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Dominique Voynet qui revient à l'Assemblée, c'est une honte ! Elle devrait être jugée pour trahison, elle qui a littéralement saboté SuperPhénix, entre 85 et 97, et qui continue à s'en vanter aujourd'hui...
Certains économistes prévoyaient que la formation d’un gouvernement Rassemblement National “impacterait la capacité du pays à se financer sur les marchés publics, situation qui, accolée au déficit public actuel (5,5 % du PIB) et de la dégradation de la note de la dette française fin mai”, laisserait craindre un effondrement du système financier. Mais aujourd’hui, c’est l’idée qu’un prochain gouvernement soit peu ou prou sous la coupe de Jean-Luc Mélenchon qui incite d’autres économistes (ou les mêmes) à envisager des conséquences tout aussi négatives sur l’économie. Avec toujours la même crainte d’une panique bancaire, le fameux « bank run ».
De quoi s’agit-il ? Si la situation politique et économique tendait à se détériorer gravement et rapidement, les épargnants, redoutant alors la faillite de leur banque, pourraient se ruer vers les guichets automatiques pour récupérer en urgence une part de leur épargne.
Geler votre épargne et votre contrat d’assurance vie
Or, la Banque de France rappelle sur son site internet que l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolutions (ACPR) est responsable en France de la supervision du secteur bancaire et de la « préservation de la stabilité du système financier ». A ce titre, elle est légalement en droit d’imposer aux banques de « limiter ou interdire temporairement l’exercice de certaines opérations », comme les retraits d’argent sur les comptes courants.
De telles mesures avaient été prises à Chypre en 2013 et en Grèce en 2015.
A un tel stade, il ne s’agirait pas encore de saisir l’épargne des particuliers mais d’empêcher ou de limiter durant une certaine période l’accès aux économies des épargnants. La mesure s’étend aussi aux contrats d’assurance vie depuis l’adoption de la loi Sapin 2 du 9 décembre 2016, qui permet au Haut conseil de la stabilité financière (HCSF) de les geler temporairement.
Gardons notre calme, nous n’en sommes pas encore là.
Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Toujours totalement obsédés par la dédiabolisation et la normalisation du parti, les dirigeants du RN vont se lancer dans une énième épuration des cadres et candidats jugés trop sulfureux.
L'opération de nettoyage se fera sous l'égide de l'enragé antifa Louis Aliot, le très médiocre maire de Perpignan, surnommé « Loulou-la-purge » depuis de nombreuses années tant son unique spécialité interne est de faire virer tous ceux qu'il considère comme pas assez mous.
Alors qu'on a assisté à une rediabolisation médiatique unanime et fulgurante du RN lors la campagne du 2nd tour des Législatives, que la plupart des populistes qui réussissent à prendre le pouvoir (Trump, Bolsonaro, Duterte, Milei, Orban, etc) se contrefoutent des diktats de la presse de gauche, la direction du RN se demande comment ramper encore un peu plus devant les chiens de garde du Système.
Ces erreurs stratégiques ne cessent de se répéter et virent à l'autisme politique, alors qu'à l'inverse l'électorat se radicalise de plus en plus. »
Viktor Orban poursuit sa mission de paix 3.0. Le Premier ministre hongrois a été accueilli par Xi Jinping à Pékin. Cette visite fait suite à des visites en Russie et en Ukraine et vise à parvenir à une cessation du conflit. Après la Chine, Orbán s’envolera pour Washington pour le sommet de l’OTAN.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban est un « ambassadeur » de la paix. Après s’être rendu à Moscou et à Kiev pour discuter des perspectives d’une solution pacifique en Ukraine, il a entamé une visite surprise en Chine le 8 juillet dernier, à la barbe des représentants de l’Union Européenne.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban est un « ambassadeur » de la paix
Une « Mission de paix 3.0 », c’est ainsi qu’Orbán a légendé une photo publiée lundi matin sur la plateforme de médias sociaux X de lui-même après sa descente de l’avion à Pékin. Le Premier ministre hongrois a été accueilli par la vice-ministre chinoise des Affaires étrangères Hua Chunying et d’autres responsables.
