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  • Le maire de Meylan prend un arrêté le 12 février pour fermer l’école de la Fraternité Saint-Pie X et un autre pour l’abroger le 13 février…

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2024

    Que cela doit être dur d’être obligé  “d’avaler son chapeau” aussi vite !

    Le maire de Meylan a pris un arrêté le 12 février pour fermer l’école  Saint-Pierre-Julien-Eymard [Voir photo ci-dessus] pour “raisons de sécurité”.

    En réalité, il voue une haine tenace à cette école hors-contrat tenue par la Fraternité Saint-Pie X qui l’a déjà contraint a respecté la loi pour la construction d’une église, la cour d’appel de Lyon ayant rejeté, en 2023, son recours en annulation du permis de construire.

    L’arrêté du 12 février 2024 est « gravement illégal », a répondu l’avocat de l’établissement.

    Dans un courrier envoyé le 13 février, Maître Hugues de Lacoste-Lareymondie dénonce une décision « prématurée », décrétée avant les trente jours impartis pour répondre à la mise en demeure reçue le 13 janvier et prise sans avoir réuni une commission de sécurité.

    « On a répondu dans les temps à la mairie, signifiant que les travaux étaient réalisés »,  a affirmé M.  l’abbé Jean-Marie Salaün (FSSPX), le directeur de l’école.

    Le petit maire hargneux, Philippe Cardin,  est finalement revenu sur son oukase manifestement illégal en milieu de matinée demandant à sa police municipale de se rendre à l’école Saint-Pierre-Julien-Eymard pour y remettre un nouvel arrêté, abrogeant le précédent.

    Heureusement, dit l’adage, que le ridicule ne tue pas…

    Paul DEROGIS

     

    Source : medias-presse.info

  • Homophobie, misogynie, polygamie : “on s’étonne qu’en 2024, Bob Marley échappe toujours aux foudres des wokistes, adeptes de la cancel culture et autres pourfendeurs du patriarcat”

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2024

    Homophobie, misogynie, polygamie : la face obscure du rastafarisme

    Si 43 ans après sa mort, Bob Marley véhicule toujours un message de paix et de tolérance, le mouvement religieux, politique et culturel dont il se revendiquait affiche un visage bien plus obscure.

    Il véhicule toujours, comme ses chansons, l’image d’un chantre de la paix et de la tolérance. Pourtant, il y aurait à redire. Et on s’étonne qu’en 2024, il échappe toujours aux foudres des wokistes, adeptes de la cancel culture et autres pourfendeurs du patriarcat. Explication.“Bob Marley : One Love”, le biopic qui fait plouf

    Bob Marley se revendiquait haut et fort du rastafarisme, mouvement religieux inspiré de l’Ancien Testament, mais aussi politique et culturel. Pour les adeptes, Jah, autrement dit Dieu, les a mis à l’épreuve par le biais de l’esclavage, de l’injustice économique et de l’oppression raciale. Ils attendent la délivrance et leur retour vers Sion, le nom symbolique de l’Afrique dans la tradition biblique.

    Les femmes, citoyennes de seconde zone pour les rastafariens

    Mais il a aussi un côté nettement plus sombre, pour ne pas dire obscure. Le rastafarisme est un mouvement misogyne. La société prônée est résolument patriarcale. Il n’y a pas de place pour l’égalité des sexes. L’homme est le chef, la femme est une citoyenne de seconde zone. Elle est même mise à l’isolement lorsqu’elle a ses règles. Elle est alors considérée comme impure.

    Corollaire de tout cela : la polygamie fait partie des mœurs. Selon sa légende, Bob Marley a eu une quinzaine d’enfants de 7 femmes différentes. Seuls 10 ont été reconnus officiellement. Moustique, dans son numéro de la semaine, rappelle que dans une interview radio accordée aux États-Unis, Bob Marley considérait les femmes “comme des mères de la création” et qu’il se sentait “le droit de les avoir toutes”.

    Un mouvement ouvertement homophobe

    Il y a enfin la question de l’homosexualité. Le rastafarisme est un mouvement ouvertement homophobe. Si le roi du reggae n’a jamais abordé la question dans ses chansons, certains de ses disciples ne se privent pas. C’est le cas de Capleton, star du reggae, qui a vu nombre de ses concerts annulés en raison de ses propos. On pense aussi à un autre artiste jamaïcain, Sizzla, dont des chansons, qualifiées “d’outrancièrement homophobes”, ont conduit à des annulations de grands événements. Ça a été le cas du Garance Reggae Festival à Paris en 2005 ou, chez nous, d’un festival à Geel en 2016.

