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Le Parti de la France - Page 289

  • Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête pour fraude fiscale, blanchiment d’argent et abus de biens sociaux

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    INFO BFMTV – Le député LFI du Val-d’Oise est soupçonné d’avoir dissimulé aux autorités une somme estimée à un peu moins de 200.000 euros. Il aurait notamment minoré la déclaration de chiffres d’affaires d’une de ses entreprises pendant plusieurs années.

    Le parquet de Pontoise (Val-d’Oise) a ouvert, mi-avril, une enquête préliminaire pour des faits de fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, abus de biens sociaux et manquement aux obligations de déclaration auprès de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) susceptibles d’être reprochés au député LFI Carlos Martens Bilongo, selon les informations de BFMTV.

    Tout est parti d’un signalement de Tracfin, la cellule anti-blanchiment de Bercy. Celle-ci a repéré des flux bancaires qui semblent irréguliers et sans rapport avec ses déclarations auprès des impôts, d’une part, et de la HATVP, d’autre part. L’analyse de Tracfin porte sur la période allant de 2018 à 2022.

    Près de 200.000 euros dissimulés

    Les enquêteurs ont découvert plusieurs opérations suspectes. Alors qu’il a déclaré ne toucher aucune rémunération de la part de ses sociétés auprès de la HATVP, Carlos Martens Bilongo aurait pourtant, selon Tracfin, reçu divers virements sur ses comptes bancaires. Ainsi que des encaissements en espèces pour plusieurs dizaines de milliers d’euros.

    Au total, selon les premiers éléments de l’enquête, le député LFI aurait dissimulé aux autorités une somme estimée à un petit peu moins de 200.000 euros.

    Dans son signalement à la justice, Tracfin précise également que le député est titulaire d’un compte non-déclaré à l’étranger, visiblement dans un pays d’Europe de l’Est.

    BFMTV via fdesouche

  • Traduction : Elisabeth Borne n'assume pas son homosexualité.

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    Thomas Joly

     
    Peut être une image de texte qui dit ’BREVES Brèves de presse @Brevesdepresse FLASH La 1ère ministre Élisabeth #Borne demande le retrait de nombreux passages d'une biographie, en raison d'atteintes, estime- t-elle, à sa vie privée. Il s'agit du ivre "La Secrète", une enquête fouillée de la journaliste Bérengère Bonte, en librairie depuis le 4 mai.’
     
     
     
     
     
     
  • Biarritz (64) : une heure après son OQTF, le migrant se remet à voler des passants

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    Un voleur, un vrai. Tout commence lors du Marathon international de Biarritz le dimanche 7 mai dernier. Un jeune homme, originaire d’Afrique du Nord, dérobe le sac d’une femme qui se trouve dans la foule. Il est rapidement interpelé par les policiers du commissariat de Biarritz grâce notamment aux témoignages des témoins de la scène. Placé en garde à vue, il est interrogé sur le vol à l’arraché et fouillé. Les policiers découvrent un appareil photo dérobé le même jour à Anglet.

    Le jeune homme est ensuite remis en liberté avec, dans la mesure où il se trouve en situation irrégulière, une obligation de quitter le territoire français. Il faudra attendre seulement une heure pour que le migrant se retrouve à nouveau en garde à vue chez les policiers de Biarritz. Deux nouveaux vols à son actif en quelques minutes.

    France Bleu via fdesouche

  • Les personnes vaccinées contre le COVID ont un risque plus élevé de déficience visuelle

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    Le vaccin contre le Covid a des effets secondaires potentiels sur la vue
    Le vaccin contre le Covid a des effets secondaires potentiels sur la vue

    « Les personnes vaccinées contre le COVID-19 présentent un risque plus élevé de toutes les formes d’occlusion vasculaire rétinienne dans les 2 ans suivant la vaccination », selon l’étude publiée dans la revue britannique Nature.

    Une nouvelle étude à grande échelle a révélé que les personnes ayant reçu les injections contre le COVID-19 étaient jusqu’à 3,5 fois plus susceptibles de souffrir de déficience visuelle que les personnes non “vaccinées”.

