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communisme

  • Macron insulte les 100 millions de morts dus au communisme dont il loue “l’idéal révolutionnaire” !

    Publié par Guy de Laferrière le 23 février 2024

    Il restera comme le président le plus anti-français

    et le plus méprisable de la Cinquième République.

    Après nous avoir dit que la colonisation de l’Algérie a été un crime contre l’humanité, Macron a osé déclamer, façon théâtreux, une ode au communisme, idéologie totalitaire aux 100 millions de morts lors de la panthéonisation de Manouchian :

    «Parce qu’ils sont communistes, ils ne connaissent rien d’autre que la fraternité humaine, enfants de la Révolution française, guetteurs de la Révolution universelle».

    Pour l’historien Christophe de Voogd cette nouvelle saloperie macronienne n’est plus ni moins qu’une «réécriture de l’histoire» .

    Pour nous c’est une véritable déclaration d’amour au communisme que chacun s’accorde à dire que l’idéologie a fait plus de victimes que le nazisme.

    Le maire LR de Lavaur Bernard Carayon a ironisé en déclarant : «Bravo. Visiblement, E. Macron n’a lu ni Aron, ni Souvarine, ni Soljenitsyne».

    On se serait cru au lendemain de la mort de Staline, quand toute la bien-pensance française, intellectuels, artistes, politiques, célébrait d’un seul chœur la mémoire du dictateur le plus sanglant de tous les temps !

    Rappelons-nous quand la République condamnait le parti communiste français qui fraternisait avec le nazisme en obéissant aux ordres du communisme international et qui s’opposait à l’effort de guerre français en sabotant les fabrications d’armement.

    En effet, après la défaite française de 1940, le parti communiste donnait des consignes de fraternisation avec l’armée allemande et le journal l’Humanité demandait aux occupants nazis l’autorisation de paraître.

    Notre consœur Pauline Mille de reinformation.tv résume bien notre écœurement par ces mots : 

    “La fraternité humaine ! La longue file des victimes du communisme, du Goulag, des Lao Gai, des camps Vietminh et Khmers rouge, de la Tchéka, du Guépéou, du NKVD, du KGB, de toutes les polices er armées rouges, des famines organisées, de l’Holodomor, des révolutions culturelles, du massacre et des persécutions des croyants, de la mise à mort par le servage et les travaux forcés, etc., etc., remercieront sûrement le président de la République française, patrie revendiquée des droits de l’homme, pour cet hymne au communisme. Et admireront que l’ensemble des médias et partis politiques français, tétanisés, le petit doigt sur la couture du pantalon, ait écouté sans broncher cette ignoble trahison de la France, de l’esprit humain, de la misère humaine et de la vérité. Les panégyriques d’aujourd’hui sont les repentirs de demain.”

    Indécent, ignoble et méprisable, Macron aura des comptes à rendre quand viendra l’heure…

    Paul DEROGIS

     

    Source : medias-presse.info

  • Le concile Vatican II, c’est comme le communisme

    Publié par Guy de Laferrière le 09 janvier 2023

    Auteur : 

    Ignace - Un vaccin contre la messe traditionnelle
    Ignace – Un vaccin contre la messe traditionnelle

    Lisu sur le Forum Catholique :

    « le Concile est comme le communisme :

    – il ne peut pas échouer, puisqu’il est bien intentionné, bien inspiré, au point de dire non aux divisions issues du passé et à la Tradition, périmée, et bien orienté, au point de dire oui à l’unité située dans l’avenir et au Renouveau permanent ;

    – il ne peut pas réussir, tant qu’il n’est pas totalement mis en oeuvre, d’une manière intégrale et radicale, dans ses composantes les plus rupturistes à l’égard de l’ancien régime ecclésial et de ses partisans, archaïques, nostalgiques, rigides, sectaires,

    – il ne peut pas réussir, tant qu’il existe, au sein même de l’Eglise du Concile, devenue l’Eglise de François, des hypo-conciliaires, ou des pseudo-conciliaires, qui sont, en fait, des crypto-traditionnels : les conciliaires conservateurs, qui ont été « honteusement » encouragés, favorisés, sous Jean-Paul II puis sous Benoît XVI.

    Imaginons un seul instant que cet état d’esprit, qui s’est manifesté des années 1960 aux années 2000, existe encore, ici ou là, sous François ; comment voulez-vous et pourquoi voudriez-vous que des clercs animés par cet état d’esprit reconnaissent, en plénitude, l’échec du Concile et la faillite de l’après-Concile ?

    Sous cet angle, celui de l’aveuglement et de l’entêtement, ou de l’obstination et de l’occultation idéologiques, le Concile est comme « l’Europe » : si celle-ci ne fonctionne toujours pas d’une manière globalement satisfaisante, c’est parce qu’il n’y en a pas encore assez...

