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féminisme

  • Féminisme. Selon que vous serez d’ici ou d’ailleurs, les jugements féministes vous rendront noirs ou blancs

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2022

    Selon que vous serez d’ici ou d’ailleurs, les jugements féministes vous rendront noirs ou blancs
     
    On sait depuis fort longtemps que les féministes ont l’indignation sélective, restant obstinément silencieuses dès lors que le tourmenteur n’est pas d’ici, plus encore s’il est musulman. On le voit ces jours-ci avec ces hurleuses qui se coupent une mèche de cheveux pour protester contre le voile en Iran tout en le soutenant ici.
     
    Leur silence vaut donc naturellement pour le cas qui est actuellement soumis au Tribunal régional Jura bernois-Seeland à Moutier. On y juge un citoyen serbe de la minorité albanaise et ses quatre fils. La Tribune nous apprend que « le ministère public leur reproche des délits très graves : traite d’êtres humains, contrainte, lésions corporelles, mariage forcé, séquestration, viol, actes sexuels avec des enfants. Le père doit en outre répondre de fraude à l’aide sociale par métier et d’infraction à la loi sur les étrangers. » Le patriarche avait en effet fait venir quatre jeunes femmes en leur promettant une vie meilleure mais hélas, ce qu’elles ont découvert en Suisse figure sur l’acte d’accusation.
     
    On imagine volontiers le calvaire que les victimes ont dû subir durant toutes ces années, endurant les sévices que ces crapules leur ont infligés. Et on espère que le triste quintette sera durablement détenu avant d’être expulsé de Suisse pour une très longue période. Notre pays n’a nul besoin de ce genre de parasites qui émargent aux services sociaux tout en adoptant un comportement d’un autre âge.
     
    Mais on attend en vain les cris indignés des dames en violet toujours promptes à fustiger le mâle blanc, chrétien, hétérosexuel et, horreur suprême, omnivore. Les prévenus ne répondent pas en totalité aux critères susceptibles de déchainer la colère de nos brailleuses, aucune protestation, aucune compassion donc pour les victimes dont le seul tort fut d’avoir des enrichisseurs culturels pour tortionnaires.
     
    Yvan Perrin, 07.11.2022
    Ancien Conseiller national
     
  • LFI et le féminisme

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2022

    Adrien Quatennens, député LFI, vit, paraît-il, un divorce difficile et, dans ce contexte, a reconnu avoir giflé violemment sa femme.

    La chose est évidemment navrante à bien des points de vue, mais elle est surtout politiquement très significative – et la vie privée de M. Quatennens ne me regardant pas, j’en resterai à cet aspect politique.

    La première chose qui frappe l’observateur, c’est que l’extrême gauche est décidément familière de ce genre de problèmes, du harcèlement sexuel chez les Verts à la violence conjugale chez LFI.

    Cela peut s’interpréter d’au moins deux manières. Soit les meneurs d’extrême gauche, cohérents avec leurs principes, mènent une vie personnelle débridée : ces harcèlements et ces violences seraient alors une conséquence logique de cette morale, disons relâchée.

    Cette hypothèse est loin d’être absurde. On constate d’ailleurs le même genre de « problèmes » dans le monde de la pornographie qui a, lui aussi, une relation assez problématique avec la morale traditionnelle.

    L’autre interprétation est que les partis étant des paniers de crabes, et l’extrême gauche se gargarisant de son féminisme, l’une des solutions les plus simples pour faire tomber son « camarade » est de porter ce genre d’accusations.

    Les deux interprétations ne sont d’ailleurs pas incompatibles.

    On a entendu assez rapidement l’inénarrable Sandrine Rousseau exiger d’Adrien Quatennens, qui a démissionné du poste de coordinateur pour LFI, de « se mettre en retrait de toute parole publique » (oh, ce savoureux jargon !).

    Mais ce qui m’intrigue surtout, sur le plan politique, c’est la logique qui prévaut actuellement à l’extrême gauche.

    Si je comprends bien, LFI, comme le reste de la Nupes, est à la fois un parangon de féminisme (LFI comprend même une commission chargée de lutter contre les « violences sexistes et sexuelles » et chacun sait qu’une commission est, en politique, un gage d’action efficace !) et soutien actif de l’islamisme.

    Mais j’avoue que je ne vois pas bien comment rendre ces deux axes compatibles.

    Oh, certes, j’ai lu, comme tout le monde, les apologies du voile comme signe de l’émancipation des femmes – sans être tout à fait convaincu, je dois le confesser !

    Mais je serais curieux que l’on m’explique comment on peut sanctionner M. Quatennens pour sa gifle et considérer que les délicates paroles du Coran sur la façon de « corriger » sa femme sont le signe du « vivre-enensemble » dans la « diversité ».

    Le salafisme avenir du féminisme, ça, c’est un bon slogan !

