Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

coronavirus - Page 2

  • Coronavirus : le professeur Toussaint nie toute deuxième vague sur le plateau de Cnews

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2020

    Invité de l’émission L’Édition du soir diffusée sur CNews le 18 août dernier, le professeur Toussaint, professeur de physiologie de l’Université Paris-Descartes, Directeur de l’IRMES, Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport à l’INSEP, ose l’inconcevable pour les pouvoirs publics et les médias du système : nier toute deuxième vague et reprise d’une épidémie de coronavirus.

    « Nous ne sommes plus du tout dans la gravité, dans l’urgence, du printemps, de celle de février, de mars et d’avril » déclare-t-il avant de continuer avec  des paroles dures envers le gouvernement et le conseil scientifique :

    « Nous sommes dans une utilisation des indicateurs, un changement, une instrumentalisation, qui fait que nous allons avoir pour les semaines à venir des changements de comportements, des orientations qui sont décidés par un conseil scientifique qui ne regarde plus la réalité du risque mais qui souhaite probablement imposer d’autres schémas de pensée. »

     

    Des mots qui laissent pantois le pauvre présentateur, ne sachant plus quoi dire ni comment riposter :

    « Là j’ai très peur, dit-il. Je suis en train de me dire, déjà un est-ce qu’on fait peur aux gens pour rien ? La deuxième chose, c’est à charge aussi pour les politiques et pour les personnes qui sont au plus haut sommet de l’état qui aujourd’hui nous disent qu’il faut porter le masque en extérieur ? En septembre le conseil scientifique dit qu’à l’automne on risque d’avoir une seconde vague ? »

    Une perche saisie par le professeur Toussaint qui n’hésite pas à condamner le comportement des scientifiques qui imposent leurs confinement, masques et autres distanciations sociales à la moitié de l’humanité :

    «  Le conseil scientifique, lorsqu’il nous annonce une énième seconde vague, un certain nombre de ses membres sont sur le site de vacances. Si je le dis, c’est qu’ils l’annoncent sur les radios ».

    Et de continuer en dénonçant ces mêmes scientifiques qui, tout en décrétant toutes ces mesures restrictives et en annonçant de terribles catastrophes sanitaires, – plus de 500000 morts pour la Grande-Bretagne ou la France- ne croient pas eux-mêmes aux recommandations qu’ils préconisent.

    Une charge puissante contre le pouvoir de ces scientifiques qui susurrent aux oreilles des gouvernements des mesures qui maintiennent la peur au sein des populations.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L'empire de la servitude sanitaire.

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2020

    Le corinavirus circule, certes.

    - Comme tous les virus il n'est pas inoffensif, mais il est peu mortel, et parmi ceux qui y succombent, beaucoup seraient morts en toute hypothèse d'autres pathologies ou de l'épuisement de leur âge; d'autres sont morts AVEC le COVID, mais pas DU COVID.

    - Aucune surmortalité n'a été enregistrée en France ces derniers mois.

    - Le nombre de personnes hospitalisées continue, jour après jour de baisser, tout comme celui des malades en réanimation.

    - La plupart des contaminés le sont aujourd'hui à cause de leur imprudence juvénile, de leurs habitudes "communautaires", de la promiscuité des "quartiers" où ils vivent ou des pays d'où ils reviennent.

    S'il y a une deuxième vague, c'est celle de l'intoxication gouvernementale diffusée par ses obligés scientifiques et relayée avec complaisance, mais aussi avec incompétence, manque total de sens critique ou du discernement, des journalistes des chaînes d'information en état de cécité absolue depuis leur formatage dans le moule des écoles dont beaucoup viennent à peine de sortir.

    S'il y a une deuxième vague, c'est celle, après le confinement général, du confinement des esprits par sidération des consciences dans un alignement global qui est la marque bien connue de ce que Guy Debord appelait l'empire de la servitude en précisant : « La décadence générale est un moyen au service de l’empire de la servitude ; et c’est seulement en tant qu’elle est ce moyen qu’il lui est permis de se faire appeler progrès. »

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : 2 personnes
     
     
     
  • Thaïlande : cages en plastique dans les écoles pour combattre le coronavirus

    Publié par Guy Jovelin le 17 août 2020

    Dans la lutte contre le Covid-19, les gouvernements aux ordres de l’OMS font preuve d’inventivité… et de folie : c’est la compétition pour mettre en place la mesure qui sera la plus spectaculaire et… intransigeante. Tandis qu’en Australie, particulièrement à Melbourne, la dictature sanitaire s’intensifie grâce à la permission donnée à la police d’entrer sans mandat dans les habitations, en Thaïlande ce sont les écoles qui deviennent des quasi-prisons.

