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Le Parti de la France - Page 270

  • Une coupure électrique volontaire à Paris affecte des médias et entreprises du numérique

    Publié par Guy de Laferrière le 07 juin 2023

    Auteur : 
    Une coupure électrique volontaire à Paris affecte des médias et entreprises du numérique
    Une coupure électrique volontaire à Paris affecte des médias et entreprises du numérique

    Des électriciens ont procédé ce mardi à une coupure de courant dans une large zone d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) qui abrite des sièges de médias et entreprises du numérique, afin de contester la loi de réforme des retraites adoptée ce printemps.

    Les sièges d’Orange et du groupe France Médias Monde, qui compte notamment la radio RFI et la chaîne d’information France 24, ont confirmé à l’AFP avoir été touchés par cette coupure opérée vers 10H00.

    Le siège d’Orange, privé d’électricité, a été évacué et de nombreux salariés sont rentrés chez eux pour télétravaille.

    De nombreux autres sièges d’entreprises ont été touchés, comme le siège de Microsoft France, le siège de Bouygues Immobilier, ainsi que des bâtiments de la Poste et de la Sanef, évacués.

     

    Source : medias-presse.info

  • Qui a détruit la digue stratégique de Nova Kakhovka ?

    Publié par Guy de Laferrière le 07 juin 2023

    La destruction du barrage de Nova Kakhovka en Ukraine
    La destruction du barrage de Nova Kakhovka en Ukraine

    Le barrage stratégique de Nova Kakhovka, en Ukraine, dans la partie de la région de Kherson contrôlée par la Russie a été détruit. Et comme toujours dans ces affaires, depuis le début du conflit, un échange d’accusations entre Kiev et Moscou a lieu.

    La destruction de la centrale hydroélectrique de Kakhovka aujourd’hui signifie que le côté gauche de Kherson sera bientôt inondé, y compris plusieurs villages, que la Crimée aura l’approvisionnement en eau coupé. En outre, le réservoir de Kakhovka était la clé du système d’irrigation dans le sud de l’Ukraine.

    Le barrage de Kakhovka touché, les deux parties s’accusent

    Selon l’armée ukrainienne, dont les propos sont relayés complaisamment par toute la presse occidentale aux ordres de l’OTAN, « la centrale hydroélectrique de Kakhovka a été détruite par les forces d’occupation russes ». Le commandement sud des forces armées ukrainiennes a également déclaré qu’il enquêtait actuellement sur l’étendue des dégâts, ainsi que sur la vitesse et la quantité d’eau qui affecteraient les zones inondables probables. Le conseiller de Zelensky, Andriy Yermak, accuse la Russie d’« écocide », assurant que les autorités régionales et nationales ukrainiennes s’emploient à assurer les populations locales contre les risques d’inondation. Yermak pense également que l’action de Moscou constitue une menace pour la centrale nucléaire voisine de Zaporizhzhia.

    La version de Moscou est totalement différente. Des agences russes, telles que Tass, écrivent qu’un lance-roquettes multiple de type Olkha, fourni par les forces armées ukrainiennes, a été utilisé pour frapper le barrage. Un lance-roquettes qui utilise des munitions guidées et a été développé en 2010 en Ukraine. Il serait alors en service à partir de 2018 et serait utilisé à partir de 2022 avec l’invasion russe. Le chef de l’administration locale pro-russe, Vladimir Leontiev, a déclaré que l’approvisionnement de la péninsule ne devrait pas être interrompu. Le barrage n’aurait été endommagé que « par un bombardement ukrainien » ce qui aurait provoqué une élévation de 2,5 mètres du niveau d’eau dans le bassin. Cependant, le barrage lui-même « n’a pas été détruit » et « il n’y aura pas de catastrophe », a précisé Leontyev, précisant toutefois que l’évacuation d’environ 300 maisons en aval, dans les localités de Korsunki et Dnepryan, pourrait être nécessaire.

    Un barrage tellement stratégique

    Le barrage de Kakhovka est situé sur le fleuve Dniepr, à 60 kilomètres de la ville de Kherson. Il s’agit en fait d’une usine stratégique pour l’approvisionnement en eau de la Crimée, annexée à la Russie comme on le sait. La structure a été construite en 1956, mesure 30 mètres de haut et plusieurs centaines de large. Le bassin contient environ 18 kilomètres cubes d’eau et pourrait provoquer d’impressionnantes inondations, au point d’impliquer même la ville de Kherson, reconquise par l’armée ukrainienne fin 2022.