    L’occlusion vasculaire rétinienne est une cause fréquente de déficience visuelle. Un type courant d’occlusion vasculaire rétinienne est l’occlusion veineuse rétinienne (RVO), où “le flux sanguin de la rétine [vaisseaux sanguins à l’intérieur de l’œil]” vers le cœur est bloqué “souvent parce qu’un caillot de sang bloque la veine rétinienne.

    L’OVR et d’autres types d’occlusion vasculaire rétinienne peuvent entraîner une perte de vision, y compris une cécité permanente.

    Les auteurs de l’étude ont utilisé la base de données du réseau TriNetX, l’un des plus grands ensembles de données sur les soins de santé et les sciences de la vie au monde. “Les données de cette analyse ont été limitées aux données des patients des États-Unis fournies entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2022, provenant de 52 organisations de soins de santé”, ont déclaré les auteurs.

    “Les personnes vaccinées contre le COVID-19 ont un risque plus élevé de toutes les formes d’occlusion vasculaire rétinienne dans les 2 ans suivant la vaccination, avec un risque relatif global de 2,19.”

    Sur plus de 6,7 millions d’individus de la base de données du réseau TriNetX qui n’ont jamais eu de résultat positif au test COVID, 883 117 ont été vaccinées et 5 871 737 n’ont pas été vaccinées.

    Fait intéressant, une majorité écrasante (plus de 80 %) du groupe qui n’a jamais eu de COVID n’était pas vaccinée, ce qui indique que les personnes vaccinées étaient en fait plus susceptibles de contracter la maladie.

    Les auteurs de l’étude ont tenté de rendre les deux groupes aussi comparables que possible en faisant correspondre des caractéristiques telles que l’âge, le sexe et la race et en accordant une “un rapport de 1 : 1”, ce qui signifie que deux groupes de 739 066 individus chacun (un vacciné, un non vacciné) restaient pour la comparaison.

    L’analyse des données a montré que “l’incidence cumulée de l’occlusion vasculaire rétinienne était significativement plus élevée dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné, 2 ans et 12 semaines après la vaccination”.

    L’étude a également comparé le risque d’occlusion vasculaire rétinienne dans les 12 semaines suivant la “vaccination”. Le risque pour les vaccinés était 3,54 fois plus élevé que celui des non vaccinés au cours de cette période.

    “Cette grande étude multicentrique renforce les résultats des cas précédents”, ont déclaré les auteurs de l’étude, ajoutant que “l’occlusion vasculaire rétinale peut ne pas être une découverte fortuite après la vaccination contre le COVID-19”.

    Étant donné que l’occlusion vasculaire rétinienne est associée à des caillots sanguins dans les artères ou les veines, on peut supposer qu’elle est reçue par les mêmes caillots sanguins étranges qui ont été observés par les embaumeurs chez les personnes décédées qui ont reçu le dit vaccin contre le COVID.

    Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, a commenté l’étude et déclaré : “le fait que les effets aient été observés rapidement m’incite à penser que cela est probablement dû à des caillots sanguins dans la microcirculation, bien que la persistance puisse impliquer des mécanismes supplémentaires ou le matériel physique robuste trouvé à l’autopsie.”

    « Les prétendus vaccins ont été conçus pour blesser, mutiler et tuer », a déclaré le Dr Yeadon. “De multiples caractéristiques prouvées ont été délibérément intégrées dans leurs conceptions, avec pour résultat qu’il y aurait de fortes attentes en matière de caillots sanguins, d’attaques auto-immunes et de tempêtes de cytokines dans tout le corps, selon l’endroit où elles sont allées chez un individu donné.”

    « Enfin, les agents ARNm ont été formulés dans des nanoparticules lipidiques, connues depuis 2012 pour provoquer une accumulation dans certains viscères, notamment les ovaires. Les impacts négatifs sur la fertilité étaient également assurés.”

    “Rien de tout cela n’est arrivé par inadvertance”, a conclu Yeadon.

