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  • Badinter au Panthéon, c’est non !

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2025

    synthesenationale

    PANTHÉON (Paris): Ce qu'il faut savoir pour votre visite (avec critiques)

    Jean-Yves Le Gallou

    L’entrée au Panthéon de Robert Badinter est prévue le 9 octobre prochain, date anniversaire de la promulgation de la loi d’abolition de la peine de mort a été voulue par Emmanuel Macron. Pour Jean-Yves Le Gallou et l’équipe de Polémia, c’est une décision incompréhensible, tant la politique de Robert Badinter fut nocive pour la France (...).

    Badinter au Panthéon, c’est non !

    Non, la patrie n’a pas à être reconnaissante à Badinter. Encore moins les Français victimes de sa politique.
    L’explosion de l’insécurité ? C’est lui, comme garde des Sceaux de François Mitterrand de 1981 à 1986.
    L’invasion migratoire incontrôlée ? C’est lui, comme président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995.
    Le mépris du peuple ? C’est encore lui, avec un ensemble de décisions prises à l’opposé des volontés populaires.
    Badinter, un grand homme ? Voire. Mais surtout un oligarque morgueux, un grand avocat fortuné et progressiste, se moquant comme d’une guigne des préoccupations des Français et conduisant une politique antidémocratique, à rebours de leurs aspirations.
    En 1981, 60 % des Français étaient favorables à la peine de mort : il leur tord le bras et l’abroge. C’est son titre de gloire. Pire : il abroge la peine capitale sans créer de peine de substitution, sapant ainsi la hiérarchie des peines. Garde des Sceaux, Badinter s’appuie sur le syndicat de la magistrature pour repenser le code pénal et placer le délinquant au cœur de ses préoccupations, au lieu et place de la victime. Quarante ans plus tard, la situation est hors de contrôle : racailles et narcotrafiquants imposent leur loi.
    À peine sorti de la Place Vendôme, Badinter prend la tête du Conseil constitutionnel : il va s’ériger en super législateur et s’ingénier à créer des jurisprudences rendant impossible tout contrôle réel de l’immigration.
    Alors, Badinter, les Français ne lui disent pas merci ! Le faire entrer au Panthéon, c’est un bras d’honneur de la gauche progressiste aux Français, aux gueux. C’est une manière de leur dire : « Votre avis ne compte pas, seules importent nos lubies idéologiques. » Quant aux politiques qui s’associeraient à l’hommage ou regretteraient de ne pas y avoir été invités, ils perdraient tout crédit pour redresser la situation migratoire comme la situation sécuritaire.
    Pour nous, Badinter au Panthéon, c’est non !

    Panthéonisation de Badinter : une provocation ultime du bloc centriste

    La décision de faire entrer Robert Badinter au Panthéon en octobre 2025, sous l’impulsion du pouvoir macroniste, s’apparente à une ultime provocation du bloc centriste. Cet acte, présenté comme un hommage national, n’a rien d’un geste d’unité. Il consacre une figure adulée par la gauche progressiste mais ignorée, voire détestée, par une partie croissante de la population française, lassée d’une justice perçue comme laxiste et déconnectée.
    Badinter, ancien ministre de la Justice sous François Mitterrand, incarne une idéologie antipénale qui, sous couvert d’humanisme, a contribué à l’affaiblissement de l’appareil judiciaire, à la mise sur un piédestal des criminels et au mépris des victimes.
    Badinter est aussi l’homme qui a imposé l’abolition de la peine de mort contre l’avis d’une majorité de Français.
    Cette panthéonisation, orchestrée par un exécutif en fin de règne, sert à la fois de diversion dans un contexte de fragilité du camp présidentiel et d’imposition d’une figure emblématique du laxisme, à l’heure où l’aspiration populaire penche clairement en faveur d’une rupture avec le laxisme judiciaire. Comment des figures gouvernementales comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin et le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau pourront-ils prôner la fermeté tout en célébrant l’apôtre du laxisme ?

