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délires

  • Les délires de l’afrocentrisme

    Publié par Guy de Laferrière le 18 juillet 2023

    synthesenationale

    Black Athena ?

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    Bernard Lugan

    Les délires de l’afrocentrisme

    Quand de la « blonde Athéna aux yeux bleu clair », les afrocentristes prétendent faire une « négresse », le moins averti s’aperçoit qu’on se paie sa tête. Et pourtant, c’est ce que soutient dans son livre Black Athena, l’Américain Martin Bernal, le pendant blanc de l’afrocentriste Cheick Anta Diop dont nous avons analysé les écrits dans un précédent numéro de l’Afrique Réelle.

    Il est affligeant de devoir réfuter de telles stupidités, mais, la marche pour le moment inexorable de l’afrocentrisme, du décolonialisme et du wokisme, oblige à le faire afin de ne pas laisser le terrain à ceux dont le but est la déconstruction systématique de notre civilisation. Afin de mieux nous asservir.

    Nous savons pourtant fort bien à quoi ressemblaient les anciens Grecs. Nous le savons par la statuaire, par une foule de documents figurés, de témoignages littéraires, et notamment les traités de physiognomonie. A supposer que les Proto-grecs du IIe millénaire aient été colonisés par des Egyptiens postulés être des « Nègres », il n’en est donc rien résulté du point de vue physique… Qu’ils aient le fin visage de Platon ou celui, plus grossier, de Socrate, les Grecs ne ressemblaient pas plus à des Egyptiens que leurs temples à des pyramides, ou leurs cités à leur monarchie théocratique.

    Acculés devant le vide de son néant historique par les spécialistes de toutes les disciplines concernées, Bernal a eu recours à un procédé bien peu scientifique mais constamment utilisé par les afrocentristes : il a accusé de racisme les spécialistes de la Grèce classique lesquels auraient écarté toutes les preuves africaines qui, lors de leurs découvertes seraient venues en contradiction du schéma des origines indo-européennes de la Grèce.

    Un Nigéria en décomposition

    En dépit de ses immenses richesses en hydrocarbures, le Nigeria, quadrilatère artificiellement découpé par la colonisation britannique, n’en finit pas de mourir. 

    En plus du nord-est du pays où sévissent Boko Haram et l’Etat islamique (EIAO), une autre guerre sanglante se déroule au Nigeria, dans la région du Middle-Belt, avec pour épicentre la ville de Jos.

    Historiquement, la région constitue un front historique entre sultanats nordistes esclavagistes et populations sédentaires qui, aux XVIIIe et XIXe siècles, subirent les raids des premiers. Et qui voient dans les actuelles migrations des Peul-Fulani un retour aux temps anciens, d’avant la colonisation libératrice. La région forme également une ligne de faille religieuse entre un islam septentrional en pleine expansion et des christianismes sur la défensive.

    Les affrontements sanglants qui s’y déroulent sont clairement le prolongement de ceux de l’époque précoloniale. Ils sont inscrits dans la longue durée ethnique régionale. 

    En réalité, ici comme partout ailleurs au Sahel, nous assistons à la reprise d’un mouvement historique en direction du monde soudanien, mouvement qui fut provisoirement bloqué par la colonisation.

    L'Afrique réelle cliquez ici

  • LES DÉLIRES DU FÉMINISME

    Publié par Guy Jovelin le 03 février 2020

    POSTÉ LE JANVIER 28, 2020, 10:21

    Dans un récent article traitant du «viol sans contact», Gabrielle Cluzel se demandait si «on devenait dingue ou cinglé»? En effet, certaines féministes dénoncent le viol par le regard que subiraient certaines femmes.

    D’abord le mot viol est largement détourné de son sens réel et puis on aimerait compter ces pseudo-victimes.

    Les féministes desservent trop souvent la cause qu’elles prétendent défendre. D’ailleurs, Eurolibertés présentait, il y a peu, l’intervention magistrale de «l’anti-Schiapa hollandaise», Eva Vlaardingenbroeck, qui, lors du congrès du parti FVP, «pulvérisait le féminisme en 5 minutes».

