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  • Colonialisme. Belgique : un célèbre biscuit de la ville d’Anvers crée la polémique

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2021

    Un tweet repéré par les journalistes du Nieuwsblad suscite actuellement la polémique sur le réseau social. L’auteur de la publication affirme que les mains d’Anvers, célèbres biscuits de la métropole flamande, sont en fait une référence aux mains coupées du Congo sous la tutelle du roi Léopold II. De nombreux internautes ont réagi pour réfuter ces allégations. En fait, les mains figurent sur les armoiries de la ville d’Anvers depuis le 13e siècle, bien avant la colonisation du Congo par la Belgique.

    Les Belges avaient l’habitude de couper vos mains ou celles de vos enfants si les quotas journaliers n’étaient pas atteints. Aujourd’hui, ils vendent des biscuits en forme de main au chocolat. Si vous ne pensez pas que c’est absolument diabolique, alors je ne sais pas quoi vous dire”, peut-on lire dans ce tweet publié par “Africa Archives”, un compte suivi par plus de 30.000 personnes sur Twitter. Le message, publié le 29 mars, a été massivement commenté et relayé.

    Les mains d’Anvers ou petites mains d’Anvers sont une spécialité culinaire de la ville flamande. “La légende raconte que le géant Druon Antigoon demandait un important péage à tous les marins qui voulaient remonter le cours de l’Escaut et coupait les mains des personnes qui refusait de payer avant de les jeter dans le fleuve. Il fut tué par Silvius Brabo qui lui coupa les mains et les jeta dans l’Escaut”, peut-on lire sur le site de l’agence du tourisme flamande.

    La pâtisserie fut inventée en 1934 par le confiseur Jos Hakker de la Société royale du maître pâtissier d’Anvers.

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  • Plandémie – Le gouvernement belge prévoit d’imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements

    Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021

    Klaus Schwab, dirigeant du Forum économique mondial et promoteur du Great Reset, entouré du Roi et de la Reine des Belges, de l’ancienne Premier ministre intérimaire Sophie Wilmès et de l’actuel Premier ministre belge Alexander De Croo

    Un gouvernement se prépare à entériner un projet de loi qui l’autoriserait à imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements. Ce n’est pas une fake news. Cela ne se passe pas en Chine, en Corée du Nord ou en Russie.

    Ce pays qui envisage de traiter ses honnêtes citoyens comme des criminels se situe dans l’Union européenne. Et non, il ne s’agit pas de la Hongrie de Viktor Orban.

    Ce pays qui très tranquillement pourrait basculer dans le totalitarisme le plut complet, c’est… la Belgique, épicentre des institutions européennes, de l’OTAN et de bien d’autres organismes internationaux.

    L’avant-projet de loi en question se présente comme une “loi pandémie” et pourrait fixer dans le marbre des dispositions qu’aucun état dit “démocratique” n’avait osé jusqu’ici inscrire dans son arsenal législatif.

    L’idée même d’une “loi pandémie” veut faire penser que notre futur sera rythmé par des successions de “pandémies” qui deviendront notre lot habituel.

    L’avant-projet de loi est porté par la ministre belge de l’Intérieur Annelies Verlinden (CD&V, parti flamand classé démocrate-chrétien) au sein d’un gouvernement fédéral de coalition qui rassemble les écologistes, les socialistes et les libéraux francophones et néerlandophones ainsi que les démocrates-chrétiens néerlandophones. Leur objectif est d’entériner la loi pandémie entre fin mars et début avril.

    L’Autorité de protection des données (APD) a remis un avis extrêmement négatif concernant cet avant-projet de loi, estimant qu’il “donne lieu à une violation des principes de légalité et de prévisibilité.

    L’Autorité de protection des données met en garde :

    «À titre d’exemples, l’avant-projet de loi pourrait ainsi permettre d’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements ou de mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et de vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine».

    Cet avant-projet de loi pandémie mène en effet directement, sous prétexte sanitaire, à un impressionnant totalitarisme facilité par les outils numériques.

    Les points les plus inquiétants de cet avant-projet de loi sont

    • D’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique relié à une banque de données permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements et le respect d’une interdiction de déplacement (ou de déplacement après une certaine heure) ;
    • De photographier les plaques d’immatriculation des véhicules quittant ou rentrant sur le territoire belge, de les relier avec la banque de données existante de la Division de l’Immatriculation des Véhicules (DIV) et d’en appréhender les propriétaires ;
    • De mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et se vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine ;
    • De contrôler les déplacements des citoyens au moyen de la géolocalisation de leur téléphone mobile éventuel ;
    • De recourir à l’identification obligatoire au moyen d’un QR code sur téléphone mobile ou d’une vérification via l’empreinte digitale apposée dans la puce de l’e-ID pour contrôler le droit d’accéder à certains lieux ou transports ou pour contrôler le statut du citoyen (vacciné ou non par exemple).

    Voir un tel avant-projet de loi surgir en Belgique, cœur des institutions européennes, c’est à n’en pas douter le signe que des  mesures similaires se préparent dans les autres pays de l’UE. Il faut d’ailles noter que Charles Michel, précédent Premier ministre de Belgique, est devenu le président du Conseil européen depuis 2019.

