Publié par Guy de Laferrière le 30 juin 2023
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Nanterre, réaction de l’Algérie : « Le gouvernement algérien (a) le souci constant d’être aux côtés des membres de sa communauté nationale au moment de l’adversité et de l’épreuve »
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Christophe Galtier : l’Algérie appartient aux Algériens.
Publié par Guy de Laferrière le 14 avril 2023
Christophe Galtier :Mes parents et mon frère aîné sont nés en Algérie (...). Je sais que ça a été très dur pour eux mais je leur ai dit un jour que ce pays appartenait aux Algériens et pas aux Français. Ils ont été choqués mais je le pense profondément (...). Ma famille a été touchée personnellement par ce conflit. Il y a eu des décès. Mais quand adulte, je sors cette phrase à mes parents, il y a un décalage entre ce qu’ils ont vécu et ce que je perçois. L’Algérie appartient aux Algériens. -
Étrangers en situation irrégulière : quand l’Algérie refuse ses ressortissants… même avec leurs papiers et que des juges profitent des tensions diplomatiques pour libérer des clandestins
Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2023
Plus encore qu’à l’accoutumée, l’Algérie rechigne à reprendre ses ressortissants que la France souhaite expulser, en particulier ceux qui sortent de prison. Jusqu’à refuser ses citoyens pourtant pourvus de leurs documents. Même si Gérald Darmanin a annoncé la fin de la crise diplomatique, les relations entre les deux pays demeurent instables.
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Mais les freins à la réalisation des éloignements ne sont pas uniquement diplomatiques. Une récente jurisprudence vient de créer de nouvelles contraintes juridiques qui pourraient contrecarrer les objectifs politiques du gouvernement. Le juge des libertés et de la détention (JLD), qui doit être saisi dans les 48 heures suivant un placement en CRA, est amené à s’exprimer sur les conditions de rétention. Cette jurisprudence élargit ainsi les pouvoirs d’appréciation du juge qui dépassent les conditions de la rétention. Plusieurs juges ont donc décidé, après que l’éloignement s’est révélé impossible à leurs yeux du fait du manque de coopération avec le pays d’origine, de libérer la personne retenue avant le délai maximal des 90 jours. Appelée à se pencher sur le cas d’un Algérien de 25 ans frappé d’une interdiction judiciaire du territoire, la cour d’appel d’Aix-en-Provence a prononcé la fin de sa rétention au motif « qu’il apparaît qu’en l’état aucun élément ne laisse entrevoir de perspectives d’éloignement pendant le temps de la rétention ». Pour justifier leur décision, les juges ont mis en avant « l’état des tensions diplomatiques suspendant les relations entre la France et l’Algérie » qui n’a permis de réaliser que « 22 réadmissions en 2022, un chiffre minime ».
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Algérie : près de 3.000 migrants subsahariens expulsés en plein désert en 10 jours (Màj : Vidéo)
Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023
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OQTF : plus aucun Algérien ne pourra être expulsé depuis la France
Publié par Guy de Laferrière le 16 mars 2023
Les laissez-passer consulaires sont ces documents indispensables à l’expulsion des clandestins. Émis par les consulats des pays d’origine des illégaux, ils conditionnent le retour effectif des personnes faisant notamment l’objet d’une obligation de quitter le territoire français – les fameuses OQTF.
L’Algérie ne délivre plus aucun laissez-passer à la France depuis près d’un mois.
Source : lesalonbeige