Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

coronavirus - Page 4

  • Coronavirus ? OMS et médias ont menti… Même Pujadas le note

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2020

    Même des journalistes du système sont forcés d’admettre que les versions officielles au sujet du coronavirus covid 19 se révèlent fausses les unes après les autres et que tout a été fait pour instaurer une panique planétaire.

     

  • Coronavirus. Oise : la justice suspend le couvre-feu mis en place dans 3 villes après des violences urbaines

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2020

    Par  le 17/05/2020

    Le tribunal administratif d’Amiens, saisi par la Ligue des droits de l’homme, a ordonné samedi la suspension du couvre-feu appliqué dans trois communes de l’Oise pour prévenir l’épidémie du Covid-19, estimant que ces mesures portaient une «atteinte grave» à «la liberté fondamentale d’aller et venir».

    Le tribunal, dans son ordonnance dont l’AFP a obtenu copie, a considéré notamment que si les «violences urbaines» et les «assemblements sauvages» ayant eu lieu dans ces trois communes, où ils risquaient de «contribuer à la dégradation sanitaire», peuvent justifier des «mesures appropriées (…) dans les secteurs où ils se déroulent», une «interdiction générale de circulation sur l’ensemble» des communes n’était pas en revanche «une mesure justifiée et proportionnée». […]

    «En réalité, il est apparu que, sous couvert d’urgence sanitaire, ce qui justifiait ce couvre-feu était une problématique sécuritaire. On ne peut contourner la finalité sanitaire par un couvre-feu sécuritaire. Cette décision marque le coup des limites des pouvoirs des préfets, même dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire», a déclaré l’avocat de la LDH, Patrice Spinosi.

    cnews via fdesouche

  • Le Coronavirus, crise existentielle pour Georges Soros

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2020

    Auteur : 

    Le milliardaire mondialo-progressiste George Soros a proclamé le 11 mai dernier que la pandémie du coronavirus était la crise de son existence entière, celle qu’il attendait et qui rendait possible une révolution sociétale, inimaginable en d’autres circonstances.
    Une seule chose était certaine à ses yeux dans l’après-pandémie : il n’y aurait pas de retour possible au monde d’avant. Quant au reste, la forme que prendraient les nations et les alliances, c’était un mystère qui restait  à découvrir.
     
    Même avant que la pandémie ne s’abatte sur le monde,  j’avais déjà  compris que nous vivions des temps révolutionnaires, où ce qui paraissait impossible ou même inconcevable en temps normal devenait non seulement possible, mais d’une nécessité absolue “, a-t-il déclaré sans autre forme d’explication dans une interview accordée au magazine “Project Syndicate”, auquel il est lui-même un contributeur régulier.
     
    Emmanuel Macron avait eu des mots identiques le jour de l’annonce du confinement national et l’on ne peut qu’être frappé de la ressemblance entre les deux discours, qui paraissent tirés d’un même scénario.
    Ce qui interpelle aussi, c’est le don de divination surprenant manifesté par les deux hommes. Car le sens des choses se comprend d’ordinaire de manière rétrospective plutôt que prospective, à moins d’être prophète ou devin. En l’occurrence, on a l’impression d’un épilogue écrit à l’avance, ou d’un livre lu à partir de la fin.
    Ce qui intrigue enfin est le ton apocalyptique et messianique pour parler du monde nouveau qui devra  naître des décombres de l’ancien, après le saut dans le grand trou noir. Et là nous voyons nos chers mondialistes, qui se croient si subtils dans leurs gros sabots, nous ramener encore une fois leur fameuse théorie du “désordre constructeur”.
     
    Soros a poursuivi : “Puis est arrivé le COVID-19, qui a totalement bouleversé la vie des gens et a rendu nécessaires des changements comportementaux significatifs. Il s’agit d’un événement sans précédent qui ne s’est probablement jamais produit dans cette combinaison. Et il met réellement en danger la survie de notre civilisation”.
     
