Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2025
meurtre
-
Le meurtre d’Hichem Miraoui à Puget-sur-Argens est un drame.
Le meurtre d’Hichem Miraoui à Puget-sur-Argens est un drame. Un meurtre sordide, terrible, comme il en existe malheureusement dans toutes les sociétés humaines. La justice doit passer. Le coupable doit être puni. Mais ce qui est fascinant – ou plutôt consternant – c’est l’instrumentalisation frénétique, délirante, presque hystérique de ce fait divers par l’ensemble du système politico-médiatique.Qu’un différend de voisinage, aussi ignoble soit-il, déclenche la saisie du parquet antiterroriste, que le Ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, se précipite pour rencontrer l’ambassadeur tunisien, penaud, tête basse, comme un collégien pris en faute, voilà qui dit tout de l’état de soumission mentale dans lequel se trouvent nos gouvernants.Les réactions politiques sont d’une indécence rare. Toute la gauche, et même une partie de la droite – ou ce qu’il en reste – y voit un « climat raciste » instauré par « l’extrême-droite ». Même Marine Le Pen et Jordan Bardella se sentent obligés de hurler avec les loups, suppliant - en vain - la presse de gauche de leur accorder le brevet de l’antiracisme républicain.Mais de qui se moque-t-on ? Ce meurtre est certes tragique mais il est isolé. Il ne traduit aucune dynamique collective, aucun « climat », aucune stratégie idéologique. En revanche, les agressions quotidiennes contre des Français de souche, dans l’indifférence politico-médiatique, traduisent bel et bien un basculement civilisationnel. Où est le parquet antiterroriste quand des jeunes femmes françaises sont violées par des migrants ? Où sont les ministres quand un Français est poignardé parce qu’il est blanc ? Où sont les caméras, les tweets, les larmes sur commande ?Ce battage n’a qu’un but : culpabiliser encore un peu plus le peuple français, le convaincre que le vivre-ensemble est une obligation morale et que tout refus en est une trahison. Mais ce drame révèle au contraire l’échec absolu du multiculturalisme. Quand des voisins ne peuvent plus vivre ensemble sans que le soupçon racial vienne tout parasiter, c’est que le modèle est mort. Définitivement.La France se dissout dans la repentance. Elle s’accuse, elle s’excuse, elle se renie. Mais cette mascarade ne trompe plus personne.Thomas Joly - Président du Parti de la France -
Éric Piolle sur le meurtre de son agent municipal
Publié par Guy de Laferrière le 10 septembre 2024
Auteur : Ignace
Source : medias-presse.info
-
Espagne : un porte-parole du Parti Populaire compare l’avortement à un meurtre… puis s’excuse
Publié par Guy de Laferrière le 19 janvier 2023
Auteur : Joaquim De Alburquerque
Espagne – Le député et porte-parole provincial du Parti Populaire à la Diputación de Huelva, Juan Carlos Duarte, a assimilé l’avortement à un meurtre sur Twitter, ce qui a provoqué une vague de protestations et de critiques suite auxquelles le politicien s’est excusé 24 heures plus tard. Mais la gauche mortifère veut désormais sa tête.
Duarte avait initialement publié un message sur son profil personnel dans lequel il soutenait les mesures « pro-vie » et de promotion des naissances approuvées par la Junta de Castilla y León, mais qui ne seront finalement pas mises en œuvre.
Dans la lignée de cette initiative, Juan Carlos Duarte a défendu sur le réseau social Twitter qu' »en Castille et León, ils veulent éviter les meurtres » , ce à quoi le coordinateur général de l’IU Andalucía, Toni Valero, a répondu lors d’une conférence de presse à Malaga en disant que cela équivaut à « exercer des violences contre les femmes« , raison pour laquelle il a sommé Moreno de le licencier pour « avoir assimilé le droit à l’interruption volontaire de grossesse à un meurtre« . Le porte-parole du PP au Conseil provincial de Huelva, Juan Carlos Duarte, a finalement présenté ses excuses pour son message « malheureux » sur le réseau social Twitter et a exprimé ses regrets « si quelqu’un a été offensé« .
Duarte, également membre de l’exécutif régional du PP-A, s’est exprimé sur le même réseau social un jour après avoir publié le message original (qui n’a pas été supprimé), suite à quoi le secrétaire général du PSOE- A, Juan Espadas , comme le coordinateur de l’IU Andalucía, Toni Valero, demandent au président du PP-A et de la Junte, Juanma Moreno, sa destitution immédiate en tant que porte-parole du Conseil provincial de Huelva.
Dans le même ordre d’idées, la porte-parole parlementaire du groupe Pour l’Andalousie, Inmaculada Nieto (IU), a affirmé depuis son compte Twitter que Juanma Moreno « doit révoquer » le représentant du parti populaire, qui est également « membre de l’exécutif du PP andalou ». « Par son silence il s’aligne sur les ultras et se place en marge des droits de l’homme« , a-t-il ajouté en référence au président du Board et du PP-A.
De son côté, le secrétaire général du PSOE-A, Juan Espadas, a exhorté lundi Moreno à donner des « instructions » pour démettre Duarte comme porte-parole du parti populaire, affirmant que « le droit à l’interruption volontaire de grossesse » est inclus « dans le système juridique espagnol » , et que si le porte-parole du PP au Conseil provincial de Huelva « ne le sait pas, il est tout simplement incompétent, et donc Il doit être remplacé immédiatement. »
Source : medias-presse.info
-
Rabat (Maroc) : une information judiciaire ouverte après le meurtre d’une touriste française de 82 ans, tuée à coups de pierres, et la tentative de meurtre de son mari, toujours hospitalisé (MàJ)
Publié par Guy de Laferrière le 16 décembre 2022
16/12/22
INFO MIDI LIBRE. Le drame s’est produit le lundi 12 décembre 2022 près de Rabat au Maroc, où deux touristes français originaires de Montbazin ont été attaqués par un homme. La femme, âgée de 82 ans, n’a pas survécu à cette agression à coups de pierre et son mari est toujours hospitalisé. Ce jeudi 15 décembre, le parquet marocain a décidé d’ouvrir une information judiciaire.
