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cinéma - Page 2

  • Au Québec, on peut retourner au cinéma mais pas à la Messe

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2021

    par   6 mars 2021

    Les autorités du Québec pourraient-elles expliquer pourquoi, sous prétexte de la situation sanitaire, elles permettent aux cinémas d’accueillir jusqu’à 250 personnes mais ne permettent pas aux églises d’accueillir plus de 10 personnes pendant un office religieux ?

    Même le cardinal Gérald Lacroix, archevêque de Québec, pourtant très soumis aux directives sanitaires, a publié un communiqué sur le site Web de l’archidiocèse dans lequel il dit que les croyants «ne peuvent pas comprendre pourquoi l’accès à leurs lieux de culte reste limité à 10 personnes dans la zone rouge alors que les cinémas peuvent accueillir jusqu’à 250 personnes.”

    Dans son communiqué empreint de langue de bois, le cardinal, poussé dans le dos par les fidèles catholiques, finit par qualifier les actuelles mesures de « déraisonnables et injustes » et cite l’exemple de familles en deuil qui ne peuvent «accompagner un être cher à l’église et lui offrir des obsèques chrétiennes alors que, parfois dans le même quartier, il est possible d’en rassembler 250 dans un cinéma».

    Le premier ministre François Legault avait annoncé le 16 février que les cinémas, les piscines intérieures et les gymnases intérieurs rouvriraient le 26 février dans toute la province, y compris ceux situés dans les zones qui sont toujours dans la zone de verrouillage stricte «rouge».

    Mais les lieux de culte ne peuvent accueillir que 10 personnes pour les différentes célébrations et 25 personnes pour les funérailles.

    Le cardinal Lacroix a écrit que les catholiques «ne peuvent pas garder le silence sur les décisions prises par les autorités, qui nous laissent une impression de discrimination contre les communautés religieuses». Il a invité les catholiques à contacter leurs députés pour exprimer leur «point de vue».

    De son côté, l’archevêque de Montréal Christian Lépine a écrit un communiqué publié sur le site web du diocèse dans lequel on peut notamment lire :

    «Si les magasins et les centres commerciaux sont ouverts au public conformément aux mesures appropriées, il n’y a aucune raison pour que les lieux de culte ne fonctionnent pas dans les mêmes conditions»

    Des propos qui restent bien timorés au regard de la situation.

     

    Source : medias-presse.info

  • Cinéma – Exit l’écossais James Bond : l’agent 007 devient une femme noire

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2020

    L’opération de déracinement des peuples blancs s’accélère. Et le cinéma, la télévision et le théâtre sont là pour y participer. On apprend ainsi que James Bond, le personnage d’agent secret écossais créé par Ian Fleming, va subir une transformation radicale dans la prochaine adaptation cinématographique. L’agent 007 sera incarné par l’actrice noire Lashana Lynch.

    Et toujours pas d’actrice blanche pour jouer Malcolm X ?

     

    Source : medias-presse.info

  • Féminisme et cinéma

    Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2019

     le 

    Féminisme et cinéma

    De Pierre Mylestin :

    Le progressisme a ce je ne sais quoi de fondamentalement surréaliste. En son sein se gave le féminisme, le terme de sein ici usité est évidemment dénué de toute transgression subodorant un sexisme machiste immanent à l’homme blanc catho de moins de 50 ans qui écrit ces quelques lignes. Le féminisme, premier des transhumanismes qui mène de front depuis Mai 68 le combat pour la justice sociale intégrale, comprenez l’émasculation définitive d’un patriarcat fantasmé reprenant certaines des caractéristiques sus-mentionnées. Outre-Atlantique, et bientôt chez nous, les Social Justice Warriors, SJW pour les intimes, groupuscule idéologique né du ventre fécond dudit progressisme, biberonné dans les campus universitaires ricains, prend actuellement d’assaut les studios de Hollywood.

    Jusque-là le cinéma a connu deux révolutions majeures. La première, le passage du noir et blanc à la couleur. La seconde, plutôt tendance antiraciste, avec le passage de la couleur au noir tout court. Deux progrès ne venant jamais seuls, une troisième révolution se confirme; à la saga du métissage obligé sur grands, petits et très petits écrans, se greffe actuellement la révolution LGBT, celle-ci de couleur arc-en-ciel.

