Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 267

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juin 2023

    353588903_10226625213311444_6635899310051045208_n.jpg

  • Guerre d’Indochine : la pudeur du gouvernement face à la haute trahison du parti communiste “français”

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juin 2023

    Guerre d’Indochine : la pudeur du gouvernement face à la haute trahison du parti communiste “français”

    Jeudi 8 juin a été célébré partout en France un hommage aux morts pour la France en Indochine. Le message gouvernemental de Patricia Miralles, secrétaire d’Etat auprès du ministre des armées chargée des anciens combattants et de la mémoire, a été très décevant par la pudeur de ses propos, évitant toute allusion au fait que l’armée française a combattu le Communisme et que le parti communiste dit “français” a fait preuve à l’époque de haute trahison.

    N’hésitant pas à rappeler que le Japon était l’allié de l’Allemagne nazie pour évoquer ce qu’elle appelle la 1ère guerre d’Indochine (invasion de l’Indochine par les troupes japonaise en 1940), elle oublie de parler du Communisme (URSS et Chine) qui a financé et armé le Viet-Minh de 1945 à 1954, sans parler de l’attitude du PC”F” en France qui a tout simplement trahi la France :

    “De 1940 à 1954, deux conflits successifs ont engagé la France en Indochine. Celui provoqué par l’agression du Japon, pays allié de l’Allemagne nazie, puis la guerre d’Indochine qui a marqué la fin d’un siècle de présence française en Extrême-Orient (…) La guerre contre les puissances de l’Axe à peine achevée, d’autres soldats français embarquaient vers Hanoï, pour un autre combat qui annonçait une nouvelle ère de notre Histoire, entre guerre froide et décolonisation (…) Tous ceux aussi qui, internés par le Viet Minh dans des conditions effroyables, succombèrent à la faim, à la maladie et à l’épuisement. 40 000 soldats de l’armée française furent faits prisonniers. 10 000 à peine survécurent à l’enfer des camps (…)”

    Viet-Minh, enfer des camps, guerre froide… Quelle pudeur ! Quelle honte !

    Voici un petit rappel de l’action des communiste durant cette guerre où nos soldats français se conduisirent en héros et se sont sacrifiés pour la Liberté :

    ” La France avait engagé sa parole auprès du Viêt-Nam, dirigé alors par Bao Daï. Elle n’était plus un pays affrontant une rébellion nourrie par la Chine et l’URSS, elle était la représentante d’un système, le « monde libre », face à un détachement d’un régime ennemi, le « communisme ». Et le général Catroux, ancien gouverneur général de l’Indochine, d’écrire dans Le Figaro du 21 juillet 1953 : « Il n’est pas en effet loisible à la France de rompre à sa convenance le combat, parce que la guerre d’Indochine n’est pas seulement sa guerre contre le seul Hô Chi Minh, mais celle du monde libre, auquel elle est liée, contre le communisme ».

    Dès le début de ce conflit, les communistes français n’eurent de cesse de procéder à une critique et à une condamnation de cette « sale guerre » qu’ils appréciaient, à l’instar d’Etienne Fajon « comme une guerre injuste, réactionnaire, menée contre la liberté d’un peuple ». Dès lors, tout fut mis en œuvre pour venir en aide au « peuple vietnamien opprimé » et la consigne émise par la direction centrale du PCF : « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT.

    La presse communiste devenait quotidiennement plus incisive en stigmatisant à outrance la présence française en Indochine, la qualifiant de « poison colonialiste » et Léon Feix d’écrire dans L’Humanité du 24 mars 1952 : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste »… tandis que Jean-Paul Sartre, n’avait de cesse de fustiger dans la revue « Temps Modernes », « l’action criminelle des soldats français ». Dès lors, les communistes français allaient, à leur façon, participer activement à ce conflit…

    Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants… Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion… Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes… Les moteurs des véhicules de terrains comme ceux des avions subissaient également toutes sortes de sabotage : Joints de culasse limés et limaille de fer dans les carters à huile… Ce fut le cas, entre autres, des moteurs de l’hydravion « Catalina » de la 8F où furent impliqués des ouvriers des ateliers de la base de Cuers-Pierrefeu… Même le porte-avions d’escorte « Dixmude », n’échappa pas aux dégradations : Ligne d’arbre endommagé. L’enquête permit d’identifier le saboteur en la personne du quartier-maître mécanicien Heimburger, membre du Parti Communiste Français.