À Montbazin, où vivait le couple depuis plusieurs années, les habitants sont sous le choc. La nouvelle du drame survenu quelques jours plus tôt à Moulay Bousselham, une station balnéaire située dans la province de Kénitra, près de Rabat, s’est rapidement répandue ce jeudi 15 décembre, dans cette commune de 3 000 habitants dans l’Hérault.
“On avait vu passer cette horrible agression au Maroc, mais sans se douter une seule seconde que c’était eux”, confie cette habitante, amie des victimes, encore sous le coup de l’émotion. “Ils étaient très connus au village, ils venaient tous les matins au café. Je les surnommais “les amoureux”, se souvient-elle avec attendrissement. Ils étaient fusionnels au possible, je ne sais pas comment il va vivre sans elle…”
“On a du mal à réaliser ce qui s’est passé”
Ces octogénaires montbazinois étaient des habitués des voyages, notamment en Afrique. Adeptes du camping-car, ils ne manquaient jamais d’envoyer des photos de leurs périples à leurs connaissances restées dans l’Hérault. “Là, ils partaient en Mauritanie, le Maroc était une escale. On a du mal à réaliser ce qui s’est passé. C’est vraiment terrible…”
13/12/22
Un couple de touristes français a été attaqué à coups de pierre par un “déséquilibré” lundi près de Rabat. La femme octogénaire a “succombé à un traumatisme crânien”.
Une touriste française est décédée après avoir été agressée, comme son mari, par un “déséquilibré” près de Rabat, a indiqué dans la nuit de lundi à mardi la directrice de l’hôpital où les deux victimes avaient été transférées.
Cette femme octogénaire “a succombé à un traumatisme crânien. Son mari est lui dans un état stable”, a déclaré la docteure Leïla Derfoufi. Aucun motif n’a été fourni à cette agression qui survient à 48 heures de la demi-finale du Mondial-2022 entre le Maroc et la France.
D’après les premières informations, l’homme a “agressé les deux touristes sans raison apparente à l’aide de pierres, leur causant des blessures de diverse gravité”, a ajouté la même source, sans autre détail.
[…] -
Beauvais : Muhittin Ulug ne supportait pas que sa fille sorte avec un Français. Il sera jugé prochainement pour le meurtre de Julien Videlaine, massacré de 19 coups de couteau (MàJ)
Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2022
25/07/2022
Depuis deux ans, Julien Videlaine, 19 ans et Nuzan U., jeune femme d’origine kurde du même âge, vivaient un amour caché. Lorsque le père de celle-ci les surprend en juillet 2014, il assène 19 coups de couteau au jeune homme, puis s’enfuit en Turquie. Extradé vers la France en 2018, il sera jugé devant la cour d’assises de Beauvais en septembre prochain.
En couple depuis près de deux ans, Julien Videlaine, franco-algérien de 19 ans, et Nuzan U., d’origine kurde, s’étaient rencontrés en 2012 devant le lycée Marie-Curie à Nogent-sur-Oise. Le garçon, passionné de football, est alors en terminale et s’apprête à la rentrée prochaine, à s’engager dans l’armée comme mécanicien à la base militaire de Creil (Oise). Elle prépare un diplôme d’esthéticienne. Entre eux, l’attirance est immédiate et leur relation prend vite une tournure sérieuse.
(…) En fin d’après-midi, Julien Videlaine rejoint donc sa petite amie chez elle. Le couple décide de faire couler un bain à l’étage du pavillon. Mais alors qu’ils sont dans la baignoire, un bruit provenant du rez-de-chaussée les alerte.
Nuzan sort de l’eau, tend l’oreille puis s’accroupit pour regarder sous la porte. Elle entrevoit alors son père sur le palier. Il lui demande de la rejoindre au rez-de-chaussée. Elle est prise de panique. Julien a laissé ses vêtements dans sa chambre, elle doit les cacher avant qu’il ne les voie. Mais alors qu’elle sort dans le couloir, Muhittin U. surgit, couteau à la main et attaque Julien. Nuzan essaie de s’interposer, elle est blessée à la main. L’homme continue de frapper frénétiquement, puis s’arrête, descend l’escalier, pose le couteau dans la cuisine et s’enfuit.
(…) Ils découvrent le jeune militaire en position assise, les genoux repliés vers son torse, la tête entre les jambes. Il est nu, couvert de sang, le corps perforé de toute part. Il a reçu 19 coups de couteau dont trois en plein cœur. Aux policiers, Nuzan décrit le meurtre de son petit ami par son père et leur explique que ce dernier était farouchement opposé à sa relation avec Julien, celui-ci n’étant pas d’origine kurde, comme elle.
(…) Mis en examen pour meurtre, Muhittin U. est renvoyé aux assises. Après un report, le procès débutera le 19 septembre prochain. Une audience très attendue par les proches de la victime qui, selon leur conseil, « ont l’espoir fou que l’accusé ait un langage de vérité. Ils se préparent aussi au pire, à savoir que celui-ci s’entête dans sa version améliorée de la vérité »