    Le gouvernement de Kiev, il y a quelques mois, avait déjà accusé les forces armées russes, qui contrôlent la zone où le barrage a explosé, d’avoir posé des mines dans l’usine dans le but de provoquer des inondations catastrophiques dans les zones voisines, afin de ralentir l’avancée de l’armée ukrainienne.

    Avant l’explosion du barrage de Kakhovka, les analystes occidentaux admettaient que l’Ukraine avait le mobile mais pas la Russie

    « Toutefois, écrit The Moscou Times, -le quotidien de langue anglaise publié à Moscou, de sensibilité atlantiste-, en raison de la configuration du terrain, les inondations seraient probablement plus graves sur la rive gauche du Dniepr tenue par les Russes, ce qui rendrait peu probable la mise à feu d’explosifs sur le barrage pour Moscou. « Détruire le barrage reviendrait pour la Russie à se faire sauter le pied », a déclaré le mois dernier l’analyste militaire Michael Kofman sur le podcast War on the Rocks. « Il inonderait la partie de la région de Kherson contrôlée par la Russie, bien plus que la partie occidentale que les Ukrainiens sont susceptibles de libérer. L’abaissement du niveau de la rivière derrière le barrage menace à la fois l’approvisionnement en eau de la Crimée annexée par Moscou et risque de couper l’accès à l’eau de refroidissement de la centrale nucléaire contrôlée par la Russie dans la région ukrainienne de Zaporizhzhia. »

    De plus, il est essentiel pour alimenter la centrale hydroélectrique de Kakhovka. Sur le papier, ce barrage est donc nécessaire autant à Moscou, si ce n’est plus, qu’à Kiev.

    Avant l’explosion du barrage de Kakhovka, les analystes occidentaux « admettaient » d’ailleurs que l’Ukraine avait le mobile mais pas la Russie. Ainsi, le 21 octobre 2022, le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vasily Nebenzya, avait envoyé une lettre au secrétaire général de l’ONU au sujet des plans du régime de Kiev visant à détruire la centrale hydroélectrique de Kakhovskaya.

    Maintenant, ces mêmes experts occidentaux essaient d’effacer ces faits d’Internet et prétendent que cet énième acte terroriste, qui pénalise durement la Russie, a été tout de même ordonné par Poutine, comme l’attaque du pont de Crimée et le sabotage de Nord Stream 1 et 2.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Victoire à Réalmont (Tarn) : il n’y aura pas de migrants, le préfet du Tarn a dû reculer !

    Publié par Guy de Laferrière le 07 juin 2023

    synthesenationale

    Communiqué de la Coordination Partout Callac :

    Le préfet du Tarn vient de tenter une opération qui s’est mal terminée.

    Il a fait demander aux habitants de Réalmont et ses environs d’indiquer les logements vacants et a tout simplement proposé de les rénover et de signer un contrat d’hébergement pluriannuel après la réalisation des travaux.

    Ce que les habitants ne savaient pas c’est qu’il s’agissait pour le préfet d’aboutir au logement d’une cinquantaine de migrants, dénommés « réfugiés » alors que tout le monde sait que, dans leur immense majorité, ils ne sont nullement réfugiés.

    Ce sont les avocats de ONG qui ont trouvé ce moyen pour faire entrer aisément les migrants en France. Ce sont ces personnes qui sont placées dans des CADA pendant le temps de l’instruction de leur dossier. Mais s’ils sont déboutés, ils restent quand même en France et ne quittent pas notre pays.

    Lorsque les habitants ont découvert le pot aux roses, une mobilisation a été immédiatement organisée. Le préfet qui a tenté de tromper les habitants a interdit toute possibilité de manifester concernant ce sujet.

    La population et les élus se sont fortement agacés de tout cela – la tentative de tromperie puis l’interdiction d’exprimer le refus du projet préfectoral – et devant l’ampleur de la mobilisation populaire et des élus, le préfet a été obligé de remballer son projet.

