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Le Parti de la France - Page 72

  • Les relations particulières entre Attal, Chenu et Tanguy

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juillet 2024

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    Nous avons évoqué ce matin les révélations du journal Libération sur les dîners secrets entre des figures de la Macronie et Marine Le Pen et Jordan Bardella, révélations qui laissent entendre des connivences d’une ampleur insoupçonnée jusqu’ici entre le RN et l’entourage de Macron.

    Connivences multiples sur un ton grivois

    Dans un registre indirectement lié, le compte X/Twitter de Zoé Sagan, très suivi pour ses sujets consacrés aux mœurs de personnalités de la jet-set, des médias et de la politique, avait sorti de l’oubli quelques extraits d’articles passés inaperçus sur les relations particulières entre Gabriel Attal, Sébastien Chenu et Jean-Philippe Tanguy, tous trois notoirement homosexuels. Entretemps, le compte X/Twitter de Zoé Sagan a été une nouvelle fois censuré.

    Les relations particulières entre Attal, Chenu et Tanguy

    Les relations particulières entre Attal, Chenu et Tanguy

    Le résultat du second tour des élections législatives anticipées nous aura au moins évité que Sébastien Chenu et Jean-Philippe Tanguy deviennent ministres…

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Quelques réflexions personnelles post-électorales...

    Publié par Guy de Laferrière le 10 juillet 2024

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    Il est des moments, dans l’existence, où il faut se décider : quelle ligne de conduite adopter face à des évènements que l’on ne maitrise pas ? Autrement dit, pour un mâle blanc, hétérosexuel, largement de plus de cinquante ans, d’élocution francophone, que faire dans un monde qui ne convient pas, que ce soit dans le domaine sociétal comme dans le secteur politique ? Soyons encore plus direct : quelle attitude adopter dans un pays où une Assemblée nationale est dominée en nombre de sièges – mais pas en nombre de voix ! -, par les Rouges/Roses du NFP ? Sans omettre  les ploutocrates mondialistes « d’Ensemble » et de LR réunis ? (« Aie l’air d’un con », oui !) Sans oublier non plus des revenants, des « fantômes de la République », tel un grassouillet  François Hollande. Lequel, toute honte bue, considérant sans doute ses retraites de maire, de conseiller général, de député de la Corrèze et de président de la République comme trop maigres, « repique au truc » ?

    Se rebeller, s’insurger, partir, combattre pour mieux être écrasé par la soldatesque aux ordres des oligarques ? Ne nous y trompons pas, pas un militaire patriote, pas un seul, ne prendrait le risque de s’opposer au système par un pronunciamiento. Même la Bolivie, pays producteur typique de cette spécialité politique exotique, semble y avoir renoncé, c’est dire…

    Alors, que faire, subir en silence, en « fermant sa gueule » et  en serrant les poings, attendant la dégringolade finale, comme l’orchestre du Titanic, qui fit vibrer ses instruments jusqu’au bout du naufrage ?

    Changer de nationalité ? Pourquoi pas. Encore faut-il en avoir les moyens, et l’acheter dans des micro-États. Tout le monde n’a pas une valise bourrée de billets de banque à déposer sur le bureau des Grimaldi !

    Resterait l’exil intérieur, un repli sur soi, une négation du monde qui nous entoure. Difficile à envisager tant les liens sociaux sont évidents, nécessaires à notre existence même. Alors je reviens sur cette idée de nationalité de rechange. J’ai eu la chance d’avoir été nommé le 30 septembre 2001 vice-consul de Patagonie en Seine-et-Marne par Jean Raspail, immense écrivain disparu il y a quatre ans, auteur notamment de l’éblouissant livre « Le Camp  des Saints ».

    Alors oui, quitter mentalement ce pays qui a vu naître Jean de la Fontaine, Alexandre Dumas, Auguste Rodin, Georges Bizet, Honoré d’Estienne d’Orves, Jeanne, la Sainte de la patrie, Louis XVI un roi martyr, un célèbre Maréchal qui avait fait « don de sa personne à la France », ou encore les patriotes fusillés de l’Algérie française, est un déchirement.

    Mais qu’est donc devenu ce pays, celui de mon enfance, que je ne reconnais plus ? Mon XVIIIe arrondissement de paris est une véritable « Tour de Babel » ! Des Bambaras aux Pendjabis, en passant par des Fangs, des Roms, des Maghrébins ou des Tamouls, tout un kaléidoscope ethnique semble s’être déversé sans retenue sur la France, « Mère des arts, des armes  et des lois », comme l’écrivait Joachim du Bellay au XVIe siècle. Un pays de « footeux » millionnaires, qui plus est donneurs de leçons - reconnaissables lors des rencontres internationales uniquement grâce à la couleur de leur maillot -, ou encore de médaillés de la légion d’honneur, décorations obtenues pour avoir bien ciré les pompes du potentat du moment… Et que penser de tous ces « jeunes » dealers qui colonisent, ici ou là,  nos « zones de non droit » et autres « quartiers difficiles », et qui sortent le « surin » pour un oui ou pour un non , en toute impunité ?

    Alors oui, je vais me réfugier dans les plis du drapeau tricolore bleu, blanc, vert - celui de Sa Majesté Antoine-Orélie 1er, roi d’Araucanie et de Patagonie -, qui recouvrira mon cercueil lorsque l’heure ultime de ma présence terrestre sera venue.

    Ce pays qui fut, un temps, le phare du monde, ne m’intéresse plus depuis qu’il est entre les mains de petits hommes gris, sectaires, jaloux, et imbus de leur personne. En fait, ce sont de misérables lombrics ! (Et encore, ces derniers, les vrais, ont-ils une évidente utilité…) L’inéluctable « Grand remplacement » sauf redressement démographique, m’affecte terriblement. Sans oublier les effets délétères du Wokisme importé des États-Unis, et l’inlassable action subversive  des termites de l’islamo-gauchisme adoubés par l’inénarrable « Merluchon » !

    Alors oui, que Muskar XII, roi de la  Syldavie créée par le grand Hergé dont le portrait orne mon bureau, et Sa majesté Antoine-Orélie 1er, veillent sur moi . Ce sont bien les seuls rares et dignes chefs d’État qui ont droit à mon profond respect.

     « Liberté, équité, civilité » !

     

    Source : synthesenationale

  • Le vrai combat ne se déroule pas dans les urnes mais dans les âmes

    Publié par Guy de Laferrière le 09 juillet 2024

    Pas de restauration nationale sans l'aide de Dieu

    Sur les réseaux sociaux, Alain Escada, président de Civitas International, commente le résultat des élections législatives anticipées :

    Comme après chaque élection, les naïfs voient leurs rêves s’envoler et redécouvrent que le Système a tout verrouillé.

    Il n’y aura jamais de restauration nationale sans l’aide de Dieu. Le vrai combat ne se déroule pas dans les urnes mais dans les âmes. Ramenez d’abord les âmes à Dieu et vous pourrez ensuite espérer ramener votre pays à la raison. Sans ce préalable, tout n’est que vaines passions humaines rythmées par un calendrier imposé par l’adversaire.

    Alain Escada

     

    Source : medias-presse.info