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meurtre - Page 2

  • Toulouse : 4 migrants, des “barbares sans compassion ni pitié”, condamnés pour le meurtre de Serge, SDF français âgé de 61 ans, qu’ils ont tabassé, dépouillé  puis jeté dans la Garonne 

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2022

    Ils avaient tué un SDF en le jetant d’un pont de Toulouse 

    4 ressortissants roumains d’une vingtaine d’années devant la justice jusqu’à vendredi.

    Ils sont 4 individus – C. P. (mineur en 2018), Alexandru Lipitor, Florin Corbei, et Robert Baicu – à comparaître cette semaine devant la justice. 4 jeunes roumains de 20, 22, 26 et 27 ans pour lesquels la cour d’assises des mineurs va tenter de comprendre pourquoi ils ont tabassé Serge Balthazar dans la nuit du 17 juillet 2018, avant de le jeter vivant dans la Garonne. Le corps sans vie de ce SDF de 61 ans, qui vivait dans sa voiture à proximité du Stadium, avait été retrouvé à moitié immergé le 25 juillet 2018. Les quatre repris de justice, dont trois ont “des tendances” “sociopathiques” ou “psychopathiques” disent les experts, auraient fait passer le malheureux par-dessus la rambarde d’un pont de la rocade, malgré ses pleurs et ses suppliques. 

    L’enquête de la PJ avait rapidement avancé car un témoin de l’agression a parlé : un autre SDF, qui a aperçu Serge Balthazar aux prises avec plusieurs individus le soir du meurtre. Ces mêmes individus qui auraient agressé trois autres personnes la même nuit dans les rues de Toulouse.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Cent Pour Cent

  • Meurtre de Philippe Monguillot : l’avocat de la défense accuse la victime

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2020

    Par  le 31/08/2020

    Meurtre du chauffeur de bus à Bayonne : Philippe Monguillot aurait frappé en premier selon la défense

    […]

    « C’est mon client qui a été violemment agressé en premier. » explique-t-il au micro de France Bleu Pays Basque, « La réalité n’est pas ce qui se dit sur la place publique », ajoute-t-il. Si pour l’avocat de la défense il ne s’agit pas de minimiser la gravité des faits reprochés à son client, poursuivi pour « homicide involontaire », il veut faire en sorte que les éléments à décharges soient également retenus.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Midi Libre via fdesouche

  • Danemark : Un Pakistanais condamné pour le meurtre brutal de sa femme danoise, convertie à l’islam.

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2020

    Un Pakistanais de 39 ans, qui a brutalement maltraité sa femme danoise pendant dix ans avant de l'assassiner en 2018, a été condamné à la détention et à l'expulsion la semaine dernière par un tribunal de Roskilde.

    Kamran Khan a été condamné vendredi dernier pour avoir battu à mort sa femme Aya Bonde Jensen, 34 ans - une ancienne reine de beauté - dans leur maison de Osted, au sud de Roskilde, en octobre 2018.

    Le Pakistanais de 39 ans a été reconnu coupable d'avoir soumis sa femme à "des violences graves, à l'emprisonnement, à la surveillance et à l'humiliation" pendant les dix années qui ont précédé sa mort. Khan est également reconnu coupable d'abus systématique, grossier et brutal de ses trois enfants, rapporte le tabloïd danois Ekstra Bladet.

    Jenson, une Danoise de Falster qui avait été couronnée Miss Teen dans un concours de beauté local à l'âge de 16 ans, rêvait auparavant d'une carrière de mannequin, mais sa vie a changé en 2002 lorsqu'elle a épousé le Pakistanais Kamran Khan, un homme qu'elle avait rencontré au lycée.

    Alors qu'elle n'avait que 17 ans, Aya Bonde Jensen s'est convertie à l'islam et a épousé Khan, qui avait cinq ans de plus. Après cela, sa vie a changé radicalement. Jenson a abandonné le lycée pour devenir femme au foyer, et les chemisiers courts qu'elle portait auparavant ont été remplacés par des vêtements islamiques fondamentalistes. Khan l'a également forcée à rompre le contact avec sa mère.

    Au cours du procès, le procureur Rune Rydik a noté que Jenson était dans un "état d'impuissance" lorsqu'elle a finalement été assassinée par Khan en 2018. Rydik a également souligné que les trois enfants du couple ont souvent été contraints d'assister à la violence et à l'humiliation que leur mère a subies pendant des années.

    Bien que le rapport ne mentionne pas la durée de la peine de prison à laquelle Khan a été condamné, il mentionne qu'il sera expulsé du Danemark après avoir purgé sa peine de prison.