     

    Source : medias-presse.info

  • Il y a un an, Alban Gervaise était mortellement poignardé au nom d’Allah

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mai 2023

    C’était le 10 mai, il y a un an. Ce soir-là, Alban Gervaise se rend à l’école pour aller chercher ses deux enfants de 3 et 7 ans au lycée privé Sévigné, dans le XIIIe arrondissement de Marseille. À l’arrière de la voiture se trouve sa dernière fille, âgée de seize mois. Un jour comme les autres, en somme, mais qui se soldera par un événement qui brisera la vie d’une famille entière. À peine sorti de sa voiture, le médecin militaire de 41 ans est en effet attaqué par un forcené qui le lacère de coups de couteau aux cris de « Allah akbar ». Avertis par des passants, la police et les marins-pompiers de Marseille interviennent, mais il est déjà trop tard. Alban Gervaise succombera à ses blessures dix jours plus tard.

    Un an plus tard, qui se souvient encore de ce dramatique assassinat ? Un père de famille qui meurt, « blessé à la gorge », selon la formule consacrée - égorgé, le terme est un peu trop connoté, n’est-ce pas ? -, au nom d’Allah… il n’y a pas de quoi émouvoir les foules ! Autant, pour Samuel Paty, on avait encore de la compassion à revendre. Deux ans plus tard, les esprits se seraient habitués et l’affaire a été classée au rang de simple fait divers. Et comme dans tous les faits divers de ce type, l’expertise psychiatrique du suspect, Mohammed L., âgé de 23 ans, a conclu à une « abolition totale du discernement ».

    Comme il y a un an, la discrétion médiatique est de mise. À l’exception de quelques rares médias (CNewsBFM TV), la mort du médecin militaire semble ne pas intéresser. Au fond, a-t-elle vraiment intéressé ? Problème de calendrier, tout d’abord, comme l'avait souligné, à l'époque, ici même, Marc Baudriller : ce n'était pas le moment d’agiter les peurs, un mois seulement avant les élections législatives... Deuxième souci : le profil du tueur. Trop sensible, encore une fois ! La liste des victimes des « fous d’Allah » ne cesse de s’allonger année après année, mais qu’importe. Surtout ne pas stigmatiser, surtout ne pas généraliser, surtout ne pas dénoncer. Vient enfin le profil du disparu : catholique, militaire, époux et père de famille, Alban Gervaise n’était sans doute pas la bonne victime.

    À cette lâcheté coupable de ceux qui auraient dû se saisir de l’affaire s’ajoute le déshonneur de ceux qui l’ont relayée de manière biaisée. Ainsi de l’expert-psychiatre qui s’est penché sur le cas de Mohammed L. Celui-ci a fait état d’une « bagarre qui éclate » et qualifié Alban Gervaise de « victime présumée ». Autant de termes qui ont blessé profondément l’épouse du militaire, qui a réagi début mars auprès du Figaro : « Je ne peux pas tolérer qu'on parle de bagarre. Ce n'est pas une bagarre, c'est un meurtre d'une grande violence. Et le statut de victime de mon mari n'est pas à prouver. » Outre cette douloureuse expertise psychiatrique, la femme d’Alban Gervaise dénonce une fausse rumeur selon laquelle elle aurait expressément demandé de ne pas médiatiser l’assassinat de son mari. Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, le 5 septembre dernier, la veuve avait formellement démenti : « Il est régulièrement précisé que je refuse la médiatisation de l’affaire, cela est faux. Je demande simplement que soit protégée l’image de mon époux afin de protéger nos trois enfants déjà fortement ébranlés par ce drame. Les faits doivent quant à eux être relatés avec honnêteté », expliquait-elle.

    Un serviteur de la France a été tué à coups de couteau, dans la rue, et sa patrie n’en a cure. Accoutumée à la barbarie, elle fait à peine état d’un drame pourtant symbolique, offensant au passage une veuve et trois orphelins. Qu’Alban Gervaise repose en paix, et puisse justice être faite sur son cas.

     

    Source : bvoltaire