     

    www.dhnet.be via fdesouche

  • Un patient du CHU de Toulouse s’est suicidé après avoir passé 10 jours sur un brancard dans un box de « 8m²

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2024

    Un patient a mis fin à ses jours ce mercredi matin. Il « a été découvert inanimé à 8h30 et un médecin du service des urgences somatiques, situé à proximité, est immédiatement intervenu afin de tout mettre en œuvre pour le réanimer. Malheureusement, malgré tous les efforts déployés, le patient n’a pu être sauvé », précise dans un communiqué la direction du CHU ce mercredi soir.

    Une cellule de soutien psychologique a immédiatement été mise en place pour le personnel soignant « profondément bouleversé » par ce nouvel événement malheureux. La famille du patient a également été prise en charge.

    « Pire qu’une prison »

    Selon les syndicats CGT et Sud Santé, le patient était hospitalisé depuis dix jours sur un brancard, faute de lui trouver un lit au sein de l’établissement ou dans une autre structure adaptée pour poursuivre ses soins. « Il était en fait dans un box de consultation séparé d’un autre par un rideau et qui fait normalement office de bureau. Sans sanitaire, puisque ce n’était pas une chambre. Donc, pire qu’une prison », témoigne Julien Terrié, le secrétaire CGT du CHU.

    Via : 20minutes

  • 1.300 euros la nuit d’hôtel : la vie de palace de Delphine Ernotte

    Publié par Guy de Laferrière le 15 février 2024

    15 Février 2024, 06:23am | Publié par Thomas Joly

     

     

    Rien n’est trop beau pour Delphine Ernotte. Ni trop luxueux. Quand elle est en déplacement professionnel, la patronne de France Télévisions ne transige pas avec le confort. Des couverts en argent et des draps de soie, cela va de soi. Du cinq étoiles, c’est un minimum. Madame veut du palace et pas du Novotel ou de l’hôtel Ibis. Ah non, sûrement pas ! Ça, c’est bon pour les sans-dents.

    Au mois de mai dernier, par exemple, la baronne du petit écran est allée passer une dizaine de jours à Cannes en compagnie de trois collaborateurs. Le petit groupe a posé ses valises griffées au Majestic, luxueux établissement de la Croisette. Montant : 112.123 euros. Une bagatelle pour des personnalités de ce standing, mais une petite fortune pour le commun des mortels. Avec des tarifs à plus de 1.300 euros la nuit, on est loin en effet de ce que s’offre d’ordinaire le service public. Selon nos confrères de Marianne, le forfait alloué aux salariés « normaux » ne dépasse pas… 74 euros.

    Un goût du luxe qui passe mal

    Évidemment, cette différence de traitement ne pouvait pas laisser les syndicats indifférents. Une plainte pour « détournement de fonds » et « abus de confiance » a ainsi été déposée, le 12 février dernier, contre Delphine Ernotte. Le syndicat CFE-CGC souligne des faits qui « soulèvent des préoccupations quant à la gestion financière de France Télévisions et à la légitimité des dépenses ».

    Dans sa plainte, consultée par le quotidien La Lettre, l'avocat du syndicat évoque notamment deux suites, la « Prestige Mer » et la « Deluxe Ville », respectivement à 1.759 et 1.319 euros la nuit. Le petit déjeuner et le mini-bar étaient-ils compris dans le forfait ? L’histoire ne le dit pas…

    Petit arrangement entre amis

    Mais pour la direction de France Télévisions, tout ceci n’est que polémique stérile. Circulez, y a rien à voir. Tout a été fait dans les règles de l’art. « Pas un euro d'argent public n'a été utilisé pour ces frais », jure-t-on dans l’entourage de dame Ernotte. Et pour cause : c’est une société privée dénommée TEC qui a réglé la note. Pour arriver à ses fins, France Télévisions a eu recours à l’ingénieux système de « barter », permettant au groupe d'échanger un espace publicitaire invendu contre des services. En clair, le principe est le suivant : je te file un espace publicitaire et tu me paies mes nuits d’hôtel. Rien d’illégal à ce troc, certes, mais rien de très moral non plus. N’aurait il pas été possible de faire en sorte que ce « service » à 100.000 euros profite à l’ensemble du groupe - voire aux usagers - du service public, plutôt qu’il serve à financer le train de vie dispendieux de sa patronne ? L’idée n’a manifestement pas traversé l’esprit de Delphine Ernotte. Qu’elle ne saisisse pas, en plus, en quoi ce petit arrangement financier peut choquer en dit long sur la déconnexion et le sentiment de toute-puissance de la petite élite dont elle fait partie.

    Jean Kast

    Source : http://bvoltaire.fr