     

     

  • LES DÉLIRES DU FÉMINISME

    Publié par Guy Jovelin le 03 février 2020

    POSTÉ LE JANVIER 28, 2020, 10:21

    Dans un récent article traitant du «viol sans contact», Gabrielle Cluzel se demandait si «on devenait dingue ou cinglé»? En effet, certaines féministes dénoncent le viol par le regard que subiraient certaines femmes.

    D’abord le mot viol est largement détourné de son sens réel et puis on aimerait compter ces pseudo-victimes.

    Les féministes desservent trop souvent la cause qu’elles prétendent défendre. D’ailleurs, Eurolibertés présentait, il y a peu, l’intervention magistrale de «l’anti-Schiapa hollandaise», Eva Vlaardingenbroeck, qui, lors du congrès du parti FVP, «pulvérisait le féminisme en 5 minutes».

    Mais, au fait, de quoi s’agit-il?

    Les regards insistants de certains hommes constitueraient des agressions (des viols) envers les femmes. Pour que ces dames se sentent agressées, il faut déjà qu’elles-mêmes regardent leurs présumés agresseurs, qui pourraient leur rétorquer que soutenir leurs propres regards constitue un défi. Qui est l’agresseur, surtout pour ces parangons de l’égalité? C’est la lancinante question de la poule et de l’œuf.

    Non sans un certain bon sens, Brigitte Bardot déclarait: «Un homme qui a plusieurs maîtresses est un grand séducteur, mais une femme qui a plusieurs amants est une p …»

    Juste retour des choses dans un monde sans doute trop entaché de machisme.

    Mais, aujourd’hui, certaines de ces dames ne se regardent-elles pas un peu trop elles-mêmes? Les femmes aiment plaire et sont naturellement coquettes. On ne saurait les en blâmer. Non seulement il n’y a pas de mal à regarder la beauté, mais il n’y a aucune raison de s’en priver. Et, comme rétorquait ce mari repris par son épouse alors qu’il regardait avec peut-être trop d’insistance les beautés qui défilaient: «Ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on ne peut pas regarder le menu!»

    Nous, la gent masculine, acceptons donc volontiers la beauté en général, et celle des femmes en particulier.

    Mais, dans la vie, tout est question de mesure, d’équilibre et de nuances.

    Certaines femmes sont-elles donc conscientes que les hommes sont en situation d’agressions sexuelles visuelles permanentes du fait de leurs tenues ou comportements?

    On pourrait établir (si ce n’est déjà fait), une échelle, non pas de Richter, mais de Sade, pour évaluer la sensibilité de la libido des hommes.

    Celle-ci couvrirait un spectre avec à une extrémité les obsédés sexuels inguérissables genre Dutroux, et, à l’autre, ces héros de l’abstinence que sont tous ces religieux qui font vœu de chasteté, avec une mention spéciale pour les époux qui pratiquent la chasteté dans le mariage, car cela existe.

    Le curseur de cet appareil imaginaire pourrait être déplacé selon la «sensibilité» de chacun.

    Il n’est pas nécessaire d’être détenteur d’une maîtrise de psychologie pour comprendre que certains hommes s’enflamment plus facilement lorsqu’ils sont face à une «allumeuse».

    Oui, Mesdames peu frileuses, vous pouvez agresser ceux qui ont une grande sensibilité concupiscible! Et, quand on connaît la propension de notre société à exacerber une sexualité débridée (d’ailleurs, Madame Schiapa, si chatouilleuse sur le comportement des hommes, aurait dû réfléchir avant d’écrire des choses que la morale réprouve), vous contribuez largement, sans peut-être en être conscientes, à cette agressivité envers les hommes.
    Au début du siècle dernier, un franc-maçon, dont le nom ne mérite pas d’être cité, avait déclaré que, pour abattre l’Église catholique, il suffisait de «déshabiller la femme». Nous y sommes ! Au moins le but était clairement affiché.

    Mais la tenue ne consiste pas que dans la longueur de la jupe, et la mode est au pantalon. Certaines femmes portent des pantalons les moulant jusqu’à mettre en saillie la moindre fossette de leur séant. D’aucunes n’y trouvent d’ailleurs pas forcément avantage. Mais les goûts ne se discutent pas. Ici encore, les hommes sont soumis à une agression visuelle.

    Malheureusement, avec un tel regard sur la société, dans laquelle la galanterie devient un vestige d’une autre époque, on ne peut guère aider à l’harmonie des relations entre les deux sexes.

    Alors, que les femmes qui craindraient certains regards masculins les évitent tout simplement, le mépris constituant un des pires traitements qui puisse être infligé à quelqu’un. Et ainsi justice sera rendue et chacun retrouvera ses esprits!

