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  • Halloween : le piège du démon déguisé en fête pour enfants

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2025


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    Le 31 octobre approche : nos rues vont bientôt se remplir d’enfants déguisés en squelettes, sorcières et fantômes. On nous présente Halloween comme une simple fête populaire, un jeu inoffensif. La Conférence des évêques de France, dans son souci d’ouverture au monde, en vient à la considérer comme une « occasion de redécouvrir la Toussaint ».

    Mais pour qui garde un regard de foi, il est impossible de ne pas voir derrière ce folklore païen une entreprise de déchristianisation subtile, orchestrée par l’Ennemi de nos âmes. Ce n’est pas le déguisement en soi qui souille l’âme, mais la complaisance avec le mal. Jouer avec le démon, c’est déjà lui ouvrir une brèche.

    Halloween plonge ses racines dans la fête celtique de Samhain, célébration païenne des morts et des esprits, que l’Église avait jadis christianisée en instituant la fête de la Toussaint et celle des fidèles défunts. Mais en renouant aujourd’hui avec ces superstitions anciennes, notre société apostate ne fait que rouvrir les portes que les saints avaient refermées depuis plus d’un millénaire.

    Ce que le christianisme avait purifié par la grâce, le monde moderne le profane à nouveau sous le masque de la dérision. Les déguisements macabres, les symboles occultes et la fascination pour les ténèbres n’ont rien d’innocent : ils nourrissent l’imaginaire du mal et banalisent le diabolique. Le démon, qui ne demande qu’à être invoqué sous couvert de plaisanterie, se réjouit de voir les enfants se familiariser avec l’horreur et la mort plutôt qu’avec la sainteté et la lumière.

    Halloween, c’est l’inversion même de la Toussaint. Au lieu de contempler la gloire des saints, modèles de vertu et intercesseurs auprès de Dieu, les enfants glorifient les démons, les sorcières et les revenants. Au lieu de prier pour les âmes du purgatoire, ils réclament des bonbons en menaçant de jeter des sorts. Cette inversion n’est pas anodine : elle prépare les esprits à la confusion, à la perte du sens du bien et du mal.

    Comment ne pas voir que cette fête, si « sympathique » en apparence, détourne les cœurs du vrai combat spirituel ? En riant du diable, on oublie qu’il existe réellement et qu’il cherche la perdition des âmes. Le pacte avec le démon n’est jamais loin lorsque l’on joue à l’invoquer, fût-ce sous couvert d’amusement. On renie ainsi, souvent sans s’en rendre compte, les promesses de son baptême : « Je renonce à Satan, à ses pompes et à ses œuvres ».

    Il est tragique de voir des familles catholiques participer à ces mascarades. Certains prêtres eux-mêmes, influencés par le modernisme ambiant, osent parler d’« évangéliser Halloween », ou d’en « christianiser la fête ». Quelle naïveté ! On ne baptise pas le poison. L’unique antidote à Halloween, c’est la célébration fervente de la Toussaint et la prière pour les morts.

    Parents, au lieu de laisser vos enfants courir après les fantômes, emmenez-les prier devant les tombeaux de leurs ancêtres, allumez une bougie, expliquez-leur la beauté du Ciel et la réalité de l’enfer. Faites-leur découvrir les vies des saints plutôt que les masques des damnés.

    Dans un monde qui glorifie les ténèbres, le chrétien doit être lumière. Refuser Halloween, c’est un acte de résistance spirituelle ; c’est proclamer que le Christ est vainqueur de la mort, que les saints triomphent de l’enfer, et que nous sommes appelés à la vie éternelle, non à la peur et à la superstition.

    Alors, ce 31 octobre, que chacun choisisse son camp : celui de la croix ou celui du déguisement. Car nul ne peut servir deux maîtres.

    « Ce que l’homme honore, il finit par l’imiter. » – Saint Augustin

     

    Source :lesalonbeige

  • Fichez la paix aux enfants !

    Publié par Guy de Laferrière le 26 novembre 2024

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    Fichez la paix aux enfants ! L'État perverti et pervers s'acharne dans sa volonté de bourrer le crâne des enfants et de les déboussoler, au lieu de les instruire, avec sa "politique" (?) d'éducation sexuelle dans sa soi-disant "école"...

    Le nouveau programme d'éducation à la sexualité pour la rentrée 2025, et déjà validé par la ministre Anne Genetet, prévoit d'aborder la théorie du genre dès la moyenne section de maternelle !  

    IL VA FALLOIR SE  BATTRE !

    https://www.genethique.org/education-sexuelle-a-lecole-une-place-centrale-pour-la-theorie-du-genre/

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  • Egoïsme radical : « J’ai réussi ma vie parce que je n’ai pas d’enfants »

    Publié par Guy de Laferrière le 10 octobre 2024

     

    Cette déclaration, nous la devons à Béatrice Dalle, samedi dernier, sur un plateau de télévision du service public.

    Même si elle ne va pas jusqu’au délire de certaines féministes qui vont jusqu’à promouvoir le fait de ne pas faire d’enfants, cette citation récente de l’actrice est l’occasion de faire quelques rappels nécessaires sur ce sujet en ces temps d’inversion des valeurs et de confusion générale.