    Cette dernière se traduit par la production à coups de billets verts de reprises cinématographiques de films d’action et de super-héros masculins à la sauce «osez le clitoris» où le mâle est remplacé par la femelle à l’émancipation conscientisante. Une liste de plus en plus étoffée de franchises cinématographiques qui jouent ostensiblement la carte du «Get Woke». Get Woke, en dialecte progressiste, la prise de conscience de certaines injustices que l’homme blanc tente d’imposer par le biais du patriarcat: le conservatisme, le sexisme, le racisme, le genre, la xéno-trans-homo-climato-Greta-etc-phobie ou toute autre injustice sociale consubstantielle à ce patriarcat honni.

    L’oligarchie LGBTphile monopolise donc l’agenda idéologique sociétal par le biais de la propagande. Tous les formats médiatiques sont atteints, en ce y compris les jeux vidéo, les bandes dessinées et évidemment les plate-formes de streaming grassement subsidiées par vos abonnements, et notamment Disney qui pousse l’endoctrinement en diffusant un avertissement en préambule de ses films «culturellement datés» et Netflix qui dépeint le Christ en homosexuel et la Vierge Marie en femme de petite vertu. La liste est longue, de Charlie’s Angels, Ocean’s 8, au dernier Terminator et les derniers opuscules de la saga Star Wars; on parle d’une Zorro femme et d’une reprise de Fight Club en décolleté plongeant et hauts talons.

    En 2018 Disney a subi une perte combinée de près de 480 millions de dollars. Sauf quelques rares exceptions, la majorité de ces navets qui ont été produits après l’affaire Weinstein dégoulinent de moraline à la sauce metoo, sont gratinés de diversité et marinés au gauchisme. Get Woke, Go Broke; Conscientisez-vous, faites faillite. En sus d’être trop caricaturales pour être crédibles, ces histoires fondées sur base d’une croisade sociétale sont d’avance vouées à l’échec, car l’appréciation d’une œuvre par un public blasé d’autant de morale cathodique se réfère plus à la symbolique que l’oeuvre véhicule, à l’inconscient que celle-ci séduit qu’aux admonestations récurrentes de la part de la caste artistique et intellectuelle consanguine. Même au bon vieux temps de la propagande marxiste-léniniste, les écrivains communistes des années 50 ont assimilé qu’ils devaient intégrer leur message sous forme subliminale plutôt que fondement ostentatoire de l’histoire. L’agent Ripley dans Alien, Mary Poppins ou même Maria dans la Mélodie du bonheur étaient bien plus crédibles, voire «sexy» que toutes ces rombières féministes qui prônent un communautarisme non binaire et obsédées par la toxicité dite intrinsèque du mâle blanc. Jeanne la pucelle est remplacée par Angelina lesbienne et polyamoureuse; autre époque, autres modèles.

    Cette velléité de marginaliser les hommes par les féministes aveuglées par leur haine du mâle blanc catholique se traduit heureusement par une contre réaction y compris de femmes qui refusent de voir leurs «hommes» et leurs fils traités avec un mépris aussi évident, car la promotion irrationnelle d’une idéologie sociétale se heurte toujours au prosélytisme du réel. Ce réel tragique, sans fard ni maquillage où les héros morts au combat ont rarement respecté la parité de genre.

    Pierre Mylestin

     

    Source : lesalonbeige

  • Cinéma : le prochain 007 sera incarné par une femme

    Publié par Guy Jovelin le 14 juillet 2019

    Par  le 14/07/2019

    Les fans de James Bond désirant que 007 soit noir ou une femme vont apprécier le double cadeau avec l’espion du cinéma sur le point d’être joué par une femme noire, selon un article du Mail on Sunday.

    L’actrice britannique Lashana Lynch, 31 ans, apparaîtra pour la première fois comme la nouvelle 007 dans ce qui est décrit comme un moment « je lâche mon pop-corn » dans le 25ème film de la franchise qui est actuellement en tournage, selon le Mail on Sunday.

    Mais il ne s’agit pas d’un complet renouveau – elle ne fait que prendre le numéro d’agent secret de James Bond après qu’il ait pris sa retraite du MI6, affirme l’article.

    Bond lui-même sera toujours joué par Daniel Craig – et restera fidèle à ses anciennes caractéristiques de macho, a déclaré une source au journal britannique.

    « Bond, bien sûr, est sexuellement attiré par la nouvelle 007 et tente ses tours de séduction habituels, mais il est déconcerté quand ils ne fonctionnent pas sur une jeune femme noire brillante, qui se contente de lever les yeux au ciel et n’a absolument aucune envie de sauter dans son lit », a déclaré une source dans le Mail.
    […]

    Metro via fdesouche