     

    Source : les4verites

  • Féminisme et cinéma

    Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2019

     le 

    Féminisme et cinéma

    De Pierre Mylestin :

    Le progressisme a ce je ne sais quoi de fondamentalement surréaliste. En son sein se gave le féminisme, le terme de sein ici usité est évidemment dénué de toute transgression subodorant un sexisme machiste immanent à l’homme blanc catho de moins de 50 ans qui écrit ces quelques lignes. Le féminisme, premier des transhumanismes qui mène de front depuis Mai 68 le combat pour la justice sociale intégrale, comprenez l’émasculation définitive d’un patriarcat fantasmé reprenant certaines des caractéristiques sus-mentionnées. Outre-Atlantique, et bientôt chez nous, les Social Justice Warriors, SJW pour les intimes, groupuscule idéologique né du ventre fécond dudit progressisme, biberonné dans les campus universitaires ricains, prend actuellement d’assaut les studios de Hollywood.

    Jusque-là le cinéma a connu deux révolutions majeures. La première, le passage du noir et blanc à la couleur. La seconde, plutôt tendance antiraciste, avec le passage de la couleur au noir tout court. Deux progrès ne venant jamais seuls, une troisième révolution se confirme; à la saga du métissage obligé sur grands, petits et très petits écrans, se greffe actuellement la révolution LGBT, celle-ci de couleur arc-en-ciel.

    Cette dernière se traduit par la production à coups de billets verts de reprises cinématographiques de films d’action et de super-héros masculins à la sauce «osez le clitoris» où le mâle est remplacé par la femelle à l’émancipation conscientisante. Une liste de plus en plus étoffée de franchises cinématographiques qui jouent ostensiblement la carte du «Get Woke». Get Woke, en dialecte progressiste, la prise de conscience de certaines injustices que l’homme blanc tente d’imposer par le biais du patriarcat: le conservatisme, le sexisme, le racisme, le genre, la xéno-trans-homo-climato-Greta-etc-phobie ou toute autre injustice sociale consubstantielle à ce patriarcat honni.

    L’oligarchie LGBTphile monopolise donc l’agenda idéologique sociétal par le biais de la propagande. Tous les formats médiatiques sont atteints, en ce y compris les jeux vidéo, les bandes dessinées et évidemment les plate-formes de streaming grassement subsidiées par vos abonnements, et notamment Disney qui pousse l’endoctrinement en diffusant un avertissement en préambule de ses films «culturellement datés» et Netflix qui dépeint le Christ en homosexuel et la Vierge Marie en femme de petite vertu. La liste est longue, de Charlie’s Angels, Ocean’s 8, au dernier Terminator et les derniers opuscules de la saga Star Wars; on parle d’une Zorro femme et d’une reprise de Fight Club en décolleté plongeant et hauts talons.

    En 2018 Disney a subi une perte combinée de près de 480 millions de dollars. Sauf quelques rares exceptions, la majorité de ces navets qui ont été produits après l’affaire Weinstein dégoulinent de moraline à la sauce metoo, sont gratinés de diversité et marinés au gauchisme. Get Woke, Go Broke; Conscientisez-vous, faites faillite. En sus d’être trop caricaturales pour être crédibles, ces histoires fondées sur base d’une croisade sociétale sont d’avance vouées à l’échec, car l’appréciation d’une œuvre par un public blasé d’autant de morale cathodique se réfère plus à la symbolique que l’oeuvre véhicule, à l’inconscient que celle-ci séduit qu’aux admonestations récurrentes de la part de la caste artistique et intellectuelle consanguine. Même au bon vieux temps de la propagande marxiste-léniniste, les écrivains communistes des années 50 ont assimilé qu’ils devaient intégrer leur message sous forme subliminale plutôt que fondement ostentatoire de l’histoire. L’agent Ripley dans Alien, Mary Poppins ou même Maria dans la Mélodie du bonheur étaient bien plus crédibles, voire «sexy» que toutes ces rombières féministes qui prônent un communautarisme non binaire et obsédées par la toxicité dite intrinsèque du mâle blanc. Jeanne la pucelle est remplacée par Angelina lesbienne et polyamoureuse; autre époque, autres modèles.

    Cette velléité de marginaliser les hommes par les féministes aveuglées par leur haine du mâle blanc catholique se traduit heureusement par une contre réaction y compris de femmes qui refusent de voir leurs «hommes» et leurs fils traités avec un mépris aussi évident, car la promotion irrationnelle d’une idéologie sociétale se heurte toujours au prosélytisme du réel. Ce réel tragique, sans fard ni maquillage où les héros morts au combat ont rarement respecté la parité de genre.

    Pierre Mylestin

     

    Source : lesalonbeige

  • Arabie Saoudite : le féminisme désormais sanctionné de peines de prison et de coups de fouet

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2019

    Le féminisme, un “extrémisme” puni comme les autres