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  • Le programme Erasmus permet de financer la propagande LGBTXYZ

    Publié par Guy de Laferrière le 04 février 2024

     le Le programme Erasmus permet de financer la propagande LGBTXYZ

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    “Erasmus+” est le programme de l’Union européenne pour l’éducation, la formation, la jeunesse et le sport en Europe. Doté d’un budget de plus de 26 milliards d’euros pour sept ans (2021-2027), il concerne plus de 4 millions de participants et met fortement l’accent sur l’inclusion sociale, la transition verte et numérique et la promotion de la participation des jeunes à la vie démocratique, ou plutôt, comme le dit la première page du site web dédié, “Erasmus+ enrichit les vies, ouvre les esprits”. Eh bien, en parfaite adéquation avec les indications du Parlement et la Résolution 2021/2557 votée le 11.03.2021, la proclamation de l’Europe comme ” zone de liberté LGBTQ “, également pour cette année 2024, le programme ” Erasmus+ ” voit ostensiblement des projets financés pour promouvoir le transgendrisme et la dépravation sexuelle, ce qui, selon les mandarins européens, peut ouvrir l’esprit des enfants et des jeunes du continent.

    Sur le site web de la Commission européenne, il est possible de rechercher les projets Erasmus+ achevés et en cours. En saisissant le filtre de recherche “LGBTI+”, on peut trouver 210 projets achevés au cours des dernières années et 51 en cours. Parmi les projets en cours, il y a au moins 21 projets qui reçoivent un financement substantiel de l’UE et qui se concentrent fortement sur la promotion explicite de l’idéologie LGBTQ+. Grâce à cette simple recherche, il s’avère que le financement total que les 21 projets actuels reçoivent s’élève à 2 429 266 euros, tous issus du budget de l’UE.

    Le projet consacré au “DragTivism”, c’est-à-dire à l’utilisation par un homme de vêtements flamboyants et d’un maquillage lourd pour imiter et exagérer les significations du genre féminin, s’adresse aux jeunes adultes. DragTivism, également financé par des fonds de l’UE, de 2021 à aujourd’hui avec des montants allant de 25 à 32 000 euros par an, partage sur ses médias sociaux ses initiatives et les commentaires des participants “du Portugal, de l’Espagne, de l’Italie, de la Grèce et de la Slovaquie” et d’autres pays européens, y compris des “étudiants” qui ont été formés “en développant une personnalité drag et en apprenant des compétences drag, les jeunes seront en mesure de transférer les compétences qu’ils ont acquises dans leur vie quotidienne”.

    Le projet “Training to Raise Awareness and Inclusion of Transgender” (TRAIT), financé à hauteur de 250 000 euros, vise à “atteindre les objectifs spécifiques suivants : accroître les connaissances et les compétences des professionnels sur la question des LGBTQ+ ; parvenir à la description d’unités de résultats d’apprentissage qui peuvent être évaluées et utilisées dans la description et l’évaluation des profils professionnels ; réduire la victimisation secondaire, les préjugés, les stéréotypes et la discrimination ; accroître la sensibilisation du public aux besoins des LGBTQ+”.

    Le projet “GAMe-based tools to Foster an INtegrative model for early Gender Equality Education”, financé à hauteur de 361 000 euros et visant à promouvoir l’attention portée à la diversité des genres, un défi dans le système éducatif actuel en Europe, s’adresse aux familles, aux enseignants, aux experts des jeux et des questions LGBTI et aux enfants âgés de 9 à 15 ans et implique des institutions et des associations d’Espagne, de République tchèque et de Roumanie.

    Le projet “LGBTIQ Youth affirmative mental health approaches”, financé à hauteur de 242 000 euros, implique des associations et des lobbies de Hongrie, d’Irlande, de Grèce et du Monténégro et vise à “améliorer la qualité de la santé mentale des jeunes LGBTIQ… et à renforcer les capacités des organisations dans le domaine de la santé mentale des LGBTIQ”.

    Le projet “Promouvoir l’éducation pluraliste dans les universités européennes pour combattre la discrimination invisible liée aux LGBTQ+”, financé à hauteur de 250 000 euros, implique la Pologne, la Lituanie, la Grèce et l’Université de Sienne en tant que coordinateur du projet, dans le but de “promouvoir une culture capable de contrer l’homophobie ou la transphobie invisibles et de promouvoir une culture des différences ; de produire un changement culturel, non seulement en travaillant avec le groupe spécifique, mais en agissant sur les raisons structurelles qui ont causé le malaise” en responsabilisant les étudiants et l’ensemble de la communauté universitaire.

