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  • Gabriel Attal et la suppression des classes préparatoires aux grandes écoles

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2023

    Gabriel Attal et la suppression des classes préparatoires aux grandes écoles

    La suppression progressive des classes prépa à Paris n’est pas une surprise pour qui connait les tenants et aboutissants de la question scolaire : elle était en germe depuis plusieurs années.

    En effet, il faut rappeler qu’une Ecole d’excellence au bénéfice exclusif des élèves issus de l’immigration a pris son essor depuis une quinzaine d’années avec les « équipes de réussite éducative » bénéficiant à 100 000 jeunes chaque année, les « internats d’excellence » (collèges et lycées – 20 000 places en 2008, 33000 aujourd’hui), les 200 « cités de haute qualité éducative » créées par Blanquer et scolarisant un million d’élèves (environ 2/3 en école primaire, 1/3 en collège), les structures préparatoires à l’enseignement supérieur de prestige avec les « cordées de la réussite » (200 000 élèves) les « classes préparatoires à l’enseignement supérieur – CPES» (33 formations de 25 élèves par classe) les classes préparatoires intégrées – CPE » (au sein de toutes les grandes structures publiques ou privées) affichant des taux de réussite dépassant de loin les moyennes nationales et ce, dans le but de permettre aux immigrés d’être l’élite de la nation et que nos enfants, croupissant dans les tripots de la république, en soient les larbins afin de répondre aux exigences du « grand remplacement ».
    Gabriel Attal n’invente rien, il est dans la ligne de ses prédécesseurs : foin de l’excellence du français de souche, il faut des immigrés aux postes de commande !

    C’est ainsi que Brighelli, faux opposant au système mais vrai imposteur, a été l’inspirateur de la création de ces structures d’excellence au point que c’est précisément à Marseille qu’ont été faites les premières expériences d’internats éducatifs en 1997, qu’il a été également l’inspirateur des procédures scandaleuses de « parcoursup » et « d’affelnet » pour bloquer l’accès de nos brillants enfants mais français de souche aux structures d’excellence et tout particulièrement aux grands lycées parisiens – Henri IV, Louis le Grand…) avouant avec son cynisme habituel, avoir fait partie des jurys pour l’accès aux classes préparatoires aux grandes écoles – CPGE – pendant des années, confessant que le livret scolaire était vu de très loin mais que ce qui comptait, c’était l’origine géographique et sociale du jeune, concluant  ainsi : nous (notez le « nous ») n’avons pas l’intention de changer, c’est la meilleure décision du ministre Blanquer !!!

    Aujourd’hui, la suppression progressive des classes préparatoires aux grandes écoles s’inscrit dans la continuité de ce système qui va permettre de fermer définitivement la porte aux voies d’excellence de nos jeunes au profit de ceux issus de l’immigration pour qui l’accès à l’enseignement supérieur de prestige va leur être entièrement réservé.

    Nous avons affaire à des traitres et Gabriel Attal n’est que le rejeton d’une maffia qui veut notre peau. Il ne tient qu’à nous de créer des structures parallèles pour sauver nos enfants et la France française, car il n’y a rien à attendre de bon pour nos enfants, quel que soit le ministre en place  dans ce système totalement dévoyé qui n’a d’autre objectif que de nous détruire.

     

    Source : medias-presse.info

  • Renvoyer des djihadistes chez eux.

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2023

    Chaque fois qu'un ministre ou qu'un responsable politique prétend qu'on ne peut pas tout faire, y compris renvoyer des djihadistes chez eux, parce que la loi en l'état ne le permet pas, souvenez-vous qu'il n'y a pas si longtemps la loi ne permettait pas non plus d'assigner à résidence la totalité d'une population (confinement), ne permettait pas le couvre-feu arbitraire ni l'instauration d'un passe visant à créer deux catégories de citoyens à l'intérieur même de la nation.
    Mais qu'en quelques semaines, le pouvoir a franchi toutes les étapes, mobilisé tous les leviers de l'appareil législatif, administratif et juridique français pour pouvoir : assigner à résidence la totalité d'une population, instaurer un couvre-feu arbitraire et un passe visant à créer deux catégories de citoyens à l'intérieur même de la nation.
    Quand ils veulent, ils peuvent et ils font.
    Si, après dix ans de terrorisme, il n'existe toujours pas d'outils juridiques, administratifs et politiques pour virer les barbus, ce n'est pas parce que la République ne le peut pas : c'est parce qu'elle ne le veut pas.
    Et il faudra bien un jour poser cette question : pourquoi ne le veut-elle pas ?
     
