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meurtre - Page 3

  • Belgique : 3 ans de prison pour l’homme et la femme ayant frappé avec une barre en bois le demandeur d’asile qui harcelait la femme depuis un an

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    Les deux anciens employés du centre d’asile Totem, soupçonnés de la tentative de meurtre d’un demandeur d’asile de 24 ans à Arendonk, ont été condamnés à une peine de prison de 3 ans avec sursis. Selon le tribunal, il n’y avait pas d’intention de tuer.

    Cette assistante sociale de 55 ans, originaire de Oud-Turnhout, était tombée sous le charme d’un Syrien de 24 ans lors de son travail au centre d’asile d’Arendonk. Ils ont commencé une relation, mais quand la femme a rompu par la suite, le Syrien n’a pas voulu la laisser partir comme ça. Il n’a cessé de la contacter et de la harceler. En avril 2019, la femme en a eu assez. Elle en a informé un ancien collègue, T.B. de Vosselaar, âgé de 47 ans. Quand le Syrien est revenu à sa porte, elle a appelé son ex-collègue. Il est arrivé chez la femme et a giflé le demandeur d’asile. Le Syrien s’est enfui à pied, mais les employés – entre-temps licenciés – du centre d’asile ont commencé la poursuite. Quand ils l’ont rattrapé, T.B. est sorti de la voiture avec un gros morceau de bois. Il a commencé à frapper la tête du demandeur d’asile avec. Ce n’est qu’après l’intervention d’un témoin qu’il a mis fin à la violence.

    L’accusation avait réclamé 6 ans de prison pour tentative de meurtre. Selon le procureur, il y a eu préméditation et intention de tuer. Le juge a suivi le raisonnement selon lequel ils auraient agi avec préméditation, mais estime que cette préméditation ne concerne que les coups et blessures. Pour une intention de tuer, il n’y a pas suffisamment de preuves.

    HLN.be via fdesouche

  • Un des professeurs de l'école fondée par Marion Maréchal interpellé et soupçonné de meurtre

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2019
    L'historien russe, professeur à l'Issep de Lyon est accusé du meurtre d'une de ses anciennes étudiantes.
    L'historien russe, professeur à l'Issep de Lyon est accusé du meurtre d'une de ses anciennes étudiantes.Le Progrès - Joël Philippon
    Publié le 
    L'historien russe Oleg Sokolov a été arrêté, samedi matin, par la police locale, sur les bords de la rivière Moïka, à Saint-Pétersbourg. Dans son sac, les deux bras d'une femme. Également professeur dans l'école fondée par Marion Maréchal, il a été limogé.

    Deux bras découpés et un pistolet d'alarme : c'est l'incroyable contenu du sac à dos d'Oleg Sokolov, quand il a été sorti, samedi matin, des eaux de la rivière Moïka, à Saint-Pétersbourg, par les autorités locales. Historien émérite et spécialiste de Napoléon Bonaparte, Oleg Sokolov a été décoré de la Légion d'honneur française, en 2003.

    Selon les médias locaux, la victime serait Anastassia Echtchenko, une jeune femme de 24 ans, dont le corps décapité aurait été retrouvé au domicile d'Oleg Sokolov. Elle avait été son étudiante et avait cosigné plusieurs travaux avec l'historien. En s'appuyant sur des sources anonymes de la police, d'autres journaux locaux avancent qu'Oleg Sokolov aurait avoué le meurtre de la jeune femme, perpétré chez lui, deux jours auparavant.

    Licencié par l'Issep

    Également professeur et membre du conseil scientifique de l'Institut des sciences sociales économiques et politiques (Issep), fondé à Lyon par Marion Maréchal, il a été licencié. L'Issep a publié un communiqué pour présenter " toutes [ses] condoléances et [leur] soutien à la famille de la victime". L'école  précise : "nous n'imaginions pas qu'il puisse commettre cet acte odieux".

     
    ISSEP@ISSEP_Lyon

    [Communiqué de presse] Oleg Sokolov n’est plus membre du conseil scientifique.

    Voir l'image sur Twitter
     
    La rédaction (avec AFP)
     
    Source : ladepeche.fr
  • Allemagne : Cynthia, 21 ans, tuée de plusieurs coups de couteau par son petit-ami Ahmed, un migrant tunisien qui aurait dû être expulsé

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2019

     Par  le 08/03/2019

    Meurtre sanglant à Worms (Allemagne) – Un Tunisien de 22 ans a poignardé à mort sa petite amie de 21 ans lors d’une dispute.

    Ahmed T. passait la nuit chez les parents de Cynthia R., comme il l’a souvent fait. La jeune infirmière a son propre espace à l’étage supérieur de la maison familiale avec un salon et une chambre.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, Ahmed a tué la jeune femme à coups de couteau, « plus d’une dizaine de coups » selon les inspections de la police.

    Le Tunisien a avoué le crime et a été placé en détention. Depuis son arrivée en Allemagne en octobre 2017, il a vécu sous plusieurs identités, selon les enquêteurs.

    Le meurtrier est bien connu des services de police pour des agressions ou des délits liés à drogue.

    En octobre 2018, il a purgé une peine de trois semaines pour vol.

    La famille de Cynthia est stupéfaite. Son oncle : « C’était une personne si douce. Elle ne parlait mal de personne. Elle vivait pour son travail. Elle voulait devenir sage-femme. Elle était joyeuse, aimait faire la fête. »

    Le lundi 4 mars, deux jours avant le meurtre, Ahmed T. a reçu une obligation de quitter le territoire allemand.

    Bild / Welt.de via fdesouche