    Enfin, un autre projet, le “Pride Network Lead”, financé à hauteur de 250 000 euros et impliquant la Pologne, la Grèce, l’Espagne et l’Académie IRSEI de Palerme, a pour objectif de “créer, promouvoir et tester une nouvelle norme pour le rôle professionnel de “Pride Network Lead”, qui soutiendra l’inclusion des personnes LGBTQ+ dans l’environnement de travail et favorisera l’ouverture à la diversité et à l’inclusion au sein des organisations”.

     

    Source : lesalonbeige

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 04 février 2024

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  • Attaque au couteau à Paris gare de Lyon

    Publié par Guy de Laferrière le 03 février 2024

    Attaque au couteau à Paris gare de Lyon

    Une attaque au couteau a eu lieu à la gare de Lyon ce samedi 3 février, aux alentours de 8 heures. Les forces de l’ordre sont rapidement intervenues, et une personne a été interpellée.

    Au moins trois personnes ont été blessées, dont l’une grièvement.

    Selon les premiers éléments, l’homme est un homme originaire du Mali, né en 1992, qui a présenté aux policiers un permis de conduire italien.

     

    Source : lesalonbeige

  • 2 février : la chandeleur (origines et histoire)

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2024

    chandeleur1Nom populaire de la fête chrétienne commémorant la « présentation de Jésus au Temple » (et, dans le calendrier traditionnel, « la purification de la sainte Vierge »), il nous vient du latin  festa candelarum (« fête des chandelles »), en raison de la bénédiction des cierges qui avait lieu ce jour-là.

    Quarante jours après Noël, l’Église célèbre l’épisode rapporté dans l’Évangile selon Saint Luc (Luc, 2, 22-35) de la présentation de l’Enfant au temple de Jérusalem : obligation sacrée, à cette époque, pour chaque nouveau-né (un peu comme le baptême par la suite).
    Le vieillard Siméon avait alors reconnu en le Christ la « lumière pour éclairer les nations ».

    Célébrée à Jérusalem dès le IVe siècle, la procession des cierges (les chandelles) vit le jour vers 450. La célébration s’exporta en Syrie, à Constantinople puis à Rome (sous le pontificat de Sergius Ier, d’origine syrienne). Une procession avait alors lieu à l’aurore entre le Forum et Sainte-Marie-Majeure.

    L’utilisation des cierges serait à rapprocher de l’ancien usage des Romains de déposer des lampes funéraires sur les tombes des ancêtres du 13 au 21 février.
    Ils cherchaient à éloigner les esprits des ténèbres (février vient du februare, « purifier ») ; la fin de l’hiver annonçant chez eux le réveil des forces chtoniennes. Dans le calendrier celtique, le premier février correspondait à la fête d’Imbolc, culte domestique destiné à protéger et purifier la maison.

    La pâtisserie rituelle associée à la chandeleur est la crêpe, également caractéristique du carnaval. Faite de farine, lait et œufs, elle servait à prouver que l’on avait encore des réserves à la fin de l’hiver et jouait un rôle protecteur : la première devait être lancée sur le dessus d’une armoire, pour veiller à l’économie familiale, et une pièce en or dans la main selon certaines superstitions, pour s’assurer la fortune toute l’année.

    Une scène du film Archimède le clochard (campé par un Gabin truculent, réalisé par Gilles Grangier en 1959) illustre d’ailleurs cet usage.

    Cette dernière fête familiale marque la fin du temps de Noël (en Provence, la crèche est enlevée à ce moment).
    Y succéderont les jours gras, tournés vers l’extérieur.
    Le 2 février est aussi la « fête de la purification de Marie » de la fin du VIIIe siècle à 1969 (nouveau calendrier romain mis en place par Paul VI).
    Là encore, la Sainte Vierge, bien que n’ayant nul besoin d’être « purifiée », se soumet à cette obligation rituelle :

     

    Source : contre-info.com

     

  • Gérard Miller est au cœur d’une tempête médiatique, depuis le mercredi 31 janvier 2024