    Jonathan Sturel
     
     
    Peut être une image de 1 personne, barbe et texte
     
     
     
     
     
     
     
  • La dernière idée de l’idéologie woke : éliminer l’accouchement

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2023

    Ectogenèse, l'utérus artificiel
    Ectogenèse, l’utérus artificiel

    Libérons les femmes de la grossesse. La GPA, l’utérus loué, ne suffit plus : c’est mieux d’avoir des enfants fabriqués grâce à l’ectogenèse, l’utérus artificiel. « Une nouvelle façon de devenir parents », la nouvelle folie woke.

    Libérons les femmes de la grossesse est la dernière folie woke qui émerge. Il s’agit d’éliminer l’accouchement comme moment générateur, en le remplaçant par des procédures en éprouvette. Comme la viande synthétique, autre enjeu de l’idéologie néo-progressiste. Viande dans un tube à essai, fœtus dans un tube à essai.

    Libérons les femmes de la grossesse pour mettre fin « à la famille patriarcale »

    L’idée maîtresse est magnifiée par la quotidien progressiste italien La Stampa, avec un article très ambigu et tout à fait ignoble, attribué à une « écrivaine et chercheuse » indépendante (de quoi, de qui ?), une certaine Laura Tripaldi, 30 ans. L’intervention est ambiguë parce que sous le vernis d’une fausse approche prudentielle selon laquelle la technologie est admirable mais dangereuse, qu’il faut la surveiller, elle mène à un « ce qui peut être fait, alors que cela soit fait ».

    On évoque la dystopie, mais elle est facilement surmontée, Folamour est cité comme chef du projet « ectogenèse », qui est une formule énigmatique, une de celles utilisées dans les journaux progressistes, pour ne pas appeler le projet par un nom que tout le monde comprend « accoucher sans accoucher » ce qui fait ressortir toute son horreur ; et Folamour prévient : si nous suivons cette voie, nous ouvrons la boîte de Pandore. Qui, notoirement, ne pouvait plus être refermé. Et, une fois levées les fausses précautions, le long article illisible se résout en une exaltation presque fanatique du « tout ce qui peut être fait, qu’il soit fait ».

    On y retrouve la philosophe engagée Maureen Sander-Staudt, qui enseigne : « L’ectogenèse a également le potentiel de modifier le sens culturel de la grossesse, de la naissance et de la maternité, éloignant ainsi davantage l’humanité de la nature ». Nous allons plus loin avec une autre philosophe obscure, Anna Smajdor qui « a défini le développement de l’ectogenèse totale comme un « impératif moral » » ; vient ensuite, à la rescousse du projet « ectogénèse » que l’on commence à vendre au monde avec de tels articles, Shulamith Firestone, vestale du féminisme radical disparue il y a une dizaine d’années, capable de croire que « cette transformation technologique entraînerait aussi la disparition de la famille patriarcale. Les filles nées des entrailles mécaniques de son utopie technoféministe seraient élevées par la communauté, construisant des réseaux sociaux et émotionnels libres de parenté et de liens de sang ».

    La gestation et la maternité sont pour de nombreuses femmes incompatibles avec le travail et les études dans la société capitaliste néolibérale

    Ces « utérus mécaniques » qui produisent des fœtus et donc des enfants mécaniques à naître, mais cela n’est pas précisé, visent l’éternel mythe proto-communiste de la république de Platon. L’article est plein de tirades délirantes comme celle-ci : « L’inquiétude généralisée concernant l’effondrement démographique dans l’Occident développé, soutenue par la preuve que, dans le capitalisme néolibéral, la gestation et la maternité sont pour de nombreuses femmes incompatibles avec le travail et les études. Dans le même temps, la reconnaissance croissante de nouvelles formes de famille en dehors de la famille hétérosexuelle nous pousse à imaginer de nouvelles façons – même assistées par la technologie – de devenir parents. En effet, à bien des égards, la possibilité d’une ectogenèse totale apparaît comme une opportunité sans précédent d’aplanir, une fois pour toutes, les inégalités intrinsèques au travail reproductif, en le déléguant entièrement à la technologie. »

    Il y a là tout l’attirail de la pire idéologie woke : il y a l’attaque contre la famille « traditionnelle », l’ouverture à de nouvelles dimensions parentales, la libération de la « grossesse » entravante. « Tout comme il était autrefois considéré comme absurde que les femmes votent ou montent à cheval », réitère Smajdor, « de la même manière, il pourrait nous paraître un jour absurde qu’elles soient enchaînées aux processus dégradants et dangereux de la grossesse et de l’accouchement simplement à cause de notre incapacité à imaginer une alternative ».