    Tout cela, pourtant, n’était rien d’autre que de la haute trahison et les ouvriers comme leurs commanditaires qui envoyaient chaque jour à une mort certaine des soldats français, auraient dû être traduits devant des Tribunaux d’exception pour « intelligence avec l’ennemi ». Ils ne furent jamais inquiétés ! (…)

    Sur les quais, les aérodromes et les gares tenus par la CGT, la mobilisation communiste était identique. Les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations… Les navires et les trains étaient immobilisés, les détériorations ne se comptaient plus, les grèves se multipliaient… A Grenoble, une pièce d’artillerie fut jetée à bas du train. En gare de Saint-Pierre-des-Corps, à Tours, une militante communiste, Raymonde Dien, devint une héroïne nationale pour s’être couchée en travers d’une voie. Cette violence atteignit son point culminant dans la nuit du 2 au 3 décembre 1947. A la suite du sabotage d’une voie ferrée par un commando de la cellule communiste d’Arras, l’express Paris-Lille dérailla, faisant 16 morts et 30 blessés…

    Quant aux blessés rapatriés, généralement débarqués de nuit à Marseille, ils étaient acheminés secrètement en région parisienne où ils arrivaient au matin à la gare de l’Est. Mais cette discrétion ne les épargnait pas des manifestations hostiles des cheminots CGT. Les blessés étaient injuriés et frappés sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait « que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine » car, à l’Assemblée Nationale, les députés communistes avaient exigé que « la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d’Indochine qui peuvent crever (sic) ». A Noël un député suggéra qu’un colis de Noël soit envoyé aux combattants d’Extrême Orient. Une député du PCF s’exclama aussitôt : « Le seul cadeau qu’ils méritent, c’est douze balles dans la peau ! ».

    Par ailleurs, outre les armes et les fonds adressés régulièrement au « grand frère vietminh », des tonnes de médicaments lui étaient également acheminés par l’Union des Femmes Françaises (liée au Part communiste) et l’indignation de nos soldats ne résultait pas tellement de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que, chaque jour, des soldats français mouraient, faute d’en posséder. Pour nos soldats enlisés dans ce conflit, la guerre prenait un parfum amer teintée de colère et de découragement… La prise de conscience fut rapide et brutale : Désormais l’ennemi n’était plus le Viêt-Minh mais les communistes français…”

     

    Source : lesalonbeige

  • Abdalmasih H. : vrai migrant syrien meurtrier et faux chrétien

    Publié par Guy de Laferrière le 10 juin 2023

    Auteur : 
    Annecy, Abdalmasih vrai Syrien mais faux chrétien
    Il y a 17 jours, le maire écologiste d’Annecy louait sa “ville refuge” pour les migrants.

    Drôle de paroissien inconnu de la communauté chrétienne où il vivait depuis dix ans !

    Même Monseigneur Pascal Gollnisch, directeur général de l’Œuvre d’Orient, émet de sérieux doutes sur le “christianisme” d’Abdalmasih, ce migrant syrien, meurtrier de tout petits enfants.

     

    Il est vrai que cette “chrétienté” revendiquée haut et fort par l’assassin serait du pain bénit pour les médias Mainstream.

    Malheureusement pour eux, un vrai héros catholique, Henri d’A., vient magnifiquement contrecarrer leurs funestes espoirs de charognards !

    Paul DEROGIS

    Source : FDSOUCHE.com

  • Sables d’Olonne : Grâce aux travaux de rénovation de l’église, la statue de Saint-Michel va rester sur le parvis

    Publié par Guy de Laferrière le 10 juin 2023

    synthesenationale

    1639672634.jpg

    En avril dernier, Roland Hélie, directeur de

    Synthèse nationale, aux Sables d'Olonne

    Malgré l’exigence formulée par le Conseil d’État, une solution a été trouvée pour que l’archange Saint-Michel reste sur le parvis.

    La paroisse des Sables-d’Olonne a récemment fait l’acquisition d’une surface de 53 m² auprès de la ville pour créer un espace dédié à la construction d’une rampe d’accès vers l’église Saint-Michel pour les personnes à mobilité réduite. Mais il reste largement assez de place pour permettre l’installation d’une statue et de son socle. La mairie des Sables-d’Olonne pourrait donc respecter son obligation d’enlever la statue de l’espace public… en la déplaçant de seulement quelques mètres vers le terrain désormais possédé par un acteur privé !

    Le père Antoine Nouwavi, curé de la paroisse, assure se trouver « sur l’autoroute de la réalisation de ce projet », car le plan de construction de la rampe d’accessibilité a été accepté par la sous-préfecture des Sables-d’Olonne. Quant à l’avenir de la statue, la solution de la déplacer sur cette bande de terrain privée « va certainement boucler ce dossier qui nous a donné des nuits sans sommeil depuis maintenant quelque temps ».

    Source Le Salon beige cliquez ici

  • Barrage : on accuse une fois de plus les Russes

    Publié par Guy de Laferrière le 10 juin 2023

    synthesenationale

    4160772865.jpg

    Il fallait s’y attendre, les Ukrainiens se sont empressés d’accuser les Russes d’avoir détruit le barrage de Nova Kakhovka, provoquant une catastrophe écologique de grande ampleur de toute la région. Et les médias « occidentaux » ont relayé aussitôt l’accusation. Sans entrer dans les détails la première question qui nous vient à l’esprit est : quel intérêt avaient les Russes de détruire ce barrage qui alimente en eau la Crimée ? Lisez le document ci-joint qui montre bien que les Russes n’avaient aucun intérêt à provoquer une telle catastrophe. Une fois de plus on nous enfume alors que les responsables ukrainiens mènent une guerre de plus en plus suicidaire au lieu de chercher un compromis.

    Lire la suite ICI