    Rencontre entre Bill Gates, Charles Michel et Alexander De Croo avant que le second ne devienne président du Conseil européen et que le troisième ne devienne le nouveau Premier ministre de Belgique

    Cela signifie que nous entrons bel et bien dans un nouveau monde, avec un changement complet des paradigmes politiques et sociaux au profit d’un Nouvel Ordre Mondial totalitaire qui fera la synthèse des romans d’anticipation 1984 et Le Meilleur des Mondes.

    Au motif de préserver notre santé, les autorités ont choisi de définitivement nous priver de nos libertés les plus élémentaires.

    Il nous reste peu de temps pour bloquer cette transformation de notre société.

    Article du journal économique belge L’écho au sujet de la loi pandémie





    Source : medias-presse.info

  • belgique“Nous pensons que la population, littéralement à bout, n’attend qu’un incident pour se regrouper en foyer de révolte”, préviennent des gradés de la police belge

    Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2021

    Belgique – Le site de la RTBF, télévision d’Etat en Belgique francophone,  a fait état il y a quelques jours d’un document confidentiel daté du 2 mars dernier. Il s’agit de la retranscription d’une réunion entre des gradés de onze zones de police de la Province de Liège (Vesdre, Grâce-Hollogne/Awans, Ans/Saint-Nicolas, Liège, Beyne/Fléron/Soumagne, Secova, Herstal, Condroz, Fagnes, Basse-Meuse, Huy).

    Cette réunion concernait la manière dont les policiers ressentent l’obligation de faire respecter les restrictions sanitaires imposées par les autorités politiques.

    La RTBF affirme avoir contacté cinq chefs de ces corps de police. Aucun n’a souhaité s’exprimer en interview, mais tous ont confirmé que la police se sent mal à l’aise.

    Le personnel rechigne à faire appliquer les directives qui sont de plus en plus complexes et difficiles à faire respecter“, explique un directeur opérationnel selon la retranscription de cette réunion entre des gradés de onze zones de police de la Province de Liège.

    Par ailleurs, un commissaire en chef confie aux journalistes de la RTBF que la population “adhère de moins en moins aux interdictions. Un certain ras-le-bol s’installe de plus en plus.”

    Cela rejoint le contenu de la retranscription de cette réunion entre des gradés de onze zones de police de la Province de Liège.

    “Nous pensons que la population, littéralement à bout, “n’attend qu’un incident” pour se regrouper en foyer de révolte.”

    Telle petite zone de police “ne pourrait pas résister à un mouvement social de masse.

    Tel responsable policier remarque une “distance de plus en plus importante avec le politique“.

     

    Source : medias-presse.info

     

  • Belgique : des élèves mineures étaient contraintes de se prostituer par deux Tchétchènes à peine majeurs: «Leurs yeux étaient bandés pendant l’acte»

    Publié par Guy Jovelin le 16 février 2021

    Les termes manquent pour qualifier le dossier abordé ce mercredi par le tribunal correctionnel d’Arlon. Deux Tchétchènes arlonais sont poursuivis pour avoir monté un réseau de prostitution impliquant des étudiantes mineures d’une école bien connue du chef-lieu.

    Il y a de ces dossiers judiciaires qui vous retournent les tripes. Les faits abordés sont tellement abjects et horribles qu’on peine à croire qu’ils ont eu lieu dans notre province. Et pourtant, c’est bel et bien une affaire de prostitution de jeunes mineures dont il est question.

    Le dossier concerne plusieurs étudiantes, mineures au moment des faits, scolarisées dans un établissement bien connu du chef-lieu. Ces dernières ont été forcées, pendant de très longs mois, à se prostituer pour le compte de deux jeunes Tchétchènes arlonais à peine majeurs.

    ►Le calvaire enduré par ces jeunes filles fait froid dans le dos  : « Les yeux de ma cliente étaient bandés pendant l’acte ».

    ►Les conséquences de cette situation ont été désastreuses pour une jeune fille, qui a tenté de mettre fin à ses jours.

    Sudinfo.be via fdesouche

  • Belgique : 28 perquisitions dans une enquête pour financement du terrorisme par le milieu associatif.. qui œuvrait sous le couvert de collectes de fonds à des fins caritatives en Afrique

    Publié par Guy Jovelin le 10 février 2021

    La police a mené, le 3 février dernier, 28 perquisitions en Flandre occidentale, dans le cadre d’une enquête du parquet fédéral concernant le financement d’organisations terroristes. Une personne a été placée sous mandat d’arrêt, a indiqué le parquet fédéral mercredi.

    «L’enquête a révélé qu’un certain nombre de personnes sont en contact avec plusieurs organisations internationales terroristes. Sous le couvert de collectes de fonds à des fins caritatives, comme l’achat de puits dans les pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, elles collectent de l’argent et en transfèrent une partie à différentes organisations terroristes telles que l’État IslamiqueAl Qaïda, Boko Haram, Al Shabaab, etc.», a expliqué le parquet fédéral.

    «En outre, la plupart des personnes visées par l’enquête semblent également être des partisans de l’organisation terroriste Émirat du Caucase. Cette organisation lutte pour la création d’un émirat islamique en Tchétchénie, au Daghestan et en Ingouchie entre autres. De nombreux pays enquêtent sur ces pratiques, notamment la France, la Suède, les États-Unis, la Russie, la Norvège et la Belgique», a encore indiqué le parquet.

    Sudinfo.be via fdesouche