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Le Parti de la France - Page 364

  • Course-poursuite à Paris (20e arr.) : trois policiers en garde à vue après avoir percuté un scooter monté par trois mineurs qui fuyaient la police

    Publié par Guy de Laferrière le 21 avril 2023

    Le 13 avril, un scooter monté par trois mineurs, âgés de 17, 14 et 13 ans, dont l’un ne portait pas de casque, a été poursuivi par une voiture de police et a chuté à Paris. Deux enquêtes ont été ouvertes, dont une à l’IGPN.

    Trois policiers, soupçonnés d’avoir percuté un scooter monté par trois adolescents blessés dans l’accident la semaine dernière à Paris, ont été placés en garde à vue, a indiqué vendredi une source proche du dossier.

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé vendredi matin sur Franceinfo avoir « demandé au préfet de police de suspendre (…) ceux qui seraient responsables, notamment une conductrice et d’autres policiers, de cette situation », et qui ont reconnu « des gestes qui ne sont pas appropriés ». « Les témoignages ici et là » semblent indiquer « une intervention qui n’est pas conforme à ce que le droit et la déontologie permettent », a-t-il poursuivi. Leur procédure de suspension est en cours.

    Le 13 avril peu avant minuit, dans le XXe arrondissement, un scooter monté par trois mineurs, âgés de 17, 14 et 13 ans, dont l’un ne portait pas de casque, a été poursuivi par une voiture de police et a chuté.

    Arié Alimi, l’avocat des deux familles a déposé plainte pour tentative d’assassinat par personne dépositaire de l’autorité publique, avec arme par destination, sur personnes mineures.

    Une garde à vue qui rassure la famille. « Dans le cas d’une bavure policière, on sait que les procédures peuvent durer très longtemps. Bien sûr, ce n’est pas terminé, mais ça veut dire qu’on est pris au sérieux et que les paroles des témoins – qui affirment avoir vu la voiture de police les percuter – aussi. On a l’impression d’être entendus et d’être compris », réagit Fatoumata, la cousine de deux des adolescents.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Hommage aux héros de la Légion étrangère et du 1ER REP

    Publié par Guy de Laferrière le 21 avril 2023

    Légion étrangère, conférence à Orange
    Légion étrangère, conférence à Orange

    Hommage aux héros de la Légion étrangère et du 1ER REP

    Dans le cadre du Salon des Ecrivains combattants et du Livre d’Histoire

    Avec la participation de la Municipalité d’ORANGE

    Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

    – De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

    – L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

    « De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil et dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

    … Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « leurs » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

    Cette conférence sera donnée par José CASTANO, SAMEDI 29 AVRIL à 16h au Théâtre Municipal, Cours Aristide-Briand, 84100 ORANGE – Entrée gratuite –

    Contacts : philrvt@hotmail.com ou y_baly@hotmail.com

     

    Source : medias-presse.info

  • Meyer Habib soutenu par le Rassemblement National !

    Publié par Guy de Laferrière le 21 avril 2023

    Auteur : 

    meyer habib,rn

    Le franco-israélien Meyer Habib vient d’être réélu à l’Assemblée Nationale en tant que représentant de la huitième circonscription des Français établis hors de France regroupant notamment les électeurs vivant en Israël. Cet ancien gros bras du Bétar, fièrement sioniste, proche de Benjamin Netanyahou redevient ainsi député UDI après l’invalidation de son élection par le Conseil constitutionnel pour “irrégularités”.

    Il faut noter le soutien affiché que lui apporte le Rassemblement National. Ainsi, sur Twitter, on peut trouver ces messages de soutien des députés Sébastien Chenu et Julien Odoul, tous deux connus pour leur appartenance à la fois au lobby LGBT et au lobby sioniste.


    Sébastien Chenu, député RN, soutient Meyer Habib

    meyer habib,rn

    Meyer Habib soutenu par le député RN Julien Odoul
    Meyer Habib soutenu par le député RN Julien Odoul


    Source : medias-presse.info
  • Toulouse : sous la menace d’un cutter, une bande retient et terrorise deux jeunes filles dans un appartement ; les suspects sont âgés de 15 à 26 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 20 avril 2023

    Même apeurées, elles ont réussi à alerter police secours. Lundi soir, vers 22 heures, les policiers de Toulouse ont reçu l’appel de deux jeunes filles, de 18 et 20 ans, en détresse expliquant qu’elles étaient retenues dans un appartement par des intrus.

    Quand les fonctionnaires ont frappé à la porte de ce logement du quartier de Lardenne, les deux victimes en ont surgi, fondant en larmes dans les bras l’une de l’autre. A l’intérieur, cinq jeunes – quatre garçons et une fille – dissimulés sous des cache-cous et des capuches. L’un d’eux était muni d’un cutter et venait d’extorquer sous la menace de la lame le téléphone dernier cri, la carte bancaire et le code d’une des plaignantes.