    Un symbole national détourné au profit d’une petite élite de gauche

    Loin d’être un acte d’unité nationale, cette consécration s’apparente à une appropriation partisane. Badinter, architecte de l’abolition de la peine de mort en 1981, est célébré pour un « humanisme » qui a sacrifié la protection des citoyens sur l’autel d’un idéal élitiste.
    Si la peine de mort est le grand fait d’armes attribué à l’ancien garde des Sceaux, sa responsabilité dans l’affaire du sang contaminé est complètement tue par les médias de grand chemin.
    Pire : Badinter est célébré pour ce qu’il n’a pas fait. En 1982, avec la « loi Forni », il égalise l’âge de la majorité sexuelle à 15 ans pour les relations homosexuelles et hétérosexuelles, supprimant ainsi le « délit d’homosexualité » qui pénalisait les relations homosexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans. Ce texte sera à tort invoqué comme une dépénalisation de l’homosexualité, qui remonte en réalité au code pénal de 1791, sous la monarchie constitutionnelle, et non pas « en République », comme aimait dire le ministre.
    Docile avec les criminels, le personnage savait aussi être rigide pour les crimes d’expression !
    Sa lutte contre le racisme et l’antisémitisme a ainsi ouvert la voie à des lois liberticides, étouffant la liberté d’expression sous prétexte de combattre l’intolérance.
    En sanctifiant Badinter, le pouvoir actuel ne rend pas hommage à la France, mais glorifie un symbole de la gauche, responsable de la déliquescence de la justice. Cette démarche renforce l’idée d’une justice confisquée par une élite vivant en sécurité, au détriment d’une population qui, elle, subit de plein fouet l’héritage de Robert Badinter.

    Le Panthéon, sanctuaire des héros de la gauche, pas de la France

    Le Panthéon, censé honorer les grandes figures qui ont façonné la nation, devient une nouvelle fois, sous cette panthéonisation, un outil de propagande idéologique. Badinter rejoint ainsi une liste de figures principalement issues de la gauche, comme le communiste arménien Missak Manouchian. Cette instrumentalisation traduit une volonté de légitimer une vision progressiste au détriment d’une histoire nationale plus large.
    L’héritage de Badinter, marqué par une « culture de l’excuse » qui dédouane les criminels de leur responsabilité, contraste avec les attentes d’une société confrontée à l’insécurité. En effaçant les victimes au profit des coupables, il a inversé les priorités de la justice, un déséquilibre que cette panthéonisation vient figer dans le marbre. Le Panthéon n’est plus le temple de la France – si tant est qu’il le fût jadis – mais celui de la gauche.

    Article paru sur Polémia - Cliquez ici.

  • "On attend toujours qu’un tirailleur sénégalais entre au Panthéon....", dit Pascal BLANCHARD, historien (?).

    Publié par Guy de Laferrière le 23 février 2024

    "On attend toujours qu’un tirailleur sénégalais entre au Panthéon....", dit Pascal BLANCHARD, historien (?). Bon. Mais, nous, on attend toujours que l'antisémite furieux Voltaire en sorte; ainsi que le Génocidaire Carnot, précurseur d'Oradour-sur-Glane avec son massacre des Lucs-sur-Boulogne, un siècle et demi avant (les nazis n'ont rien inventé, ils n'ont fait que reproduire, à l'identique, le massacre perpétré par les Colonnes infernales, obéissant à ce Carnot que l'on offre à l'admiration des foules qui ignorent tout de lui, et surtout cette abjection...  Et, tant qu'on y est, qu'on en finisse avec ce carnaval abracadabrantesque du Système, panthéonisateur de tout et n'importe quoi, dans une invraisemblable et extravagante accumulation hétéroclite (personnalités et symboles confondus) en rendant ce bâtiment à sa destination originelle : une église catholique...

    Paris prise de haut - En 2000 - Le Panthéon | Panthéon paris, Paris photo,  Paris vu du ciel
     
     

    Source : lafautearousseau

  • L’entrée au Panthéon des époux Manouchian est une nouvelle humiliation publique pour la France et pour son Histoire.

    Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2024

    L’entrée au Panthéon des époux Manouchian est une nouvelle humiliation publique pour la France et pour son Histoire.
    La panthéonisation officielle du « groupe Manouchian », une bande de terroristes et d'assassins communistes violant toutes les lois de la guerre et de l’honneur, est un nouveau crachat sur l’idée-même du rôle du Panthéon et sur la mémoire et l’identité nationales.
    Le gouvernement et les descendants des membres du « groupe Manouchian » sont d’ailleurs fidèles à cette ligne antinationale lorsqu’ils dénoncent la présence des pourtant très tièdes Jordan Bardella et Marine Le Pen à cette cérémonie.
    Le Parti de la France ne participera pas à l’hommage rendu à une bande de terroristes et d’assassins communistes et appelle de ses vœux la valorisation de véritables héros français.
     
    Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France
     
    Peut être une image de ‎1 personne et ‎texte qui dit ’‎DES LIBÉRATEURS? زم LALIBERATION! PAR L'ARMEE DU CRIME‎’‎‎
     
     
     
     
     
     
     
  • " Entre ici, Gisèle Halimi"!

    Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2020

    " Entre ici, Gisèle Halimi"!

    La municipalité parisienne, avec en première ligne les élus roses-rouges-verts de la capitale qui n'ont rien oublié ni rien renié de leurs engagements au service de la gauche radicale, déconstructiviste et internationaliste, demande officiellement à Emmanuel Macron l'entrée au Panthéon de Gisèle Halimi, leur héroïne et leur égérie qui, bien plus qu'une avocate, fut une militante de toutes les causes anti-francaises et reçut néanmoins de Jacques Chirac en septembre 2006, la croix d'officier de la Légion d'honneur.

    Reste à choisir celui qui prononcera le discours solennel pour l'accueillir dans cette ancienne église devenue la fosse commune de la République.

    "Entre ici, Gisèle Halimi, avec ton terrible cortège fait de tous ces terroristes que tu as défendus et soutenus — de la porteuse de bombes FLN Dajamila Boupacha et des massacreurs d'El Halia aux tueurs arabes des années 70 et 80 — de ces victimes de la doxa migratoire que tu as tant prônée, et de ces enfants tués dans le ventre de leurs mères au nom de l'idéologie abortive dont tu fus une porte-parole acharnée".

    À ses ennemis, la Patrie reconnaissante!
    Jean-François Touzé.

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  • Une association franco-tunisienne demande à Macron que les cendres de Gisèle Halimi soient transférées au Panthéon

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2020

    Par  le 13/08/2020

    Bientôt une nouvelle femme au Panthéon ? Une association franco-tunisienne, l’Association pour la Promotion de la Coopération et de l’Amitié entre la France et la Tunisie, a demandé à Emmanuel Macron que les cendres de Gisèle Halimi soient transférées au Panthéon à Paris. Si la demande aboutie, l’avocate et figure féministe serait la sixième femme à reposer au sein de la nécropole nationale, après Simone Veil, qui l’a rejoint en 2018, Sophie Berthelot, Marie Curie, Geneviève de Gaulle-Anthonioz et Germaine Tillion.

    Née à La Goulette, près de Tunis, Gisèle Halimi, inlassable combattante pour la cause des femmes et le droit à l’avortement et figure de la cause anticoloniale, s’est éteinte le 28 juillet à Paris, à l’âge de 93 ans.

    « Parce qu’aux Grandes Femmes, la Patrie (est) reconnaissante, nous vous appelons, Monsieur le président de la République, à examiner la possibilité de faire entrer les cendres de Gisèle Halimi au Panthéon« , demande l’Association pour la promotion de la coopération et de l’amitié entre la France et la Tunisie, en référence à l’inscription au fronton du monument.

    Dans ce courrier, l’association souhaite que « l’empreinte de cette grande femme » soit « inscrite à jamais dans nos cœurs et dans l’Histoire de France« . Pour rappel, situé au coeur de Paris, le Panthéon accueille les héros de l’Histoire de France. »Avec Gisèle Halimi disparaît l’une des grandes figures du combat pour la liberté et le féminisme. Son cœur était bleu, blanc et rouge mais ce rouge comportait aussi ce disque blanc et ce croissant rouge entourant cette étoile à cinq branches « , écrit l’association en référence aux drapeaux des deux pays.

    actu.orange via fdesouche