    Cette tentative du préfet, on en retrouve de similaires dans une multitude de communes. Avec les mêmes travers : pas de consultation des élus, pas d’information ni de consultation de la population concernée, montage du projet en toute discrétion en s’appuyant sur des associations gavées de subventions (nos impôts) pour qui l’immigration est un business. Mais qui rapporte gros.

    Ce qui vient de se passer à Réalmont démontre que partout les populations doivent être vigilantes. Dès que des projets semblables à celui de Réalmont sont repérés, la mobilisation doit s’organiser. Mais la victoire à Réalmont démontre aussi que, comme à Callac, lorsqu’on se bat on peut gagner.

    La Coordination Partout Callac invite tous les citoyens à se mobiliser pour mettre en échec la « transition démographique » qui est en réalité l’invasion de nos campagnes, voulue par Macron.

    La Coordination Partout Callac est disponible pour aider tous les citoyens confrontés à un problème de ce genre, afin de les aider à combattre et leur faire profiter de notre expérience.

    Bernard Germain, porte-parole de la Coordination Partout Callac

    Site de la Coordination cliquez ici

  • Kosovo : une submersion migratoire a noyé la majorité Serbe sous le nombre des Albanais

    Publié par Guy de Laferrière le 07 juin 2023

    Kosovo : une submersion migratoire a noyé la majorité Serbe sous le nombre des Albanais

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    De Guillaume Bigot dans Valeurs Actuelles :

    Le Kosovo est un petit pays des Balkans, issu de l’éclatement de l’ex Yougoslavie, qui a acquis une reconnaissance tardive et partielle en 2008. Cet État croupion d’1,8 millions d’habitants est à 95 % peuplé d’Albanais musulmans et de 120 000 serbes chrétiens et orthodoxes, concentrés dans le Nord, à la frontière avec la Serbie.

    Ces Serbes du Kosovo ont boycotté les élections municipales qui se sont tenus à la fin du mois d’avril dernier.

    Des maires albanophones ont donc été élus dans certaines régions par moins de 3,5 % de la population. Forcément, ces édiles ne sont pas très populaires.

    Depuis une semaine, appuyés par les blindés de la police kosovare, les nouveaux élus tentent d’investir leur mairie. Les habitants s’y opposent et manifestent en déployant des drapeaux serbes. Et les soldats de la KFOR, la force d’interposition de l’OTAN, tentent d’éviter l’escalade. Ces échauffourées ont déjà fait une centaine de blessées dont trente parmi les soldats hongrois et italiens de l’OTAN.

    Mais que font des soldats de l’OTAN au Kosovo ?

    Pour le comprendre, il faut se rappeler, qu’au lendemain de l’éclatement de l’ex Yougoslavie, les Serbes qui n’avaient pu empêcher les Croates et les Slovènes catholiques ainsi que des bosniaques musulmans de prendre leur indépendance refusèrent catégoriquement que le Kosovo ne se détache de la Serbie. Les autorités de Belgrade mettaient en avant trois raisons.

    La première, c’est que le Kosovo a toujours été une région de la Serbie.

    La deuxième raison c’est que cette région est même le berceau historique de la nation serbe puisque c’est là, en 1389, que des roitelets slaves ont stoppé l’invasion ottomane donnant naissance à la Serbie.

    La troisième raison, c’est qu’une submersion migratoire a noyé, au fil des siècles, la majorité Serbe sous le nombre des Albanais.

    Pourtant, en 1999, l’OTAN, USA en tête, dit aux Serbes : les Albanais sont désormais archis majoritaires au Kosovo, vous devez y retirer vos troupes et laissez les Albanais s’y administrer.

    Face au refus de Belgrade, l’OTAN a bombardé la Serbie, y compris la capitale, faisant 500 morts parmi les civils pour l’obliger à abandonner son propre territoire.

    Les Serbes finissent par céder. 200 000 serbes ont alors quitté précipitamment le Kosovo pour se réfugier dans la mère patrie.

    Pour éviter que les Albanais ne s’en prennent aux Serbes qui refusaient de fuir, l’OTAN déploiera des soldats sur place, c’est la KFOR. Elle y est toujours.