Selon la chaîne de télévision publique CCTV, lors de la réunion bilatérale avec Xi Jinping, le président chinois a déclaré au dirigeant hongrois que les puissances mondiales devraient aider la Russie et l’Ukraine à relancer les pourparlers de paix directs.
« La communauté internationale doit créer les conditions et fournir une assistance afin que les deux parties puissent reprendre le dialogue et les négociations directes », a déclaré Xi à Orbán, ajoutant : « Ce n’est que lorsque toutes les grandes puissances exerceront une énergie positive plutôt que négative que l’aube d’un cessez-le-feu dans ce conflit pourra se produire ».
Xi à Orbán : la communauté internationale doit créer les conditions pour reprendre le dialogue de paix entre la Russie et l’Ukraine
A l’occasion de cette visite, le président chinois a salué l’Union européenne comme un « partenariat stratégique » exemplaire, invitant la Hongrie à jouer « un rôle plus important » dans le « développement » des relations entre Pékin et Bruxelles.
Pékin et Budapest sont sur la même longueur d’onde sur la question ukrainienne, soutenant une résolution pacifique du conflit tout en restant proches du Kremlin.
Après sa rencontre avec le président chinois, Viktor Orban a affirmé sur son compte X : « Le président Xi m’a clairement indiqué aujourd’hui que la Chine poursuivra ses efforts en vue de créer les conditions de la paix. Nous ne sommes pas seuls ! La mission de paix se poursuit… »
La visite d’Orbán fait suite à des voyages similaires la semaine dernière à Moscou le 5 juillet, et à Kiev le 3 juillet, où il a proposé que l’Ukraine envisage un accord de cessez-le-feu immédiat avec la Russie. Le dirigeant ukrainien a rejeté cette idée, estimant que Moscou en profiterait pour se renforcer.
Orbán en Chine : la Hongrie peut parler aux deux côtés du conflit ukrainien
La visite du Premier ministre hongrois à Moscou a suscité la condamnation de Kiev et des dirigeants et institutions européens. « Le nombre de pays capables de parler aux deux parties en guerre est en diminution, a déclaré Orbán. La Hongrie est en train de devenir peu à peu le seul pays d’Europe qui peut parler à tout le monde ». « La guerre ne tombe pas du ciel. La guerre est le résultat de décisions prises par des personnes précises… La Chine a un plan de paix. Les États-Unis mènent une politique de guerre. L’Europe, au lieu d’avoir une approche stratégique autonome , copie simplement la position américaine. »
Ces visites décidées sans consultation avec les technocrates bruxellois, hostiles à toutes discussions de paix, ont provoqué la colère des partenaires européens,
Le 1er juillet, la Hongrie a assumé la présidence tournante de l’UE. Pour le Président russe Vladimir Poutine, Viktor Orbán s’est rendu à Moscou en tant que plus haut représentant du Conseil européen. Une version démentie par de hauts responsables bruxellois qui ont précisé que le Premier ministre hongrois n’a aucun mandat pour négocier au nom de l’Union.
Union Européenne : la colère du parti de la guerre
Les technocrates bruxellois sont du parti de la guerre : ainsi considèrent-ils Orbán comme le dirigeant européen qui a entretenu les relations les plus chaleureuses avec Poutine, mais aussi comme celui qui a constamment bloqué leurs efforts visant à soutenir Kiev envers et contre-tout réalisme et à imposer des sanctions à Moscou.
Viktor Orbán est du parti de la paix : aussi soutient-il depuis longtemps la cessation des hostilités en Ukraine. Une posture critiquée par les alliés de l’UE et de l’OTAN, qui ont dénoncé les actions de la Russie comme une violation du droit international et une menace pour la sécurité des pays d’Europe de l’Est.