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Lors d’une réunion internationale à Berlin sur la situation en Ukraine, Emmanuel Macron s’est laissé emporter par son ego en passant en revue les troupes.
Vendredi 15 mars, au lendemain d’une interview donnée sur la guerre en Ukraine, notre cher président Emmanuel Macron, toujours prêt à enfiler son costume de chef de guerre, s’est rendu à Berlin pour une réunion avec le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre polonais Donald Tusk. L’objectif ? Afficher leur « unité » sur l’aide à l’Ukraine !
Mais que serait une rencontre internationale sans une petite touche d’humour involontaire de la part de notre président ? Alors qu’il passait en revue les troupes, le menton levé, le torse bombé et bras tendus le long du corps, Macron a une fois de plus laissé son ego prendre le dessus.
Marchant d’un pas décidé, notre vaillant chef d’État a continué sa route, visiblement plus intéressé par son propre reflet dans les vitrines que par ses homologues. Le Premier ministre polonais Donald Tusk, toujours prêt à rendre service, a gentiment tapoté le dos de l’homme d’État français distrait pour le ramener sur Terre. Les maladresses de Macron se succèdent : De Catherine Ringer à la revue des troupes à Berlin, nous avons un président en fin de course qui s’emmêle les pinceaux.
Cette scène, bien que cocasse, illustre une fois de plus la tendance de Macron à vouloir en faire trop, allant jusqu’à se ridiculiser. En attendant, nous ne pouvons que savourer ces moments de légèreté qui viennent égayer le paysage politique international.
Les choses ne fonctionnent pas entre Berlin et Paris, déplore David Mac Allister,un influent eurodéputé allemand.
C'est bien pire que cela : nos ennemis allemands mènent une guerre énergétique à la France. Et une "guerre tous azimuts", tout court : l'Allemagne - qui s'est transformée en 51ème État des États désunis d'Amérique - veut couler EDF, commande des F35 plutôt que des Rafale, lance un projet concurrent du MGCS, choisit SpaceX au détriment d'Ariane et via l'Inde achète du pétrole russe !
Et Macron fait semblant de ne rien voir, parcequ'il rêve de devenir "Président de l'Europe", le pauvre !
Six personnes ont été grièvement blessées, dont trois grièvement. Selon les informations de BILD, parmi les victimes se trouve une femme enceinte avec une hanche cassée.
Selon la police, il s’agit d’un Arménien allemand de 29 ans vivant à Berlin. On ne sait toujours pas si l’homme a agi intentionnellement – ou s’il s’agit d’un grave accident. Il est actuellement interrogé.Selon les informations de BILD, l’Arménien allemand est connu de la police.
Le conducteur
10h26, mercredi matin, près de la Breitscheidplatz à Berlin : une Renault Clio argentée braque à 150 km/h sur le trottoir, puis fonce sur un groupe de personnes – parmi lesquelles des élèves. Une enseignante meurt.
Six personnes sont gravement blessées, trois grièvement. On ne sait pas encore combien de personnes sont légèrement blessées.
Selon la police, l’homme est un Germano-arménien de 29 ans vivant à Berlin. On ne sait pas encore si l’homme a agi intentionnellement ou s’il s’agit d’un grave accident.
Le conducteur s’est d’abord enfui, mais des passants l’ont retenu et l’ont remis à la police.
Le conducteur de la Renault Clio argentée a été arrêté. Il s’est d’abord enfui, des passants l’ont retenu et l’ont remis à la police.
Lors de l’incident mortel à Berlin, le conducteur a roulé près de 200 mètres plus loin après la première collision avec des personnes. Cet itinéraire est situé entre les coins de Kurfürstendamm, Rankestraße et Tauentzienstraße, où la voiture a foncé sur un groupe de personnes et s’est ensuite arrêtée dans la vitrine d’une succursale de la chaîne de parfumerie Douglas.
Les détails du conducteur présumé n’ont pas nommé le porte-parole de la police au départ. Il sera interrogé et il sera examiné s’il s’agit d’un acte délibéré ou d’un accident de la circulation, ou si une urgence médicale est également possible.
Un homme au volant d’une Renault Clio a foncé sur des passants ce mercredi matin vers 10h15 à Berlin (Allemagne). Il y a de nombreuses victimes qui ont été prises en charge par les secours selon les médias allemands. Un premier bilan fait état d’au moins un mort et huit blessés.
Le chauffeur a été interpellé et un périmètre de sécurité a été mis en place. Pour l’heure, on ne sait pas s’il s’agit d’un acte volontaire ou d’un accident. Les faits se sont déroulés à proximité de la Breitscheidplatz, une grande place publique, et de l’église du Souvenir.
Une voiture a foncé dans la foule sur la Breitscheidplatz à Berlin-Charlottenburg. C’est ce qu’a confirmé la police à BILD.
