivent des immigrés ! Nous les Blancs modestes, nous ne sommes plus rien en fait. Nous n’existons plus. Nous devons sortir de l’Histoire en nous créolisant et en fermant notre gueule. A moins que…

    A moins que, pendant ce temps, cette classe ouvrière se désyndicalise en masse, mette des Gilets Jaunes ou des Bonnets Rouges… et vote un peu plus Marine à chaque élection !

    Crédit photo : Compte twitter Sophie Binet

    [cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

  • Après son ignoble et infect "La police tue..." Mélenchon récidive, et aggrave son cas.

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Après son ignoble et infect "La police tue..." Mélenchon récidive, et aggrave son cas. Cette fois, c'est à propos de la "BravM" et des "faux antifas/vrais terroristes" qu'on a vus à l'oeuvre dans l'émeute de Sainte Soline :

    "Nous enverrons ces jeunes gens se faire soigner", n'a pas craint de déclarer Mélenchon.

    Là, il a vraiment perdu une bonne occasion de se taire...

    Lui, qui a inventé le concept de "dégagisme" ne se rend pas compte, mentalement sclérosé qu'il est, que le temps passe pour tout le monde, y compris pour lui. Sa première élection remonte à... 1983 ! 40 ans ! Et il continue à éructer, des propos de plus en plus tonitruants et choquants.

    En réalité, après ces quarante ans de vie politique (bien confortablement et bien douilletement  installé dans le Pays légal, et tout le fric qui va avec...), il est évident que Mélenchon ne se rend pas compte (ou plus compte...) qu'il "fatigue" et qu'il nous fatigue avec ces propos débiles du genre "La République c'est moi !"

    Et qu'il devrait commencer par s'appliquer à lui-même sa thérorie du "dégagisme"...

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    Source : lafautearousseau