    C’est le rêve réactualisé des révolutionnaires de tout temps : créer un « homme nouveau »

    La chercheuse « indépendante » commente pour sa part. « Si l’origine de l’oppression féminine est véritablement biologique, l’ectogenèse transformerait la différence sexuelle en un accident génétique comme tant d’autres, rendant sa signification culturelle presque totalement insignifiante. Peut-être que l’identité de genre telle que nous la connaissons aujourd’hui disparaîtrait entièrement, et avec elle les inégalités sociales et économiques qui l’accompagnent. Et si la parentalité se détachait complètement de la biologie sexuelle, même l’idée selon laquelle il existe une « famille naturelle » plus légitime que toutes les autres pourrait un jour nous apparaître comme un simple héritage du passé. »

    Être des mères « non mécaniques » serait donc pénalisant, oppressant, alors que produire des fœtus à partir de manipulations de laboratoire, servirait à annihiler les genres, la famille, émanciper la femme, pour atteindre enfin le but de la révolution messianique génératrice d’un « homme nouveau » libéré des chaînes de la nature, la révolution woke de la naissance à la mort, qui en conclusion n’est qu’une révolution nihiliste, théorisée par les marxistes, expérimentée avec ses millions de morts par les communistes et menée à bien par le capitalisme néo-libéral d’aujourd’hui, plus rouge que brun, le nouvel esclavagiste des Temps modernes.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Plan mondialiste : tuer l’agriculture pour « sauver la planète »

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2023

    L'agriculture, cible des mondialistes
    L’agriculture, cible des mondialistes

     

    • Il y a une attaque coordonnée à l’échelle mondiale contre l’agriculture. Le G20, la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et le Forum économique mondial font tous pression pour des réductions radicales de l’agriculture afin d’atteindre « zéro émissions nettes de gaz à effet de serre ».
    • La « durabilité » réclamée par les mondialistes n’est pas la durabilité de la population humaine. Ce à quoi ils font référence, c’est la croissance durable d’un nouveau système économique mondial basé sur l’allocation de ressources limitées aux « dirigeants » technocratiques. Nous, nous « ne posséderons rien », parce qu’ils ont l’intention de nous priver de nos droits de propriété. Il est crucial que les gens comprennent que les solutions de « durabilité » actuellement proposées entraîneront l’éradication d’une grande partie de l’humanité.

    L’agriculture est soumise à une attaque coordonnée

    Comme l’a rapporté William Engdahl de Global Research , il existe une « attaque totale » coordonnée à l’échelle mondiale contre l’agriculture.

    La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion COP27 de l’Agenda 2030 des Nations Unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos [WEF] et Bill Gates sont tous complices. Généralement, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien alors qu’ils avancent en réalité un programme qui mènera à la famine et à la mort de centaines de millions de personnes, si pas de milliards, si on les laisse aller de l’avant.

    Engdahl passe ensuite en revue les ordres du jour du G20, de la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et du WEF en ce qui concerne notre capacité continue à produire de la nourriture.

    Plan du G20 : Changer le système alimentaire pour lutter contre le changement climatique

    Le 13 novembre 2022, le G20 a adopté une déclaration finale dans laquelle il appelle à « une transformation accélérée » vers une agriculture, des systèmes alimentaires et des chaînes d’approvisionnement « durables et résilients » pour « garantir que les systèmes alimentaires contribuent mieux à l’adaptation et à l’atténuation du changement climatique ». … »

    Il est important de noter que le G20 s’est engagé à atteindre « zéro émission nette mondiale de gaz à effet de serre/neutralité carbone d’ici le milieu du siècle ou vers cette période ». Comme le note Engdahl :

    « Une agriculture durable » avec « zéro émission nette de gaz à effet de serre » est un double langage orwellien… Ce qui est en fait promu est la destruction la plus radicale de l’agriculture à l’échelle mondiale sous le nom d’« agriculture durable ».

    Plan COP27 : tuer l’agriculture pour « sauver la planète »

    Quelques jours après la réunion du G20, la réunion annuelle du Sommet climatique sur l’Agenda vert de la COP27 de l’ONU a eu lieu. Là-bas, les participants (qui comprenaient des États membres de l’ONU et des centaines d’ONG « vertes ») ont lancé une initiative appelée FAST, qui signifie Alimentation et Agriculture pour une Transformation Durable.

