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insurrection

  • Des élections suivies d’une insurrection : tout bénéfice pour Macron

    Publié par Guy de Laferrière le 20 juin 2024

    Des élections suivies d'une insurrection : tout bénéfice pour Macron

    Les hypothèses vont bon train. Quelle stratégie adoptera Emmanuel Macron après l’annonce des résultats des élections législatives anticipées ? Un blocage des institutions accompagné d’un climat insurrectionnel est sérieusement envisagé. Dans ce cas, Emmanuel Macron dispose d’une arme exceptionnelle : le recours à l’article 16 de la Constitution, qui lui confère les pleins pouvoirs !

    Situation d’exception sans contre-pouvoir

    Selon différents médias, Emmanuel Macron a déjà discuté de cette hypothèse avec son proche entourage.

    Il est bien possible qu’au soir du 7 juillet, aucun parti politique ne dispose d’une majorité absolue. Est-ce de nature à entraîner un blocage des institutions. Certains croient à ce scénario. D’autres prédisent que, dans tous cas, la France basculera dans une atmosphère d’insurrection et d’émeutes. Alors que le ministère de l’Intérieur a prévu de concentrer les effectifs des services de police et de gendarmerie sur la sécurité des Jeux Olympiques, la situation pourrait rapidement dégénérer en ce mois de juillet dans de nombreuses villes de France devenues hors de contrôle.

    Ce serait alors une opportunité pour Emmanuel Macron  de se saisir, en tant que président de la république, de l’article 16 de la Constitution, et de s’arroger les pleins pouvoirs.

    Les conditions pour actionner l’article 16 de la Constitution sont une menace insurrectionnelle, susceptible de remettre en cause l’intégrité du territoire ou l’interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics.

    Ce deuxième cas pourrait être choisi par Emmanuel Macron après ces législatives. Le chef de l’État pourrait alors s’arroger tous les pouvoirs.

    Il peut prendre seul cette décision et maintenir cette situation aussi longtemps qu’il le juge nécessaire. Après 60 jours, le Conseil constitutionnel, s’il est saisi, pourra simplement émettre un avis sur le bien-fondé ou non du recours à cette situation d’exception.

    Léo Kersauzie

     

    Source : medias-presse.info

  • Insurrection en Guadeloupe contre la vaccination obligatoire : 200 policiers et gendarmes envoyés en renfort

    Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2021

     

    Après plusieurs incendies, notamment à Pointe-à-Pître, et des barrages érigés un peu partout dans l’archipel , la Guadeloupe renoue avec les épisodes insurrectionnels de 2009. Probablement une évolution voulue par les organisations à l’origine du mouvement de mobilisation générale

    Un réveil brutal pour les Guadeloupéens qui découvrent une situation compliquée dans tout l’archipel. Ce sont d’abord des incendies sur lesquels les soldats du feu ont été emmenés à intervenir durant toute la nuit et par endroit, en ont été empêchés par les groupes de jeunes à l’origine de ces incendies.
    A Pointe-à-Pître, au moins six habitations ont été impactés par ces feux. Quatre d’entre elles ont été entièrement détruites malgré l’intervention des pompiers. Certains commentaires faisaient aussi état d’une personne qui aurait sauté du 3ème étage pour échapper aux flammes. Une information qui n’a pas encore pu être vérifiée.

    la1ere.francetvinfo.fr via fdesouche

  • Octobre1956/ octobre 2020. D'une chappe de plomb, l'autre.

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2020

     

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.
     
    Douze jours plus tard les chars soviétiques viendront noyer la révolte dans le sang. Tous les mouvements nationalistes d'Europe marqueront alors activement leur solidarité militante avec les patriotes Hongrois. L'attaque du siège du PCF, carrefour de Châteaudun à Paris,  le 7 novembre à l'issue d'une manifestation qui regroupait sur les Champs Elysées plus de 40 000 personnes habitées par la haine de la folie marxiste-léniniste, attaque menée par les militants de Jeune Nation, les étudiants nationalistes et les anciens d'Indochine reste dans toutes les mémoires de notre camp et fut à l'origine, comme la chute de Dien Bien Phu, de l'engagement national de toute un génération de coeurs purs.
     