    La réouverture des écoles à la suite des restrictions anti-Covid s’accompagne de l’introduction de mesures de précaution uniques qui doivent être respectées par les élèves. Parmi celles-ci, des ‘cages en plastique’ dans lesquelles sont enfermés les étudiants et les élèves. Les images publiées cette semaine, relancées par de nombreux journaux internationaux, montrent précisément les élèves de l’école Wat Khlong Toey, une école de la capitale thaïlandaise qui compte 250 élèves, en train de suivre les leçons depuis l’intérieur de cubes en plastique transparent.

    Les instantanés susmentionnés montrent des enfants jouant avec des constructions assis par terre, portant un masque facial, à l’intérieur de ces blocs, positionnés dans toute la classe à une distance d’au moins un mètre l’un de l’autre. L’objectif de la présence d’installations transparentes est de protéger les élèves de toute contamination externe au cours des activités d’enseignement.

    Une autre photo montre que des blocs en plastique sont également installés autour des bureaux des enfants, afin que les plus petits puissent suivre les leçons assis dans une structure antiseptique.

     

    Les précautions anti-contagion prises à l’école Wat Khlong Toey ne s’arrêtent pas là. Avant d’entrer dans l’institut, les enfants sont soumis à une mesure de prise de température corporelle à l’aide d’un thermo-scanner. De plus, dans les couloirs de la structure, il y a des distributeurs de liquide désinfectant pour les mains.

    En adoptant des mesures de précaution anti-Covid, les écoles thaïlandaises ne suivent aucun ordre particulier, certaines d’entre elles mettant en pratique des mesures prudentielles de santé encore plus strictes. Par exemple, l’école Sam Khok, située juste au nord de Bangkok, a demandé à ses quelque 5 000 élèves de s’auto-isoler chez eux pendant quinze jours, avant de donner le feu vert aux jeunes pour qu’ils retournent en classe et recommencent les cours.

    D’autres institutions encore forcent le personnel enseignant à donner les cours avec des masques et les enfants à venir à l’école avec des écrans faciaux en plastique.

    Voilà donc à quoi ressemble le « monde d’après » : à un monde orwellien, froid et tyrannique.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Près de 70% des migrants arrivés à Malte sont testés positifs au Coronavirus, annonce le gouvernement maltais

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2020

    Par  le 31/07/2020

    Plus des deux tiers d’un groupe de 94 migrants sauvés en Méditerranée par les garde-côtes maltais ont été testés positifs au coronavirus.

    Les tests effectués à l’arrivée ont révélé que 65 d’entre eux étaient porteurs du Covid-19.

    Vingt ont été testés négatifs, et neuf autres recevront leurs résultats plus tard.

    Les migrants – qui seraient originaires d’Érythrée, du Maroc et du Soudan – auraient été en mer pendant 30 heures avant d’être récupérés lorsque leur bateau commençait à prendre l’eau. Ils sont partis de Libye.

    Ils resteront en quarantaine dans un centre d’accueil.

    (…) BBC via fdesouche

  • Coronavirus. Gaillac (81) : une conductrice de bus menacée de mort pour avoir exigé le port du masque

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2020

    Par  le 18/07/2020

    Trois jours après l’agression mortelle d’un chauffeur de bus à Bayonne, une conductrice de Gaillac (Tarn) s’est faite menacer de mort le 8 juillet dernier dans son bus. Comme au Pays-basque, le voyageur refusait de porter un masque dans l’autocar.

    L’agression a eu lieu mercredi 8 juillet dernier au centre-ville de Gaillac. Un voyageur de 53 ans a refusé de porter un masque dans un bus de l’agglomération. La conductrice, âgée de 52 ans, lui a alors refusé l’accès.

    L’homme, déjà bien connu des services de gendarmerie, a alors insulté la conductrice et l’a menacée de mort. Il a ensuite pris la fuite. Choquée, la conductrice a porté plainte. Son agresseur a finalement été arrêté et placé en garde à vue ce jeudi. Condamné précédemment pour des faits de vols aggravés, il faisait l’objet d’un sursis de trois mois. Sursis révoqué par le Procureur de la République d’Albi qui l’a envoyé à la maison d’arrêt d’Albi. Il repassera devant le tribunal le 31 juillet prochain.

    francebleu via fdesouche