    Tout comme la déclaration du G20, l’initiative FAST appelle à une transition rapide vers « une alimentation saine, durable et résiliente au climat » pour lutter contre le changement climatique. Mais qu’est-ce que cela implique exactement ? Comme l’a noté Engdahl, l’acronyme en dit long, vu à quel point « vite » signifie « s’abstenir de manger de la nourriture ». En lisant entre les lignes, il est clair que le plan mondialiste consiste à restreindre sévèrement la production et la consommation alimentaires traditionnelles. Engdahl écrit :

    Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture… d’ici un an, la FAO lancera un plan « de référence » pour la réduction des soi-disant gaz à effet de serre provenant de l’agriculture.

    L’impulsion de cette guerre contre l’agriculture vient, sans surprise, des puissances d’argent, la FAIRR Initiative, une coalition basée au Royaume-Uni de gestionnaires d’investissements internationaux qui se concentre sur « les risques et opportunités ESG importants causés par la production animale intensive ».

    Leurs membres comprennent les acteurs les plus influents de la finance mondiale, notamment BlackRock, JP Morgan Asset Management, Allianz AG d’Allemagne, Swiss Re, HSBC Bank, Fidelity Investments, Edmond de Rothschild Asset Management, Credit Suisse, Rockefeller Asset Management, UBS Bank et de nombreux autres. banques et fonds de pension avec un actif total sous gestion de 25 000 milliards de dollars.

    Ils ouvrent désormais la guerre à l’agriculture autant qu’à l’énergie… Le FAIRR affirme, sans preuve, que « la production alimentaire représente environ un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre et constitue la principale menace pour 86 % des espèces en péril dans le monde ». d’extinction, tandis que l’élevage de bétail est responsable des trois quarts de la perte de la forêt amazonienne.

    La FAO envisage de proposer une réduction drastique de la production animale mondiale, en particulier du bétail, qui, selon la FAIRR, est responsable de « près d’un tiers des émissions mondiales de méthane liées à l’activité humaine, libérées sous forme de rots de bétail, de fumier et de cultures fourragères ». .’ Pour eux, la meilleure façon d’arrêter les rots et le fumier des vaches est d’éliminer le bétail.

    Le fait que la FAO soit sur le point de publier une feuille de route visant à réduire drastiquement les soi-disant gaz à effet de serre issus de l’agriculture mondiale, sous le faux prétexte d’une « agriculture durable » menée par les plus grands gestionnaires de fortune du monde… en dit long sur le véritable programme. .

    Ces institutions financières comptent parmi les plus corrompues de la planète. Ils ne mettent jamais un centime là où on ne leur garantit pas d’énormes profits. La guerre contre l’agriculture est leur prochaine cible.

    « Durable » pour qui ?

    Engdahl souligne que le terme « durable » a été créé par le Club Malthusien de Rome de David Rockefeller. Dans son rapport de 1974, « L’humanité à un tournant », le Club de Rome affirmait que les nations deviendront interdépendantes et devront renoncer à leur indépendance.

    Pour encourager cet abandon de l’indépendance, le Club a élaboré un plan directeur pour « une croissance durable et un développement mondial basé sur une allocation mondiale de toutes les ressources limitées et un nouveau système économique mondial ». Ce plan directeur a constitué la base de ce qui est finalement devenu l’Agenda 21 des Nations Unies, l’Agenda 2030 et la Grande Réinitialisation. Poursuivant en citant Engdahl :

    L’ONU et le WEF de Davos se sont associés en 2019 pour faire avancer conjointement l’Agenda 2030 de l’ONU des ODD [objectifs de développement durable]. Sur le site Internet du WEF, il est ouvertement admis qu’il s’agit de se débarrasser des sources de protéines carnées, d’introduire la promotion de fausses viandes, de préconiser des protéines alternatives telles que des fourmis salées ou des grillons ou des vers moulus pour remplacer le poulet, le bœuf ou l’agneau.

    Lors de la COP27, les discussions ont porté sur « les régimes alimentaires qui peuvent rester dans les limites planétaires, notamment en réduisant la consommation de viande, en développant des alternatives et en encourageant la transition vers davantage de plantes, de cultures et de céréales indigènes (réduisant ainsi la dépendance actuelle à l’égard du blé, du maïs, du riz et des pommes de terre). .’

    Le WEF promeut le passage des régimes à base de protéines de viande aux régimes végétaliens, arguant que ce serait plus « durable ». Ils promeuvent également des alternatives à la viande cultivées en laboratoire ou à base de plantes, telles que Impossible Burgers, financé par Bill Gates, dont les propres tests de la FDA indiquent qu’il s’agit d’un cancérigène probable car il est produit avec du soja OGM et d’autres produits saturés de glyphosate.