    Soros avait pourtant connu la Seconde Guerre mondiale durant sa jeunesse.  Et le monde avait connu des pandémies autrement plus mortelles que celle du COVID-19, comme celle de la grippe espagnole. Pourtant, celle crise-ci n’était, selon lui, comparable à aucune autre antérieure.
    “Nous apprenons très vite, et nous en savons maintenant beaucoup plus sur le virus qu’au moment de son apparition, mais nous tirons sur une cible mouvante parce que le virus lui-même subit des mutations rapides”.
    Et pourtant rien n’est moins sûr. Des scientifiques de haut niveau, systématiquement censurés sur la toile, affirment qu’il est inexact de parler de mutations du virus, dans la mesure où il n’y a jamais eu de virus proprement identifié, mais seulement des pathologies ou syndromes disparates que l’on a recouverts de l’appellation de COVID-19 pour des raisons d’opportunisme politique.
     
    Soros estimait qu’il faudrait beaucoup de temps pour mettre au point un vaccin. Et que même après en avoir développé un, nous serions contraints d’apprendre à le changer chaque année, « parce que le virus changera très probablement. C’est ce que nous faisons chaque année avec le vaccin contre la grippe », a-t-il ajouté.
    Certes, mais à ce détail près que l’on n’immobilise pas la planète entière chaque fois que la grippe sévit.  Qu’en sera-t-il si le terrible COVID-19 revient l’hiver prochain, faudra-t-il encore mettre les pays en état d’arrêt total ? Ou bien quelqu’un aura-t-il enfin l’idée de comparer les chiffres, ceux de l’INSEE ou de l’OMS, pour se rendre compte qu’ils n’ont pas bougé depuis l’année précédente ? Et que la seule chose qui a changé a été la mise en scène brutale et exhibitionniste de drames intimes, avec instrumentation éhontée de la mort et de la souffrance des victimes et de leurs familles ?
     
    Georges Soros voyait cette crise rapprocher à terme les gens et les États-nations, mais seulement quand les gens auraient surmonté leurs peurs et vaincu leurs réflexes de repli.
    L’Europe, surtout, qui du fait qu’elle était une « Union incomplète », était d’autant plus vulnérable.
     
    Y a-t-il encore quelqu’un pour croire à l’histoire de la chauve-souris ?
    La chauve-souris, serait-ce George Soros et ses acolytes mondialistes ?
     
  • le coronavirus nous fait pleinement entrer dans le XXIe siècle

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2020

    Rédigé par notre équipe le 14 mai 2020.

     

    Les transitions technologiques sont, bien davantage que les transitions politiques, les vrais marqueurs des changements d’ères. Ainsi, c’est la révolution industrielle qui donna à l’Occident sa suprématie, au début du XIXe siècle, sur l’ensemble du monde, et notamment sur la Chine qui, jusque-là, n’avait rien à envier, en termes de puissance, aux Européens.

    Alors que le nerf de la guerre, depuis le XIXe siècle, était constitué par les matières premières, celui du XXIe siècle sera constitué par la puissance numérique : intelligence artificielle, mégadonnées, opérateurs réseaux. Dans ce domaine, la Chine pourrait devenir la plus grande propriétaire de ces richesses.

    Or, les mesures de confinement mondial ont entraîné un accroissement exponentiel de l’usage des technologies numériques, notamment à travers la généralisation du télétravail. Et ceci alors que la numérisation du monde est loin d’être achevée : de nombreux territoires dans le monde ne sont pas encore dotés de relais internet ou de réseaux informatiques efficaces.

    De fait, la numérisation internationale nécessitera, afin de continuer son développement, des investissements financiers pharaoniques afin de développer les infrastructures adéquates. Aujourd’hui, seuls deux pays auraient les moyens de mettre en œuvre cette homogénéisation technologique mondiale : les Etats-Unis et la Chine. Entre les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) américains et les BATX (Baidu, Alibaba, Tencent, Xiaomi) chinois, la course à l’hégémonie numérique est lancée.

    A travers son projet de Nouvelles routes de la soie, de même que son emprise toujours plus importante sur les économies africaines, la Chine semble pour l’instant dominer la compétition. En outre, la Chine possède toujours des réserves financières considérables, alors que les Etats-Unis, mais aussi l’UE, n’en finissent plus de creuser leurs dettes.

