Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

agrif

  • À Paris, Notre-Dame du Travail islamistement vandalisée : l’AGRIF va se porter partie civile

    Publié par Guy de Laferrière le 18 juillet 2024

    À Paris, Notre-Dame du Travail islamistement vandalisée : l’AGRIF va se porter partie civile

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

    C’est dans la nuit de ce dernier 14 juillet qu’a été saccagée et islamistement profanée l’église Notre-Dame du Travail dans le 14 ° arrondissement de Paris.

    Avec à l’évidence une sauvagerie révolutionnaire dans la continuité du racisme antichrétien des pires moments de la Révolution française (dégradations des statues, portes fracturées, statue de la Vierge Marie poignardée).

    Mais cette fois la haine a été manifestement motivée par la fureur islamiste comme en témoignent de nombreux tags appelant (en mauvais français) à la soumission à Allah et à la prière cinq fois par jour comme il est de règle dans l’islam ; injuriant le Christ (« le bâtard Jésus »), la Vierge Marie et l’Église en des termes qu’il n’est pas nécessaire de reproduire ici…. Inscriptions au demeurant révélatrices d’une connaissance des fondamentaux de la religion islamique (« le dernier profète (sic !) Mohammed ») ou encore exaltant la guerre à livrer au monde chrétien.

    Bien sûr, l’AGRIF s’informera attentivement des résultats de l’enquête et se constituera partie civile dès qu’auront été identifiés et appréhendés les coupables de cette abominable manifestation de haine et de racisme antichrétien.

    Il paraît en effet évident que la dévastation de l’église n’a pu être le fait d’un seul fanatique mais de plusieurs.

     

    Source : lesalonbeige

  • Crépol : l’Agrif fait appel

    Publié par Guy de Laferrière le 25 février 2024

    Crépol : l’Agrif fait appel

    Bernard ANTONY, président de l’AGRIF, communique :

    Dans l’affaire du drame de Crépol dans lequel de nombreuses victimes ont été plantées à coups de couteaux et dans lequel le malheureux Thomas Perroto est décédé, le Procureur de la République a confirmé que neuf témoignages « rapportent des propos hostiles disant clairement que l’hostilité est dirigée – je cite- contre les blancs » tout en refusant de retenir la circonstance aggravante de racisme.

    En fait « d’hostilité », les témoignages recueillis entre guillemets par le Dauphiné libéré font état d’une volonté délibérée « de planter des blancs ».

    Or, le juge d’instruction vient de rejeter ce jour la constitution de partie civile de l’AGRIF au motif que l’instruction n’aurait pas été ouverte sur une « discrimination raciale ». Or, ce n’est pas un fait de discrimination raciale qui est en cause mais le fait que les crimes commis l’ont été à l’évidence en raison de la race blanche, circonstance générale aggravante prévue par la loi pour toutes les infractions depuis une loi de 2017.

    L’AGRIF interjette évidemment appel de cette décision d’irrecevabilité.

     

    Source : lesalonbeige

  • Deux victoires judiciaires pour l’AGRIF

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Deux victoires judiciaires pour l’AGRIF

    À deux jours d’intervalle, l’AGRIF a obtenu deux succès remportés par son avocat Maître Jérôme Triomphe devant la quatrième chambre de l’Instruction de la Cour d’appel de Paris.

    Le premier arrêt prononcé le 5 avril a décidé du renvoi devant le juge d’instruction de la plainte initialement déposée, le 12 août 2020, contre Manon Monmirel, suppléante du député de la France insoumise Éric Coquerel. Cette dernière avait publié sur son compte tweeter, le 26 mai 2019, les hallucinants propos suivants :

    « Que la France et tous les Français aillent niquer leurs mères. Pays de fascistes ».

    Propos poursuivis par l’AGRIF sous la qualification des faits suivante :

    « injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion par parole, écrit, image ou moyen de communication publié par voie électronique ».