    Mais, au fait, de quoi s’agit-il?

    Les regards insistants de certains hommes constitueraient des agressions (des viols) envers les femmes. Pour que ces dames se sentent agressées, il faut déjà qu’elles-mêmes regardent leurs présumés agresseurs, qui pourraient leur rétorquer que soutenir leurs propres regards constitue un défi. Qui est l’agresseur, surtout pour ces parangons de l’égalité? C’est la lancinante question de la poule et de l’œuf.

    Non sans un certain bon sens, Brigitte Bardot déclarait: «Un homme qui a plusieurs maîtresses est un grand séducteur, mais une femme qui a plusieurs amants est une p …»

    Juste retour des choses dans un monde sans doute trop entaché de machisme.

    Mais, aujourd’hui, certaines de ces dames ne se regardent-elles pas un peu trop elles-mêmes? Les femmes aiment plaire et sont naturellement coquettes. On ne saurait les en blâmer. Non seulement il n’y a pas de mal à regarder la beauté, mais il n’y a aucune raison de s’en priver. Et, comme rétorquait ce mari repris par son épouse alors qu’il regardait avec peut-être trop d’insistance les beautés qui défilaient: «Ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on ne peut pas regarder le menu!»

    Nous, la gent masculine, acceptons donc volontiers la beauté en général, et celle des femmes en particulier.

    Mais, dans la vie, tout est question de mesure, d’équilibre et de nuances.

    Certaines femmes sont-elles donc conscientes que les hommes sont en situation d’agressions sexuelles visuelles permanentes du fait de leurs tenues ou comportements?

    On pourrait établir (si ce n’est déjà fait), une échelle, non pas de Richter, mais de Sade, pour évaluer la sensibilité de la libido des hommes.

    Celle-ci couvrirait un spectre avec à une extrémité les obsédés sexuels inguérissables genre Dutroux, et, à l’autre, ces héros de l’abstinence que sont tous ces religieux qui font vœu de chasteté, avec une mention spéciale pour les époux qui pratiquent la chasteté dans le mariage, car cela existe.

    Le curseur de cet appareil imaginaire pourrait être déplacé selon la «sensibilité» de chacun.

    Il n’est pas nécessaire d’être détenteur d’une maîtrise de psychologie pour comprendre que certains hommes s’enflamment plus facilement lorsqu’ils sont face à une «allumeuse».

    Oui, Mesdames peu frileuses, vous pouvez agresser ceux qui ont une grande sensibilité concupiscible! Et, quand on connaît la propension de notre société à exacerber une sexualité débridée (d’ailleurs, Madame Schiapa, si chatouilleuse sur le comportement des hommes, aurait dû réfléchir avant d’écrire des choses que la morale réprouve), vous contribuez largement, sans peut-être en être conscientes, à cette agressivité envers les hommes.
    Au début du siècle dernier, un franc-maçon, dont le nom ne mérite pas d’être cité, avait déclaré que, pour abattre l’Église catholique, il suffisait de «déshabiller la femme». Nous y sommes ! Au moins le but était clairement affiché.

    Mais la tenue ne consiste pas que dans la longueur de la jupe, et la mode est au pantalon. Certaines femmes portent des pantalons les moulant jusqu’à mettre en saillie la moindre fossette de leur séant. D’aucunes n’y trouvent d’ailleurs pas forcément avantage. Mais les goûts ne se discutent pas. Ici encore, les hommes sont soumis à une agression visuelle.

    Malheureusement, avec un tel regard sur la société, dans laquelle la galanterie devient un vestige d’une autre époque, on ne peut guère aider à l’harmonie des relations entre les deux sexes.

    Alors, que les femmes qui craindraient certains regards masculins les évitent tout simplement, le mépris constituant un des pires traitements qui puisse être infligé à quelqu’un. Et ainsi justice sera rendue et chacun retrouvera ses esprits!

     

    Source : les4verites