    (Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

    Ekstrabladet.dk / Voiceofeurope.com


    PS : Le site danois Snaphanen indique que "lorsque la mère d'Aya Bonde Jensen apprend la mort de sa fille, elle n'a pas vu son enfant depuis 16 ans. Tous les liens avec les membres de la famille et les amis avaient été rompus. La mère choquée identifie Aya Bonde Jensen à l’institut forensique. Le corps de la jeune femme est abîmé à un tel point que la mère est incapable de reconnaître le visage battu de sa fille décédée.

    Le mari musulman a donné des coups de pied, piétiné et frappé sa femme danoise jusqu'à qu'elle ne soit plus reconnaissable. Kamran Khan a frappé Aya Bonde Jensen avec une batte de baseball en bois et en métal, un marteau, une hache, un pistolet électrique et tout ce que le haineux Pakistanais pouvait trouver à cet effet."

  • Belgique : 3 ans de prison pour l’homme et la femme ayant frappé avec une barre en bois le demandeur d’asile qui harcelait la femme depuis un an

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    Les deux anciens employés du centre d’asile Totem, soupçonnés de la tentative de meurtre d’un demandeur d’asile de 24 ans à Arendonk, ont été condamnés à une peine de prison de 3 ans avec sursis. Selon le tribunal, il n’y avait pas d’intention de tuer.

    Cette assistante sociale de 55 ans, originaire de Oud-Turnhout, était tombée sous le charme d’un Syrien de 24 ans lors de son travail au centre d’asile d’Arendonk. Ils ont commencé une relation, mais quand la femme a rompu par la suite, le Syrien n’a pas voulu la laisser partir comme ça. Il n’a cessé de la contacter et de la harceler. En avril 2019, la femme en a eu assez. Elle en a informé un ancien collègue, T.B. de Vosselaar, âgé de 47 ans. Quand le Syrien est revenu à sa porte, elle a appelé son ex-collègue. Il est arrivé chez la femme et a giflé le demandeur d’asile. Le Syrien s’est enfui à pied, mais les employés – entre-temps licenciés – du centre d’asile ont commencé la poursuite. Quand ils l’ont rattrapé, T.B. est sorti de la voiture avec un gros morceau de bois. Il a commencé à frapper la tête du demandeur d’asile avec. Ce n’est qu’après l’intervention d’un témoin qu’il a mis fin à la violence.

    L’accusation avait réclamé 6 ans de prison pour tentative de meurtre. Selon le procureur, il y a eu préméditation et intention de tuer. Le juge a suivi le raisonnement selon lequel ils auraient agi avec préméditation, mais estime que cette préméditation ne concerne que les coups et blessures. Pour une intention de tuer, il n’y a pas suffisamment de preuves.

    HLN.be via fdesouche

  • Un des professeurs de l'école fondée par Marion Maréchal interpellé et soupçonné de meurtre

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2019
    L'historien russe, professeur à l'Issep de Lyon est accusé du meurtre d'une de ses anciennes étudiantes.
    L'historien russe, professeur à l'Issep de Lyon est accusé du meurtre d'une de ses anciennes étudiantes.Le Progrès - Joël Philippon
    Publié le 
    L'historien russe Oleg Sokolov a été arrêté, samedi matin, par la police locale, sur les bords de la rivière Moïka, à Saint-Pétersbourg. Dans son sac, les deux bras d'une femme. Également professeur dans l'école fondée par Marion Maréchal, il a été limogé.

    Deux bras découpés et un pistolet d'alarme : c'est l'incroyable contenu du sac à dos d'Oleg Sokolov, quand il a été sorti, samedi matin, des eaux de la rivière Moïka, à Saint-Pétersbourg, par les autorités locales. Historien émérite et spécialiste de Napoléon Bonaparte, Oleg Sokolov a été décoré de la Légion d'honneur française, en 2003.

    Selon les médias locaux, la victime serait Anastassia Echtchenko, une jeune femme de 24 ans, dont le corps décapité aurait été retrouvé au domicile d'Oleg Sokolov. Elle avait été son étudiante et avait cosigné plusieurs travaux avec l'historien. En s'appuyant sur des sources anonymes de la police, d'autres journaux locaux avancent qu'Oleg Sokolov aurait avoué le meurtre de la jeune femme, perpétré chez lui, deux jours auparavant.

    Licencié par l'Issep

    Également professeur et membre du conseil scientifique de l'Institut des sciences sociales économiques et politiques (Issep), fondé à Lyon par Marion Maréchal, il a été licencié. L'Issep a publié un communiqué pour présenter " toutes [ses] condoléances et [leur] soutien à la famille de la victime". L'école  précise : "nous n'imaginions pas qu'il puisse commettre cet acte odieux".

     
    ISSEP@ISSEP_Lyon

    [Communiqué de presse] Oleg Sokolov n’est plus membre du conseil scientifique.

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    La rédaction (avec AFP)
     
    Source : ladepeche.fr