    Le deuxième arrêt prononcé en chambre du conseil a décidé du renvoi devant le tribunal correctionnel d’Evreux d’une association de promotion de l’architecture gothique de la « discrimination à raison de la religion et refus d’embauche ». Cette affaire, la plus ancienne, remonte à la plainte déposée le 29 novembre 2013 par un jeune diplômé contre une association de promotion de l’architecture gothique pour fait de discrimination à l’embauche exercée contre lui en raison de son profil de « catholique militant ». Ceci pour avoir simplement mentionné dans son CV son activité en tant qu’écuyer de l’ordre équestre du Saint-Sépulcre, activité purement caritative et ne relevant en rien d’un prosélytisme militant. Il avait aussi mentionné dans sa lettre de motivation et dans son CV qu’il avait été un chef louveteau, ayant à ce titre participé à des « maraudes » pour aider des sans-logis et autres déshérités. Et c’est cela, incroyablement, qui motivait le refus d’embauche prononcé par le président de cette association sous le prétexte d’un « profil de catholique militant ». Notons que ce jeune diplômé que défend l’AGRIF a surtout mentionné dans son CV ses diplômes en droit et en sciences politiques, de ses réalisations culturelles, de sa spécialisation dans le tourisme culturel et dans la valorisation du patrimoine avec ses riches expériences en Roumanie, à Madagascar, au Burkina Faso, et même un cycle d’études en Chine.

    D’ordonnance de non-lieu (07-11-2016) en arrêts de chambres d’instruction (31-01-2017, 05-09-2018, 06-02-2019, 25-11-2019, 17-02-2021), en arrêt de la Cour de cassation du 31-05-2022, cette bataille judiciaire vient donc de connaître une victoire d’étape ainsi libellée :

    « La Cour, en la forme déclare l’appel (de l’AGRIF) recevable… au fond… ordonne le renvoi de X devant le tribunal correctionnel d’Evreux … du chef suivant : refus d’embaucher Y …  « en lui opposant que son profil de catholique militant faisait obstacle à l’acceptation de sa candidature ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Référé pour la liberté de culte

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2020

    3065937068.jpg

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

    L’AGRIF dépose ce jour avec d’autres associations et instituts religieux une requête en référé-liberté devant le Conseil d’État contre le décret du 29 octobre confinant drastiquement et totalement le culte à compter du 3 novembre, alors que les catholiques ont manifesté le respect le plus discipliné des mesures sanitaires décidées par le gouvernement. Aucun foyer de contamination n’a ainsi été trouvé dans les églises.

    Alors que dans le même temps sont ouvertes les écoles, et que fonctionnent les transports dans lesquels aucune distanciation sociale n’est respectée, il est incompréhensible que la liberté fondamentale du culte – dont le Conseil d’Etat avait pourtant rappelé le 18 mai qu’elle avait une prééminence particulière sur les autres libertés – soit malmenée d’une manière aussi disproportionnée et qu’il soit interdit aux croyants de se déconfiner 2h aller-retour le dimanche dûment munis d’une attestation, pour assister à la messe et recevoir les sacrements dans le respect scrupuleux des mesures sanitaires.

     

    Source : synthesenationale

  • ACTE DE RACISME ABSOLU CONTRE L’ÊTRE HUMAIN, LA MISE À MORT DE VINCENT LAMBERT SERAIT UN CRIME D’ÉTAT.

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2019

    Communiqué de l'AGRIF :

    logo-agrif.jpgDe partout montent les appels vers le président de la République qui, seul, a désormais le pouvoir d’empêcher le meurtre par euthanazie idéologiquement programmé.

    La mise à mort de Vincent Lambert prendrait une signification terrible : la volonté mûrement décidée d’un acte de transgression de la loi morale universelle, celle du Décalogue, fondement de la civilisation du respect de la vie innocente, ordonné par le quatrième des commandements du Décalogue : « Tu ne tueras pas ».Décalogue pas seulement destiné au seul peuple juif de l’Ancien Testament et donc aux chrétiens mais de portée universelle.

    L’obligation morale et légale du respect de la vie de l’être humain innocent, c’est ce qui fait depuis toute la différence entre civilisation barbare et civilisation humaniste.

    Ce n’est pas seulement madame Agnès Buzyn, ministre de la santé, indifférente au respect du serment d’Hippocrate, qui a pris la terrible responsabilité de piétiner la décision de la Commission internationale de défense des personnes handicapées de l’ONU, au mépris des accords signés par la France.

    Elle n’a pu annoncer cette décision barbare que sous l’autorité du président de la République française.

    Emmanuel Macron, s’il choisissait la mort et non la vie pour Vincent Lambert, porterait en tant que chef de l’État la terrible responsabilité devant Dieu et devant les hommes d’assumer un acte, le plus absolu, de transgression morale.

    Il y perdrait aussi sa véritable légitimité qui ne peut être fondée que sur le devoir de protéger son peuple et d’agir pour le respect de la vie des plus faibles.

     

    Source : synthesenationale