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2024

    Thomas Joly

    Gérard Miller est au cœur d’une tempête médiatique, depuis le mercredi 31 janvier 2024, suite à un article dans le magazine féminin Elle. Elle a été générée par le mouvement féministe international #MeToo (moi aussi en anglais). Il est dénoncé par trois femmes, pour des faits anciens remontant aux années 1990 à 2000, comme un dangereux violeur-manipulateur. Ces faits allégués sont prescrits, ou à la limite de la prescription, qui est de 20 ans pour viol. Nous détestons ce procédé de lynchage médiatique, qui vise à anéantir un homme, hors de toute procédure judiciaire. Néanmoins, pour le cas spécifique de Gérard Miller, on ne peut pas s’empêcher de penser que c’est bien fait pour lui. Il soutenait en effet ce mouvement, et avait exigé il y a peu la démission de Moussa Darmanin, « accusé par une femme » - ce qui est tout de même bien léger ! Ce « grand » philosophe, essayiste, psychanalyste, au carnet d’adresses impressionnant, hier encensé de tous, doit aujourd’hui, tomber de haut, et c’est mérité.
    LA CHUTE D’UN MANDARIN ?
    Gérard Miller faisait en effet partie de ces personnalités médiatiques majeures incontournables, qui pontifient depuis des décennies sur les plateaux télévisés, ou dans des tribunes dans des grands journaux, ou à l’université. Gérard Miller, âgé de 75 ans, vit avec la cinéaste Anaïs Feuillette, de 32 ans sa cadette ; il a donc sévi aussi dans le cinéma français d’aujourd’hui, inspirant les nullités gauchistes payées avec nos impôts et que personne ne va voir. Ces mandarins ne font que développer le pire de la pensée unique gauchisante, s’attaquant à tout ce qui est soupçonné de relever de la morale chrétienne, de la morale traditionnelle, du patriotisme français, et font la promotion hystérique de l’exact inverse, de l’immigration de masse, du féminisme et de l’homosexualisme de choc, de toute forme de lutte « écoclimatique ». Ils veulent promouvoir, avec une prétention d’infaillibilité, une antimorale complexe ; l’assemblage de tous les contraires ne forme pas facilement un édifice un minimum cohérent… Gérard Miller, est, sans être unique, de l’espèce la plus ridicule, de celle qui se prend, contre toute apparence, pour un vrai révolutionnaire ! Il résisterait au macronisme, un fascisme qui persécuterait les migrants et les minorités sexuelles… Dans quel monde délirant vit-il, s’il y croit vraiment ?
    Gérard Miller s’affiche en très grand admirateur, sans rire ni ironie, de Sandrine Rousseau, personnalité dont les élans lyriques ridicules ou extravagants vont jusqu’à gêner ses amis politiques. Sandrine Rousseau, pour une fois reconnaissante, n’a d’ailleurs pas encore accablé son ami Miller. Nous ne douterons pas qu’elle finira par le faire, mais après une retenue de quelques jours, un record dans le genre chez elle. En attendant, elle attaque les agriculteurs, promeut l’avortement, et défend le droit à la paresse, sérieusement. Toute la caste médiatique ou presque le soutient toujours, au moins indirectement : ainsi, Libération, qui avait fait sa une le 6 janvier 2024 sur une mise en accusation de Gérard Depardieu, avec une photographie géante de l’acteur, pour des faits allégués de viol aussi, a fait le service minimum pour Gérard Miller en son édition du jeudi 1er février, expédiant son cas en pages intérieures profondes - page 18 précisément -, les moins lues du journal, avec un résumé discret de quelques lignes, sans illustration, et le mettant en parallèle avec un handballeur inconnu.
    FAUSSES ET VRAIES VALEURS
    Gérard Miller a été précisément accusé d’avoir abusé de sa pratique paramédicale de la psychanalyse, mêlée d’hypnose. Il s’agit d’une double imposture, ni l’une ni l’autre n’ont jamais guéri personne, et sont suspectables de bien des dérives avec des raisonnements tournant de manière obsessionnelle autour de la sexualité, et de toutes les fantaisies en la matière, à commencer par le dogme singulier des envies incestueuses qui prendraient à tous les enfants envers leurs parents - dit « complexe d’Œdipe ». Soucieux subitement de présomption d’innocence, Gérard Miller a publié une longue tribune pour se défendre, privilège déjà rare, où il sous-entend qu’il serait victime d’hystériques - ah bon, cela arriverait finalement ?. Se manifesterait, au-delà de sa personne, un complot obscurantiste, méconnaissant la psychanalyse, et lui attribuant des pratiques abandonnées depuis un siècle, comme l’hypnothérapie. Or, le site FrançaisdeSouche a exhumé une vidéo de 2001 où il avait avoué sa fascination pour l’hypnose, sa pratique « d’expériences » en la matière, ce qui correspond à peu près aux dires des plaignantes…
    Ainsi, tous ces donneurs de leçons finissent par donner l’impression qu’ils appliquent peu à eux-mêmes leurs grands principes affichés. On songe récemment aux affaires Adrien Quattenens, Thomas Portes ou Eric Coquerel (classée sans suite en février 2023 par la justice). Il faut décidément se débarrasser de cette caste nocive, et hypocrite, de penseurs officiels et procureurs médiatiques, en les mettant à la retraite ou au chômage -avec obligation de chercher un vrai travail-, et reconstruire une société sur des bases saines, mettant en valeur l’amour du pays, l’amour durable entre conjoints, le travail, et ce par des individus sains défendant ces principes authentiques et nécessaires à toute société, sur les écrans grands et petits comme dans les cours universitaires.
     
    Scipion de Salm - Membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
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