    Un des intrus connaissait les lieux

    La plus âgée des victimes connaissait vaguement un des membres de la bande qu’elle avait invité chez elle quelques jours auparavant après une rencontre en boîte de nuit. C’est donc sans méfiance qu’elle lui a ouvert sa porte et qu’il a pu rentrer dans les lieux avec ses complices. Les suspects, âgés de 15 à 26 ans, sont toujours en garde à vue ce mardi pour « extorsion aggravée en réunion ».

    20minutes.fr via fdesouche

  • L’écart d’espérance de vie entre milieu rural et zone urbaine se creuse

    Publié par Guy de Laferrière le 20 avril 2023

    Les écarts d’espérance de vie entre départements ruraux et départements urbains se sont aggravés depuis trente ans, selon une étude dévoilée par France Bleu jeudi. Il y a 14 216 décès par an en plus dans les zones rurales que ce qui serait attendu si l’espérance de vie était identique à celle des villes, révèle une étude menée par l’Association des maires ruraux de France (AMRF) et dévoilée jeudi 20 avril par France Bleu. Selon cette étude, à âge et sexe égal, l’indice de mortalité des bassins de vie ruraux est supérieur de six points à celui des bassins de vie urbains.

    L’AMRF constate une aggravation des écarts d’espérance de vie entre départements ruraux et départements urbains depuis trente ans. Ainsi, l’espérance de vie du moment des habitants en zone rurale à la naissance est jusqu’à deux ans moindres que ceux des villes. En 2021, chez les hommes, elle était de 78,8 ans dans les départements considérés comme hyper-ruraux, contre 80,2 ans dans les départements hyper urbains. Chez les femmes, l’espérance de vie du moment était alors de 84,9 ans pour celles des milieux hyper ruraux et de 85,7 ans en milieu hyper urbain.

    Le nombre moyen de décès en 2020-2021 était de 236 943 dans les bassins de vie ruraux (qui comptent une population totale de 20,3 millions), quand il était de 662 474 décès dans les bassins de vie urbains qui comptent 48 millions d’habitants. L’étude a donc établit un indice de mortalité selon les bassins de vie. Il en sort qu’à âge et sexe égaux, l’indice de mortalité des bassins de vie ruraux (104) est supérieur de six points à celui des bassins de vie urbains (98).

    Sur les 30 dernières années, l’étude constate une aggravation des écarts d’espérance de vie entre départements ruraux et départements urbains, pour atteindre près de deux ans d’espérance de vie en moins pour les hommes et un an pour les femmes. Alors qu’en 1990, la différence était quasiment nulle. “Le plus surprenant est la régularité extrême du lien entre types de départements et espérance de vie”, note l’étude.

    Pour obtenir une appréciation plus fine de la mortalité, à l’échelle infradépartementale, l’étude établit un “indicateur comparatif de mortalité”, avec un score pour chaque bassin de vie. Cet indicateur permet ainsi d’établir une carte des “écarts à la mortalité moyenne”. Résultat : “ce qui frappe d’abord”, c’est “une géographie régionale”, avec des écarts plus importants dans le nord et l’est, le centre ou la pointe de la Bretagne, ainsi que dans les territoires d’outre-mer.

    Mais à y regarder de plus près, souligne l’étude, d’autres inégalités apparaissent : une opposition entre les préfectures et le reste du département, notamment. Ou encore des “effets de bordure” : “Les zones de surmortalité les plus importantes sont situées aux limites des départements et très souvent aux marges des régions à cheval sur deux ou trois départements. Ces territoires sont comme des délaissés de l’organisation territoriale”, fustige l’AMRF, qui souligne que “la centralisation des soins a des effets délétères qui contribuent à l’abandon des territoires périphériques”.

    Quatre propositions

    Ces résultats confirment donc, selon l’association, que “la localisation en ville ou à la campagne devient un facteur déterminant des inégalités d’espérance de vie”. Face à ce constat, l’Association des maires ruraux de France rappelle “l’importance de la proximité dans l’organisation du service de santé”. Elle appelle à une “refondation de la démocratie sanitaire”. Pour cela, elle a réuni 35 réseaux de professionnels de santé et d’élus, tels que Familles rurales ou la Macif afin de présenter des propositions de solutions concrètes.

    Quatre propositions ont fait consensus : “donner des moyens aux étudiants en santé de faire des stages hors du lieu de formation initiale (en développant notamment les hébergements territoriaux des étudiants en santé et les aides au transport), mettre en place et développer les équipes de soins coordonnées autour du patient (Escap) et mieux répartir les professionnels de santé” à travers par exemple “la création d’un guichet unique d’accompagnement qui centralise à l’échelle de chaque département, les besoins territoriaux, les aides financières, l’accompagnement administratif et les informations relatives à la vie familiale du professionnel”. Ils plaident aussi pour “développer de nouvelles manières de pratiquer susceptibles d’assurer à la population une prise en charge rapide et en proximité”.

    France Bleu ; francetvinfo