    Lisa Lyons, PDG d’Air Protein, une autre entreprise de fausse viande, est une conseillère spéciale du WEF. Le WEF promeut également des alternatives à la viande à base de protéines d’insectes… La guerre contre l’élevage d’animaux pour la viande devient extrêmement sérieuse.

    Le gouvernement des Pays-Bas, dont le Premier ministre Mark Rutte… est un contributeur à l’agenda du WEF… a annoncé qu’il fermerait de force 2 500 fermes d’élevage à travers les Pays-Bas. Leur objectif est de forcer 30 % des exploitations bovines à fermer sous peine d’expropriation.

    En Allemagne, l’Association allemande de l’industrie de la viande (VDF) affirme que dans les quatre à six prochains mois, l’Allemagne sera confrontée à une pénurie de viande et que les prix vont monter en flèche… Les problèmes d’approvisionnement en viande sont dus au fait que Berlin insiste pour réduire le nombre de têtes de bétail de 50 % pour réduire les émissions liées au réchauffement climatique.

    Au Canada, le gouvernement Trudeau, un autre produit du WEF de Davos… prévoit de réduire les émissions provenant des engrais de 30 % d’ici 2030 dans le cadre d’un plan visant à atteindre zéro émission nette au cours des trois prochaines décennies. Mais les producteurs affirment que pour y parvenir, ils devront peut-être réduire considérablement leur production de céréales.

    Lorsque le président autocratique du Sri Lanka a interdit toute importation d’engrais azotés en avril 2021 dans un effort brutal pour revenir à un passé d’agriculture « durable », les récoltes se sont effondrées en sept mois et la famine, la ruine des agriculteurs et les manifestations de masse l’ont contraint à fuir le pays. Il a ordonné que tout le pays passe immédiatement à l’agriculture biologique, mais n’a fourni aucune formation de ce type aux agriculteurs.

    Combinez tout cela avec la décision politique catastrophique de l’UE d’interdire le gaz naturel russe utilisé pour fabriquer des engrais à base d’azote, forçant ainsi la fermeture d’usines d’engrais dans toute l’UE, ce qui entraînera une réduction mondiale des rendements agricoles, ainsi que la fausse vague de grippe aviaire qui ordonne à tort aux agriculteurs d’Amérique du Nord et de l’Union européenne de tuer des dizaines de millions de poulets et de dindes… et il devient clair que notre monde est confronté à une crise alimentaire sans précédent. Tout pour le changement climatique ?

    Comprendre les enjeux

    En effet, les forces en jeu sur la scène mondiale nous conduisent tout droit vers la famine mondiale sous le couvert de la sauvegarde de la planète. Une famine massive sera le résultat final s’ils parviennent à leurs fins, et il y a tout lieu de soupçonner qu’ils le savent et le souhaitent.

    Il faudrait être idiot pour ne pas se rendre compte que les alternatives à la viande et les insectes cultivés en laboratoire ne fourniront pas la même nutrition que la vraie viande, et que la malnutrition est presque aussi grave que l’absence de nutrition. Le résultat final est à peu près le même.

    Ainsi, la « durabilité » réclamée par ces mondialistes n’est PAS la durabilité de la population humaine. La durabilité à laquelle ils font référence est la croissance durable de leur nouveau système économique mondial, basé sur l’allocation de toutes les ressources limitées. Et à qui seront allouées toutes ces ressources mondiales ? Cela reviendra à eux-mêmes – à l’échelon technocratique, qui comprend les plus riches parmi les riches – bien sûr.

    Nous, nous « ne posséderons rien », car ils ont l’intention de nous priver de nos droits de propriété et de saisir nos actifs. C’est à cela que servent les monnaies numériques programmables des banques centrales. La promesse que nous serons « heureux » relève du pur mensonge.

    Il est universellement reconnu que la propriété privée est la clé de la liberté et de la prospérité, qui à leur tour tendent à favoriser le contentement et une certaine mesure de bonheur. Il est donc crucial, à ce stade, que les gens comprennent le contexte dans lequel le mot « durabilité » est utilisé, et qu’il implique l’éradication d’une grande partie de l’humanité.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Qui veut un bus de migrants ?

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2023

    Par Philippe Carhon le 5 décembre 2023

    Qui veut un bus de migrants ?

    On connaissait le guide rédigé par le gouvernement pour faciliter l’accueil des immigrés clandestins dans les communes rurales, voici désormais le plan de répartition et de transport des ces clandestins confié à la gendarmerie. Est-ce pour cette mission que 238 nouvelles brigades ont été créées ?

     

    Source : lesalonbeige