    La Hongrie, hélas, restera soumise pour plus de trente ans encore au joug communiste, mais son honneur était sauf.
     
    Pour leurs libertés, leur indépendance, leur identité et contre la servitude et la domination étrangère, les grands peuples un jour ou l'autre se réveillent et descendent dans la rue. 
     
    Les Français furent un grand peuple. Le sont-ils encore? Il ne reste plus beaucoup de temps pour le savoir et en faire la  démonstration. 
     
    La Chappe de plomb du totalitarisme progressiste, financier, immigrationniste et globaliste d'aujourd'hui est pourtant aussi pesante que celle du communiste d'hier.
     
  • 23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2020

    23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.

    Douze jours plus tard les chars soviétiques viendront noyer la révolte dans le sang. Tous les mouvements nationalistes d'Europe marqueront alors activement leur solidarité militante avec les patriotes Hongrois.

    La Hongrie restera soumise pour plus de trente ans encore au joug communiste, mais son honneur était sauf.

    Pour leurs libertés, leur indépendance, leur identité et contre la servitude, les grands peuples un jour ou l'autre se réveillent et descendent dans la rue. Les Français furent un grand peuple. Le sont-ils encore? Il ne reste plus beaucoup de temps pour le savoir.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : une personne ou plus, personnes debout et plein air
     
     
     
  • Montréjeau : commémoration du 220e anniversaire de l'insurrection catholique et royaliste de 1799

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2019

    Publié par Bien Commun

    Aujourd'hui avait lieu à Montréjeau en Haute-Garonne la commémoration du 220e anniversaire de l'insurrection catholique et royaliste de 1799 qui s'achève par le massacre de milliers d'insurgés par les troupes révolutionnaires, voici le message que j'ai adressé à cette occasion :

    Chers Amis,

    En cette journée de commémoration des évènements douloureux de l’été 1799, je me joins à vous par la pensée et l’émotion.

    Le massacre de Montréjeau fut le dernier et non des moindres, de la terrible décennie commencée avec les évènements de l’été 1789. La République, ne se contenant pas de mettre à bas les institutions qui depuis huit siècles avaient fait le bonheur de tous et la gloire de la France, était enfantée dans le sang des Français. Ces derniers, animés par leur foi ardente et leur attachement au roi le protecteur naturel de leurs libertés, furent en effet nombreux dans toutes les provinces à résister au prix souvent de leur vie. La Vendée paya un terrible tribut, et le Midi toulousain n’est pas en reste.

    Mais à l’horreur des massacres, les responsables ont ajouté le déni. Le forfait exécuté, il fallait l’oublier. Ainsi les morts n’eurent ni actes de décès ni sépultures. Il fallait supprimer les traces du crime afin qu’il soit oublié et que les familles et les enfants ne puissent pas se recueillir sur la tombe des martyrs.

    Mais le sang ne s’efface pas. Deux siècles après, les descendants ont souhaité qu’enfin la lumière soit faite sur ces évènements. Comme cela commence en Vendée, les archéologues se mettent à étudier les charniers où furent déposées les victimes. La science vient au secours de l’histoire. Au secours de la Vérité.

    Merci donc à tous ceux qui sont présents aujourd’hui.
    Merci aux organisateurs de l’évènement.

    Merci aux membres du Comité du souvenir des victimes de la Révolution en Midi toulousain qui œuvrent pour qu’un monument commémoratif soit érigé. Il permettra de garder la trace de ce massacre afin de rendre un hommage aux victimes. Mais au-delà il permettra de se rappeler qu’il ne faut pas laisser les idéologies pernicieuses comme celles de 1789 remplacer les principes hérités du décalogue chrétien qui avaient fait la gloire de la monarchie et de la France.
    Que tous les saints de France veillent sur les morts de Montréjeau et continuent à inspirer les Français et les rendent fidèles à leur histoire millénaire.

     

    Louis de Bourbon, Duc d’Anjou

     

    Source : democratie-royale