    D’où le périphérisme et le synodalisme de François, qui ne sont pas conciliaires au regard de tout un enseignement, mais qui le sont au regard de toute une dynamique, certainement légitime, car « évangélique« …

     

    Source : medias-presse

  • Décès de Sempé, père du Petit Nicolas (màj. : il ne faisait jamais étalage de ses opinions dans ses dessins et tenait des propos “féroces” vis-à-vis de Picasso ou Sartre pour leurs positions communistes)

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2022

    15/08/2022

    Sempé ne rechignait pas à épingler certains ridicules, quitte à se montrer assez féroce avec ces contemporains, qualifiant Picasso « d’imbécile complet ». « Quand il déclare : “Je suis allé au communisme comme à une source d’eau fraîche.” Non mais quel connard !, déclarait-il dans nos colonnes, en 2017. Bien sûr que l’eau était fraîche, elle venait de Sibérie où l’on tuait un bon millier de pauvres gens par jour. De telles bêtises, c’est accablant. De la même manière, Jean-Paul Sartre, qui avait déclaré en rentrant confortablement de Russie, où il avait été très bien accueilli : “Tout anticommuniste est un chien”. Ce type dirige la pensée française de l’époque. C’est quand même impensable… » Pourtant Sempé ne fera jamais étalage de ses opinions dans ses dessins. Pour lui, “l’humour n’a jamais été fait pour attaquer”.

    Le Figaro

    12/08/2022

    Le Petit Nicolas a perdu son papa. Le dessinateur français Jean-Jacques Sempé, connu, donc, pour ses illustrations des aventures du Petit Nicolas et ses dessins de presse humoristiques, s’est éteint jeudi 11 août à l’âge de 89 ans. Grand maître français de l’humour et de la poésie, mélange de dérision et de modestie, Sempé a tracé depuis les années 1950 jusqu’à aujourd’hui une œuvre pleine de bonhommie.

    Né en 1932 à Pessac, près de Bordeaux, le dessinateur a publié une douzaine d’albums dans sa carrière, Saint Tropez, Tout se complique et surtout le Petit Nicolas, vendu aujourd’hui à quelque 15 millions d’exemplaires. Enfant naturel, battu et bègue, Sempé n’a pas vraiment eu l’enfance de son héros Nicolas qu’il fait grandir avec Goscinny dans une France idéalisée des années 1950. Il vend ses premières planches en 1950 à Sud Ouest qu’il signe “DRO” (de “to draw”, dessiner en anglais).

    Depuis le Petit Nicolas qu’il créé en 1959 avec René Goscinny, Jean-Jacques Sempé a publié quasiment un album par an et signé une centaine de Unes dans la presse. Un autobus sur un pont traversant la Seine de nuit, des musiciens, des cyclistes, un cracheur de feu, des scènes à Central Park, Saint-Tropez ou au Jardin du Luxembourg… Dans chacune de ses œuvres, on retrouve ses thèmes de prédilection: la petitesse de l’homme dans la nature, sa solitude dans la ville, ses disputes, ses ridicules et ses ambitions démesurées, les limites de l’esprit d’équipe.

    Le Point

  • 23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2020

    23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.

    Douze jours plus tard les chars soviétiques viendront noyer la révolte dans le sang. Tous les mouvements nationalistes d'Europe marqueront alors activement leur solidarité militante avec les patriotes Hongrois.

    La Hongrie restera soumise pour plus de trente ans encore au joug communiste, mais son honneur était sauf.

    Pour leurs libertés, leur indépendance, leur identité et contre la servitude, les grands peuples un jour ou l'autre se réveillent et descendent dans la rue. Les Français furent un grand peuple. Le sont-ils encore? Il ne reste plus beaucoup de temps pour le savoir.

    Jean-François Touzé.

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  • “L’idéologie du genre est pire que le communisme”, déclare le Président polonais

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2020

    Le président polonais Andrzej Duda a déclaré que l’idéologie du genre “est encore plus destructrice pour l’être humain” que le communisme.

    Lors d’un discours de campagne pour sa réélection à la présidence de la Pologne, Duda a comparé l’endoctrinement qui a eu lieu pendant le communisme avec l’endoctrinement LGBT.

    «C’était le bolchevisme. C’était l’endoctrinement des enfants. Aujourd’hui, il y a aussi des tentatives de nous imposer une idéologie à nous et nos enfants, mais différente. C’est totalement nouveau, mais c’est aussi du néo-bolchevisme », a-t-il expliqué .

    Dans le cadre de cette campagne, le président Duda s’est engagé à protéger les enfants de l’idéologie LGBT.

    Le président Duda, catholique pratiquant, a commencé sa présidence en 2015 en faisant un pèlerinage à Notre-Dame de Częstochowa, qui est vénérée comme reine et protectrice de Pologne.

     

    Source : medias-presse.info