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Le Parti de la France - Page 786

  • Marché de Noël de Strasbourg : les crucifix seront interdits à la vente “sous réserves” par la mairie EELV, les loukoums sont autorisés mais ni la raclette, ni la tartiflette (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022

    (…) À peine transmise aux commerçants, la liste n’a pas manqué de faire réagir. Certains se sont notamment plaints auprès de la mairie d’avoir déjà commandé des produits qui ne sont finalement pas autorisés à la vente.

    La commission en charge de cette liste a expliqué dans son mail envoyé aux commerçants que les dossiers de candidatures pour le marché de Noël ont justement mis en lumière le fait que certains produits ne faisaient pas partie des produits autorisés à la vente par l’arrêté municipal.

    Certains commerçants et habitants ne comprennent pas non plus pourquoi des objets en lien avec la religion, comme les crucifix, soient vendus seulement “sous réserve”, quand d’autres, comme les crèches, sont autorisés sans problème.

    Du côté des élus de la ville, la liste d’interdiction ne fait pas vraiment consensus non plus. Anne-Pernelle Richardot, conseillère municipale du groupe Faire ensemble Strasbourg, dénonce sur Twitter une mesure mise en place “par ignorance ou par dogmatisme” et qui n’a “aucun autre objectif” que de “fracturer” la ville.

    Le marché de Noël de Strasbourg doit ouvrir ses portes cette année à partir du 25 novembre.

    www.bfmtv.com via fdesouchestrasbourg/

  • À Villiers-le-Bel, une bande de voyous a pris en main une station-service en filtrant les véhicules.

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022

    lafautearousseau

     

    À Villiers-le-Bel, une bande de voyous a pris en main une station-service en filtrant les véhicules. Ceux qui n'étaient pas du quartier devaient payer plus cher. Certains se sont fait caillasser leur véhicule. Le journaliste les appelle des "voyous" : est-il sûr qu'il s'agisse bien de voyous ? Ne s'agit-il pas plutôt de racailles, de "nouveaux venus", bref d'envahisseurs, "français de plastique" importés par le Système ? On se souvient qu'à Marseille, sous Sarko, les racailles du quartier avaient pris le contrôle du stationneùment sauvage à la Porte d'Aix et rançonnaient les automobilistes, les obligeant à payer, sinon leur véhicule et eux-même risquaient gros. Sarko avait fini par se déplacer en personne, pour "règler" (?) le problème... Là, on est dans le même registre : les racailles auraient tort de se gêner : on leur a donné le pays, elles en profitent. Les vrais coupables sont ceux qui ont fait entrer les loups dans la bergerie : les loups font un festin, une fois qu'on leur a ouvert la porte et qu'on les a laissé entrer : quoi de plus cohérent ? Certes, il faut les chasser, mais chasser aussi, et surtout, ceux qui nous volent notre Pays pour le donner aux envahisseurs : nous avons nommé

    LE SYSTÈME, LA RÉPUBLIQUE IDÉOLOGIQUE !

    (extrait 1'19)

    https://twitter.com/ApollineMatin/status/1579725688336416770?s=20&t=SR4mDgKdsFHfgcefWEt6cg

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  • “Sale curé” : un prêtre agressé dans une station service par un individu se réclamant “fier d’être fils de fellagha” entre Arras et Lens

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2022

    Alors qu’il attendait à une station-service de se fournir en carburant, notre ami le très dévoué père Jean-Paul Argouarc’h a été d’abord l’objet, en raison de son habit, de graves injures racistes, proférées par un individu de type maghrébin hurlant sa fierté d’être un fils de fellagha.

    Après quoi, ce forcené s’en est pris physiquement au père, lui portant notamment un très violent coup de poing au bras gauche.

    Après cela, le père Argouarc’h a fait l’objet d’un constat médical et a déposé plainte dans le commissariat de police le plus proche.

    Naturellement l’AGRIF, saisie par le père en la personne de son avocat, se constitue partie civile pour que la plainte aboutisse.

    Agrif via fdesouche

  • Nantes : Menacée par le grand banditisme, une juge d’instruction se voit refuser une protection rapprochée. Les caïds “Mohamed A.”, “Ossama H.” et “Illias N.” ont proféré les menaces les plus virulentes

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2022

    La magistrate a alerté sa hiérarchie à plusieurs reprises des tentatives d’intimidation dont elle était l’objet dans un dossier de crime organisé à Nantes.