Une personne a perdu la vie, plusieurs autres ont été blessées. Selon les pompiers, il s’agit de huit blessés.
Le conducteur de la petite voiture Renault a été arrêté. Plusieurs officiers de police lourdement armés se trouvent sur les lieux, les pompiers sont sur place avec 60 forces d’intervention.
Selon les premières informations de la police, l’incident se serait produit mercredi matin près de l’église du Souvenir et du Ku’damm : sur la Breitscheidplatz – l’endroit où, en décembre 2016, l’auteur de l’attentat Anis Amri avait foncé sur le marché de Noël de Berlin avec un camion détourné.
Allemagne – Le harcèlement pour des raisons religieuses fait partie du quotidien de nombreuses écoles de Berlin-Neukölln. Des élèves et des enseignants musulmans libéraux sont mis sous pression pour se conformer aux règles islamistes.
Les conflits concernant les tenues religieuses, l’exclusion des activités scolaires et “l’humiliation systématique et prolongée fondée sur des questions religieuses” font partie du quotidien de nombreuses écoles du quartier de Neukölln à Berlin. C’est ce que révèle une enquête qualitative menée par l’Association pour la démocratie et la diversité dans les écoles et l’enseignement professionnel dans dix écoles de l’arrondissement.
(…) Les premiers résultats ont été présentés lundi. Selon l’inventaire, les écoles étudiées sont situées dans des “zones de recrutement de plus en plus ségréguées socialement”, où plus de 90 % des enfants sont issus de familles musulmanes dont la langue d’origine n’est pas l’allemand. Dans bon nombre de ces écoles, il existe une “culture quotidienne qui met en danger la démocratie et restreint la liberté”, déclare Michael Hammerbacher, responsable du projet.
Les élèves issus de familles musulmanes, en particulier, subissent une forte pression pour s’adapter, par exemple en termes de comportement pendant le mois de jeûne du Ramadan, de relations avec les minorités religieuses ou de port du foulard. “Il ne suffit pas que les élèves se prononcent en privé en faveur d’une interprétation plus stricte de l’islam. De plus en plus, de telles opinions dominent, avec des exigences de plus en plus claires que ces règles soient également respectées par les autres”, indique l’inventaire. “Cela s’applique alors également au personnel éducatif.”
Par exemple, le directeur d’une école a signalé que les enseignants et les élèves de cette école avaient été interpellés au sujet de leurs “vêtements d’été”. La direction d’une autre école a déclaré qu’un élève avait dit à un membre du personnel d’origine arabe qu’il ne l’écoutait pas parce qu’elle était une “très mauvaise musulmane” en raison de son absence de foulard. Le père du garçon, qui a été convoqué, avait encouragé son fils dans ce comportement.
(…) M. Hammerbacher indique qu’il a ressenti un “climat de peur” lors des entretiens pour parler ouvertement de la situation problématique. Les écoles interrogées restent donc anonymes.
(…) “Pendant le Ramadan, nous avons eu des élèves dans les toilettes qui ont veillé à ce que leurs camarades ne boivent pas pendant la pause”, raconte Kötterheinrich-Wedekind. Les jeunes élèves ont également été informés par leurs parents qu’ils devaient respecter les heures de prière et, si nécessaire, prier dans les toilettes si les installations leur étaient refusées. (…)
Dans la série « pauvres Afghans » venus en Europe.
« Des scènes terribles se sont déroulées samedi après-midi dans un espace vert du quartier de Wilmersdorf. Un homme (29 ans) a grièvement blessé une femme (58 ans). Un homme de 66 ans qui s’est précipité à son secours a également été grièvement blessé. L’attaque a-t-il un motif islamiste ?
Selon la police dimanche, l’Afghan de 29 ans s’est approché de la jardinière de 58 ans, parce que cela le dérangeait que la femme travaille.
Puis l’homme a soudainement sorti un couteau et l’a poignardée ! La femme a été grièvement blessée de plusieurs coups de couteau dans le cou.
Un homme de 66 ans qui s’est précipité pour aider a également été attaqué par le migrant et a été grièvement blessé par des coups de couteau dans le cou. Les deux victimes ont été transportées à l’hôpital où elles ont été immédiatement opérées.
Selon la police, une maladie mentale de l’assaillant, qui vit en Allemagne depuis 2016, pourrait avoir joué un rôle dans le crime. Il a été arrêté sur les lieux.
Les enquêtes sur le contexte du crime sont en cours. Un motif islamiste est également à l’étude. »
L’occasion de rappeler ce qui s’est passé il y a 2 ans, le 31 août 2019, à Villeurbanne : Timothy Bonnet, 19 ans, était tué par Sultan Marmed Niazi, demandeur d’asile Afghan de 33 ans.