    La « guerre technologique » que mènent les Etats-Unis à la Chine à propos de Huawei cristallise, de même, les enjeux hégémoniques du monde numérique : en faisant pression sur leurs alliés, les Etatsuniens cherchent à empêcher ou freiner un déclassement dans un secteur où, jusqu’ici, ils régnaient en maîtres.

    L’Europe a-t-elle les moyens de changer de cap et de déjouer son destin de « colonie numérique » ? Rien n’est moins sûr. Pour ce faire, les dogmes de l’UE devraient être abattus. On se souvient que, en 2016, l’UE avait scandaleusement empêché la fusion d’Airbus et Ariane, ce qui aurait créé un géant mondial dans le secteur spatial. Cette interdiction, émise par la Commission européenne, avait été justifiée par le respect de la libre-concurrence et la volonté de ne pas engendrer une « position dominante » sur le marché… Peut-on être davantage suicidaire (et ridicule) quant au sabotage de sa propre puissance ?

    Jusqu’au XVIIIe siècle, la Chine était le pays le plus puissant du monde. Par la suite, dans les années 1950, les Etats-Unis récupérèrent l’hégémonie mondiale. En définitive, les Européens ne possédèrent une hégémonie incontestable sur l’ensemble de la planète qu’au cours d’une période de 250 ans. Alors que nous assistons à une lutte stratégique entre la puissance qui nous a précédé et celle qui nous a suivi, les Européens doivent à tout prix renouer avec leur volonté de puissance. Sans quoi, elle ne deviendra qu’une colonie parmi d’autres.

     

    Source : 24heuresactu

  • Lutte conte le coronavirus en Israël : Netanyahu suggère que soient implantées des micro-puces aux enfants

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2020

    Pour combattre le coronavirus, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu suggère d’implanter des micro-puces aux enfants qui retournent à l’école et à la crèche afin qu’ils respectent la distanciation sociale, relate le Jerusalem Post :

    « Lors d’une conférence de presse lundi, Netanyahu a suggéré au ministère de la Santé d’utiliser une nouvelle technologie pour aider Israël à s’adapter à sa nouvelle routine alors que l’État lève le verrouillage du coronavirus. C’est-à-dire une technologie qui n’a pas été utilisée auparavant et qui est autorisée par la législation que nous allons promulguer, a-t-il précisé. J’ai parlé avec nos responsables de la technologie afin de trouver des mesures dans lesquelles Israël est bon, comme des capteurs. Par exemple, chaque personne, chaque enfant – je le veux d’abord pour les enfants – aurait un capteur qui déclencherait une alarme lorsque vous êtes trop proches, comme ceux des voitures, a déclaré le Premier ministre. »

    L’article souligne que « le bureau du Premier ministre a ajouté qu’il s’agit d’une option volontaire conçue pour aider les enfants à garder leurs distances et que la suggestion du Premier ministre est une idée qui peut aider à maintenir la distanciation sociale, et il n’y aura aucune violation de la vie privée. » Précision qu’il faut croire sur parole, la parole institutionnelle étant devenue en ces temps de coronavirus infaillible et sacro-sainte.

    « C’est fictif et dangereux », a déclaré au Jerusalem Post Einat Meron, experte en cyberrésilience, à Ynet. « Si les informations sur l’emplacement des enfants sont téléchargées sur Internet, un pédophile ayant une certaine connaissance du cyberespace peut envahir le système et les traquer en dehors de leurs écoles, les suivre et diffuser les informations sur d’autres plateformes. L’Etat peut-il en assumer la responsabilité? »

    Entre les différentes applications pour smartphone destinées au  “suivi des contacts” des personnes positives au Covid-19 pour avertir celles qui sont entrées en contact avec elles, via leur téléphone portable, et les micro-puces pour respecter la distanciation sociale, les Etats rivalisent d’idées pour mieux contrôler leur population. Et comme dans tout régime qui marche vers le totalitarisme, les enfants sont les premières victimes à enrôler.

    Le monde Big Brother est arrivé !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info