    (…) Magistrate expérimentée, la quadragénaire est spécialisée dans le crime organisé et les trafics de stupéfiants, un curriculum vitæ peu impressionnant pour les caïds nantais de la nouvelle génération. « Barjot »« cinglée »« ratée »« va te faire enculer » : au cours d’auditions menées par la magistrate entre 2020 et 2021, trois d’entre eux ont multiplié les insultes. Puis sont passés aux menaces. Le 22 septembre 2020, le premier lance à la juge : « Si vous vous faites rafaler ou renverser par une voiture en sortant du tribunal, je serai content. » « Tout se paie dans la vie », renchérit un autre, sept mois plus tard. A l’été 2021, le dernier n’hésite pas à laisser une trace écrite dans un courrier : « Je vous lâcherait (sic) jamais ». Selon son avocat, Me Antoine Ory, le jeune homme aurait simplement fait part de sa volonté de porter plainte contre la magistrate. Il n’a pas été poursuivi pour ses propos.

    Ces menaces ne sont pas proférées à la légère. Mohamed A., le plus virulent, n’a pas 30 ans et a déjà échappé à deux tentatives d’assassinat. A Nantes, c’est un poids lourd engagé dans une sanglante guerre des clans pour le contrôle du trafic de stupéfiants. Avant de se pourvoir en cassation, il a été condamné pour le vol d’un véhicule ayant servi à une expédition punitive contre le Copacabana, un bar à chicha de l’île Beaulieu, le 15 mars 2019 – un homme y a été grièvement blessé. Il est également suspecté d’être lié à la fusillade du Moonlight, un autre bar à chicha où un jeune homme de 24 ans, neveu du gérant, a été abattu par erreur quelques semaines plus tard au cours d’une véritable équipée meurtrière menée par plusieurs tireurs équipés d’armes de guerre et circulant à bord d’une voiture puissante et à scooters de grosse cylindrée. Les enquêteurs de la police judiciaire sont convaincus que, ce soir-là, le commando visait un rival. Et que les deux autres détenus ayant menacé la magistrate, Ossama H. et Illias N., en faisaient partie.

    Leurs manœuvres d’intimidation auraient pu rester au stade de rodomontades de détenus si d’invraisemblables bourdes commises par la justice n’avaient subitement accru l’inquiétude de la magistrate : en l’espace de six mois, les trois hommes ont été remis en liberté. Illias N. est sorti de prison, le 8 février 2022 : la justice n’a pas examiné dans les délais son appel contre une décision lui refusant une mise en liberté.

    (…) Le Monde via fdesouche

  • “Racisme de volume” : pour certaines associations antiracistes et communautaires, s’agacer du bruit dans les transports en commun est raciste

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022

    "Racisme de volume" : s'agacer du bruit dans les transports en commun, est-ce raciste ?

     

    Alerte, sujet casse-gueule ! Demander aux personnes bruyantes, dans le bus, le tram ou le métro, de la mettre en sourdine, cela semble normal. Simple question d’éducation, pourrait-on penser. Pas pour certaines associations communautaires et antiracistes qui défendent l’idée d’un racisme lié au niveau de décibels.

     

    (…)

    « Volume racism », c’est ainsi que l’appelle le militant antiraciste américano-palestinien Sbeih, suivi par près d’un million d’abonnés, tous réseaux confondus. Dans une vidéo largement reprise, le jeune homme y aborde les discriminations que subiraient les personnes « noires ou arabes » lorsqu’il leur arrive de parler fort et dans quelle mesure cela reposerait sur du racisme des personnes blanches qui les jugent. Sur TikTok et Instagram, les témoignages vécus qui corroborent cette thèse vont bon train. « Ce concept est génial et hyperpertinent, par exemple quand vous êtes dans un restaurant et qu’il y a des Blancs qui vont voir la table de personnes racisées pour leur dire qu’ils font trop de bruit », reprend par exemple la militante féministe intersectionnelle Zazem, créatrice d’une web-émission « antiraciste et postcoloniale ».

     

    Appelé aussi « discrimination de décibels » par le collectif NEOIFRI, ce concept brumeux peut être résumé par l’une des personnes qu’elle interroge justement sur le sujet. « On dérange, juste parce qu’on est là, qu’on est trop là » lui confie-t-il tristement. Le parallèle est inévitablement fait par les internautes avec la fameuse phrase prononcée lors d’un discours le 19 juin 1991 par le président Jacques Chirac, « le bruit et l’odeur » peu après une visite du quartier de la Goutte d’Or à Paris.

    www.marianne.net via fdesouche