    Le prétexte de l’OTAN, pour justifier son intervention militaire, a été de stopper un génocide que les forces serbes étaient accusé de perpétrer sur les civils albanais. Envoyé par Le Monde sur place pour témoigner de ce génocide, l’écrivain Régis Debray n’en verra nulle trace. Il sera aussitôt lynché par la bien-pensance.

    Avec le recul, la preuve a été faite que le gouvernement serbe n’a commis aucun génocide sur les Albanais du Kosovo mais que d’épouvantables massacres de civils seront perpétrés par une milice albanais islamiste qui s’adonnait aux trafics d’organe, à la torture et au viol. Le chef de cette soldatesque, Hashim Thaçi, appelé à diriger le Kosovo, sera pourtant célébré comme un héros par les Occidentaux.

    Avant que le Tribunal pénal international ne l’inculpe en 2020, Thaçi assistera aux côtés d’Emmanuel Macron aux cérémonies officielles du 11 novembre 2018 à Paris.

    En 2008, le Kosovo proclame son indépendance. Mais la légalité internationale du Kosovo est loin de faire l’unanimité. Et la carte des pays qui ont refusé de reconnaître le Kosovo recoupe largement celle des pays qui refusent de sanctionner Moscou.

    Au-delà d’avoir ouvert la boite de Pandore de la violation de la charte des Nations Unies, l’OTAN, avec le Kosovo a conforté l’UE dans son utopie de vivre ensemble sur lequel repose en fait toute la construction européenne, c’est-à-dire, la volonté de faire vivre plusieurs peuples, plusieurs nations sur un seul territoire et dans un seul État.

    On l’a oublié mais les frontières sont mouvantes et lorsqu’un peuple devient majoritairement sur un territoire, à la suite d’une conquête ou d’une migration (les Anglo-saxons ne sont pas natifs de Nouvelle-Zélande et les Turcs ont conquis Constantinople avant d’en faire Istanbul), sauf à maintenir des querelles pluri-séculaires, cet État change de mains.

    Il est d’ailleurs parfois préférable de déplacer les populations et de réécrire les atlas que de creuser des charniers. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, c’est à la fois un gigantesque déplacement de population et un trait de crayon de Staline entériné par les alliés qui a donné à la Pologne et à l’Allemagne des frontières stables et ethniquement homogènes.

    Mais l’OTAN n’a pas choisi de détacher le Kosovo de la Serbie pour le rattacher, après référendum, à l’Albanie, quitte à en isoler le nord, toujours majoritairement serbe pour le raccrocher à la Serbie. Non. L’UE et l’OTAN veulent faire du Kosovo une maison témoin du vivre ensemble européen puisque les trois pays, le Kosovo, la Serbie et l’Albanie tapent à la porte de Bruxelles.

    Le dernier enseignement à tirer de la crise kosovare, c’est aussi que l’immigration non souhaitée et continue devient une invasion. C’est ainsi que le Kosovo, à la fin du quinzième siècle à 99% serbe et orthodoxe est devenue, en 2023, à 95% albanais et musulmans.

    Le Kosovo était le cœur historique du peuple serbe comme Saint-Denis avec le tombeau des rois de France est celui du peuple français. Évidemment, comparaison n’est pas raison mais toute ressemblance avait des évènements historiques en cours ne saurait être exclue.

     

    Source : lesalonbeige

  • Réforme des retraites, mafia syndicale.

    Publié par Guy de Laferrière le 06 juin 2023

    Outre que l'énième grève d'aujourd'hui contre l'injuste réforme des retraites constitue le fond de commerce de la mafia syndicale, elle traduit surtout un ras-le-bol général des Français.
    Alors que nos conditions de vie se dégradent de manière inquiétante, que notre pouvoir d'achat s'étiole de jour en jour, Emmanuel Macron nous impose de travailler deux ans de plus pour non pas aller vers plus de prospérité et d'élévation sociale mais pour maintenir le système actuel d'assistanat socialo-communiste qui ruine le pays, et en particulier les classes dites moyennes.
    C'est une réforme en profondeur du système économique et social français que le Parti de la France s'engage à mettre en œuvre, dont les socles seront : l'exclusivité nationale pour l'ensemble des aides sociales, la remigration, la réindustrialisation, la relance de la natalité française et la fin de l'assistanat des parasites sociaux.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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