Il restera comme le président le plus anti-français
et le plus méprisable de la Cinquième République.
Après nous avoir dit que la colonisation de l’Algérie a été un crime contre l’humanité, Macron a osé déclamer, façon théâtreux, une ode au communisme, idéologie totalitaire aux 100 millions de morts lors de la panthéonisation de Manouchian :
«Parce qu’ils sont communistes, ils ne connaissent rien d’autre que la fraternité humaine, enfants de la Révolution française, guetteurs de la Révolution universelle».
Pour l’historien Christophe de Voogd cette nouvelle saloperie macronienne n’est plus ni moins qu’une «réécriture de l’histoire» .
Pour nous c’est une véritable déclaration d’amour au communisme que chacun s’accorde à dire que l’idéologie a fait plus de victimes que le nazisme.
Le maire LR de Lavaur Bernard Carayon a ironisé en déclarant : «Bravo. Visiblement, E. Macron n’a lu ni Aron, ni Souvarine, ni Soljenitsyne».
On se serait cru au lendemain de la mort de Staline, quand toute la bien-pensance française, intellectuels, artistes, politiques, célébrait d’un seul chœur la mémoire du dictateur le plus sanglant de tous les temps !
Rappelons-nous quand la République condamnait le parti communiste français qui fraternisait avec le nazisme en obéissant aux ordres du communisme international et qui s’opposait à l’effort de guerre français en sabotant les fabrications d’armement.
En effet, après la défaite française de 1940, le parti communiste donnait des consignes de fraternisation avec l’armée allemande et le journal l’Humanité demandait aux occupants nazis l’autorisation de paraître.
Notre consœur Pauline Mille de reinformation.tv résume bien notre écœurement par ces mots :
“La fraternité humaine ! La longue file des victimes du communisme, du Goulag, des Lao Gai, des camps Vietminh et Khmers rouge, de la Tchéka, du Guépéou, du NKVD, du KGB, de toutes les polices er armées rouges, des famines organisées, de l’Holodomor, des révolutions culturelles, du massacre et des persécutions des croyants, de la mise à mort par le servage et les travaux forcés, etc., etc., remercieront sûrement le président de la République française, patrie revendiquée des droits de l’homme, pour cet hymne au communisme. Et admireront que l’ensemble des médias et partis politiques français, tétanisés, le petit doigt sur la couture du pantalon, ait écouté sans broncher cette ignoble trahison de la France, de l’esprit humain, de la misère humaine et de la vérité. Les panégyriques d’aujourd’hui sont les repentirs de demain.”
Indécent, ignoble et méprisable, Macron aura des comptes à rendre quand viendra l’heure…
Paul DEROGIS
Source : medias-presse.info