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demandeur d'asile

  • Limay (78) : un agent de la Croix-Rouge menacé au couteau de cuisine par un demandeur d’asile afghan.

    Publié par Guy de Laferrière le 08 février 2023

    Limay : un agent de la Croix-Rouge menacé au couteau de cuisine par un demandeur d'asile

    Un demandeur d’asile de nationalité afghane s’en est pris violemment à un agent de la Croix-Rouge, dans un logement d’accueil pour migrants de Limay (Yvelines).

    Les motivations de son geste restent encore totalement floues. Un demandeur d’asile afghan, âgé de 21 ans, a été placé en garde à vue au commissariat de Mantes-la-Jolie,, après s’en être pris, armé d’un couteau, à un salarié de la Croix-Rouge. Les faits se sont déroulés à Limay, la commune voisine, dans un logement d’accueil pour migrants.

    Ce soir-là, vers 20h45, deux agents de l’organisation humanitaire viennent s’assurer que tout se passe bien dans cet appartement, situé dans une résidence de la rue Lafarge.

    Plusieurs personnes y sont hébergées. Subitement, sans aucun éclat de voix ni différend préalable, l’un des occupants se saisit d’un couteau de cuisine et le pointe dans le dos d’un des salariés, le sommant de quitter les lieux avec son collègue.

    Réfugiés en bas de l’immeuble, les agents de la Croix-Rouge ne sont pas au bout de leur peine. Leur agresseur revient à la charge et flanque un coup de poing à l’un d’eux.

    Alertée, la police arrive rapidement sur place et interpelle le suspect, alors qu’il sortait de nouveau du bâtiment, avant de saisir le couteau resté dans le logement. La victime, âgée de 35 ans, n’a pas été blessée. Elle a déposé plainte.

    actu.fr via fdesouche

  • En attente d’une demande d’asile, il est condamné pour avoir frappé trois personnes dont un policier dans la rue à Caen

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2022

    Condamné pour avoir frappé trois personnes dont un policier dans la rue à Caen

    C’est la vidéosurveillance du PC sécurité de Caen qui alerte les policiers. Quai Vendeuvre, un homme est en train d’en frapper un autre et une femme est au sol. Quelques instants plus tôt, le couple avait engagé la conversation avec un homme de 32 ans en attente d’une demande d’asile.

    Celui-ci aurait ensuite attrapé le sac de la jeune femme et pris le portable et les écouteurs qui se trouvaient à l’intérieur. Elle serait tombée en lui courant après tandis que son ami aurait reçu un coup de poing.

    L’interpellation n’est pas des plus simples : le prévenu crache à plusieurs reprises et porte un coup de pied sur le tibia et sur le dos d’un policier.

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • Belgique : 3 ans de prison pour l’homme et la femme ayant frappé avec une barre en bois le demandeur d’asile qui harcelait la femme depuis un an

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    Les deux anciens employés du centre d’asile Totem, soupçonnés de la tentative de meurtre d’un demandeur d’asile de 24 ans à Arendonk, ont été condamnés à une peine de prison de 3 ans avec sursis. Selon le tribunal, il n’y avait pas d’intention de tuer.

    Cette assistante sociale de 55 ans, originaire de Oud-Turnhout, était tombée sous le charme d’un Syrien de 24 ans lors de son travail au centre d’asile d’Arendonk. Ils ont commencé une relation, mais quand la femme a rompu par la suite, le Syrien n’a pas voulu la laisser partir comme ça. Il n’a cessé de la contacter et de la harceler. En avril 2019, la femme en a eu assez. Elle en a informé un ancien collègue, T.B. de Vosselaar, âgé de 47 ans. Quand le Syrien est revenu à sa porte, elle a appelé son ex-collègue. Il est arrivé chez la femme et a giflé le demandeur d’asile. Le Syrien s’est enfui à pied, mais les employés – entre-temps licenciés – du centre d’asile ont commencé la poursuite. Quand ils l’ont rattrapé, T.B. est sorti de la voiture avec un gros morceau de bois. Il a commencé à frapper la tête du demandeur d’asile avec. Ce n’est qu’après l’intervention d’un témoin qu’il a mis fin à la violence.

    L’accusation avait réclamé 6 ans de prison pour tentative de meurtre. Selon le procureur, il y a eu préméditation et intention de tuer. Le juge a suivi le raisonnement selon lequel ils auraient agi avec préméditation, mais estime que cette préméditation ne concerne que les coups et blessures. Pour une intention de tuer, il n’y a pas suffisamment de preuves.

    HLN.be via fdesouche