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expulsion

  • Expulser un Imam

    Publié par Guy de Laferrière le 23 février 2024

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    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Expulser un Imam qui hait la France c'est bien, mais il reste des millions de musulmans qui pensent exactement comme lui... »
  • Toulouse : la justice bloque l’expulsion de la centaine de migrants “mineurs” qui occupent l’université Paul Sabatier, pourtant des tests ont révélé que la grande majorité de ces “mineurs” sont en réalité majeurs

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2023

    Le tribunal administratif de Toulouse a levé vendredi la mesure d’expulsion qu’il avait prononcée en décembre contre les jeunes migrants qui occupent depuis un mois une aile du bâtiment 4R3 sur le campus de l’université Paul Sabatier.

    C’est “une victoire” pour la centaine de mineurs non-accompagnés qui occupent depuis mi-décembre une aile du bâtiment 4R3 de l’Université Paul Sabatier. Ce vendredi 13 janvier, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a finalement levé la mesure d’expulsion qu’il avait ordonnée le 29 décembre.

    La juridiction explique avoir pris en compte “un élément nouveau” pour modifier sa décision. La direction de l’université qui avait saisi le tribunal pour obtenir l’expulsion des jeunes migrants a justifié son action en justice en mettant en avant des risques chimiques et électriques dans le bâtiment en question. Elle avait notamment évoqué la présence “de bocaux de produits chimiques en sous-sol”, l’absence d’équipement adapté pour assurer la sécurité et l’hygiène des occupants et “un défaut de système de sécurité incendie”.

    Mais ce vendredi, lors d’une nouvelle audience, Me Fanny Sarasqueta, conseil des mineurs isolés a pu prouver “l’absence de risque avéré tenant à la présence de substances et produits dangereux ou à la présence de branchements électriques non sécurisés”.

    (…) Dans leur grande majorité, ces jeunes migrants se sont vus refuser le statut de mineurs isolés après leur évaluation par le DDAEOMI, dispositif chapeauté par le Département de Haute-Garonne, qui a conclu à leur majorité.

    La Dépêche via fdesouche

  • Romans-sur-Isère (26) : faute de place en centre de rétention administrative, pas d’expulsion mais une comparution dans un an pour un cambrioleur en situation irrégulière

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022

    Les policiers romanais enquêtaient depuis la fin du mois d’août sur des vols commis dans une entreprise. Grâce aux images de vidéosurveillance, ils étaient parvenus à identifier le suspect comme étant un étranger en situation irrégulière se déclarant SDF sur Romans. Finalement, lors d’une patrouille, l’homme a été repéré et interpellé ce lundi 10 octobre dans le quartier de la Monnaie.

    Placé en garde à vue, il a reconnu les faits. Faute de place en centre de rétention administrative en vue d’une expulsion, l’homme a été remis en liberté en attendant un jugement en novembre 2023.

    Le Dauphine via fdesouche

  • Bagnolet (93) : les familles africaines réfugiées dans un parc déboutées par le tribunal administratif, la mairie de gauche demande leur expulsion

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2022

    Le tribunal administratif de Montreuil a débouté l’association MyMaraude qui réclamait le relogement dans un gymnase municipal de Bagnolet de femmes et enfants sans papiers, essentiellement d’origine ivoirienne ou malienne, réfugiés dans le parc Josette-et-Maurice-Audin. La mairie de Bagnolet a dans la foulée demandé leur expulsion du parc municipal.

    Fin juillet, elles y avaient été hébergées en urgence par l’État, alors qu’elles étaient installées dans un campement de fortune formé sur des trottoirs situés en lisière du parc des Guilands, toujours à Bagnolet. 317 personnes avaient été recensées sur ce premier camp. Évacuées, elles avaient été dispersées dans plusieurs gymnases de Seine-Saint-Denis. Une trentaine de femmes et une vingtaine d’enfants essentiellement d’origine ivoirienne ou malienne, avaient de leur côté été mis à l’abri au gymnase Jean-Renault de Bagnolet, dont elles ont finalement été expulsées le 4 août. Une partie des familles a ensuite été transférée vers la province, sans obtenir d’après l’association MyMaurade de solution d’hébergement. Elles ont donc décidé de revenir devant le gymnase de Bagnolet. Expulsées de la voie publique le 12 août, elles ont alors trouvé refuge dans ce nouveau parc.

     « On est écœuré que le tribunal n’ait pas annulé la décision de les expulser du gymnase, regrette Yasmine Boussalem, présidente de l’association MyMaraude. C’est d’autant plus révoltant que la ville de Bagnolet a annoncé dans la foulée avoir déposé une requête pour les expulser du parc où elles viennent de trouver refuge. Tout le monde se fiche de savoir où elles vont aller ! Ces femmes qui ont fui les violences qu’elles subissaient dans leurs pays sont rejetées comme la peste. »  […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Besançon : Florence entame une grève de la faim pour exiger la régularisation de son mari Ahmed, un clandestin marocain faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire

    Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2021

    Ahmed et Florence se sont mariés par amour en janvier 2020, après trois ans de vie commune. Mais parce qu’Ahmed est entré illégalement sur le territoire français, il est sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. Pour ne pas être séparés, ils ont commencé une grève de la faim.

    (…) Le 13 janvier dernier, la demande de régularisation d’Ahmed a été rejetée par la préfecture. Dans la foulée, il reçoit une OQTF, une obligation de quitter le territoire. Depuis, il risque l’expulsion à tout moment. « C’est très difficile, vous n’imaginez même pas » soupire Ahmed. Sans papier, il ne pouvait déjà pas travailler. Désormais, sortir lui fait peur. « Je ne peux rien faire ». Un simple contrôle de pass sanitaire en terrasse, s’il est fait par les forces de l’ordre, peut le conduire à l’expulsion, du jour au lendemain. Au Maroc, le pays de ses parents, mais loin de Florence, qui ne peut quitter ses enfants et son travail.  

    « Je ne me vois pas envoyer Ahmed au Maroc et me dire peut-être qu’il reviendra, peut-être pas ».

    (…) « Aujourd’hui, on vit avec mon salaire, c’est compliqué » se désole Florence. « On n’arrive pas à avancer, à se projeter ». Alors, elle le répète : « J’irai jusqu’à bout ».  Cette grève de la faim, « on va la faire ensemble », ajoute Ahmed. « Pour le meilleur et pour le pire. C’est bien ce qu’on dit quand on se marie ? ».

    (…) France 3 via fdesouche