    Le but de la vie (sauf cas habituels comme la stérilité, la vie religieuse, etc.) est – après celui de faire le salut de son âme – de donner la vie, c’est ainsi que toutes les sociétés sont nées et se sont maintenues jusqu’aujourd’hui, et c’est également un commandement divin (Genèse 2:24 : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à une femme, et ils deviendront une seule chair).

    Ceci étant dit, et la priorité remise à l’endroit (si l’on ajoute à cela l’éducation des enfants), il est temps maintenant de se pencher sur l’argument de certaines féministes qui poussent la contradiction jusqu’à nier ce qu’est une femme, et notamment en refusant de tomber enceinte pour ne pas devenir des “poules pondeuses” comme le dit par exemple la lobbyiste féministe – et enseignante à Sciences Po – Elsa Foucraut. Au-delà du caractère profondément misogyne de qualifier les femmes enceintes de “poules pondeuses”, il s’agit d’une véritable attaque contre ce qui fait une femme, sa différence et sa complémentarité d’avec l’homme : sa capacité à héberger et donner la vie, une qualité qui pousse par exemple l’ensemble du monde chrétien à s’agenouiller devant la sainte mère de Dieu, Marie. Dénigrer – ou nier pour les radicaux – cette qualité intrinsèque des femmes, revient à nier la féminité et, en bout de chaîne, à refuser la vie. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si 100% de ces féministes sont également des militantes actives de l’assassinat des enfants dans le ventre de leurs mères (IVG).

    Autre argument, celui de certains écologistes, qui déclarent que faire des enfants c’est faire du mal à la planète. Cet argument part du principe que la planète se réchauffe dangereusement, que ce réchauffement dangereux est d’origine humaine, et que la solution à ce danger c’est d’arrêter de produire du CO2 et donc d’arrêter de faire des enfants, car pour ces “écologistes”, la vie (le CO2) c’est la mort (logique “écolo”…). Cet argument des prétendus écologistes est globalement réservé aux populations blanches, biais racial justifié par ces “antiracistes” par le fait que ce sont les Blancs qui seraient le plus grand problème pour le CO2, même s’ils ne représentent qu’une ultra-minorité des 8 milliards d’humains…

    De ces deux arguments, féministe et écologiste, on déduit le schéma habituel de toute la propagande antinaturelle et anticivilisationnelle : le combat contre le Christ et contre les Blancs.

    Cette persistance, qu’on retrouve sur absolument tous les “sujets de société” qui sont en en fait des sujets imposés aux peuples blancs par des gens qui les détestent, rendent Béatrice Dalle et tous les gens de cette espèce de parfaits propagateurs d’une idéologie antiblanche et antichrétienne dont on sait bien d’où elle vient : la synagogue de Satan et les loges qui la servent.

  • Propagande LGBTQXYZ en maternelle et primaire pour laver le cerveau des enfants

    Publié par Guy de Laferrière le 30 juin 2024

    Propagande LGBTQXYZ en maternelle et primaire pour laver le cerveau des enfants

    Une étude, récemment publiée par la British Psychological Societyévalue la façon dont les enfants peuvent se faire « laver le cerveau » pour qu’ils soient favorables à l’idéologie du genre.

    Les travaux ont été menés par un groupe de psychologues qui a conçu une méthode afin de manipuler les enfants en « réduisant la croyance en l’immuabilité du genre », voire en encourageant les enfants à se déclarer eux-mêmes transgenres.

    Les résultats ont montré que les enfants de 10 ans et moins, certains étant âgés de 5 ans seulement, étaient plus susceptibles d’adopter des comportements favorables au transgenrisme après.

    « Les enfants âgés de 5 à 6 ans et de 9 à 10 ans qui ont visionné une vidéo d’une jeune fille transgenre nommée Jazz se sont distingués des enfants du groupe témoin, sans vidéo, à plusieurs égards : ils ont fait preuve d’une meilleure compréhension des identités transgenres, ont été moins enclins à considérer le genre comme immuable, et ont été moins enclins à juger que le genre à la naissance déterminait deux propriétés stéréotypées spécifiques au genre : jouer avec un service à thé plutôt qu’avec un camion ; aimer se maquiller plutôt que d’aller à la pêche ».

    Voilà pourquoi les idéologues LGBTQXYZ axent leur propagande en primaire.

     

    Source : lesalonbeige

  • Des enfants au Hellfest

    Publié par Guy de Laferrière le 26 juin 2024

    Des enfants au Hellfest

    Il n’est plus besoin de présenter ici le Hellfest, festival de musique black metal jouant abondamment et de façon pleinement assumée des références aux pires abominations satanistes. Un festival largement subventionné qui laisse s’exprimer les pires appels à la violence contre les prêtres et les chrétiens.  Or, ce Hellfest veut désormais également s’adresser aux enfants avec sa partie Hellfest Kids. Les organisateurs espèrent attirer pas moins de 850 jeunes enfants, en promouvant les ténèbres et le satanisme. Et ils font pour cela de la promotion dans les écoles de Clisson, distribuant des livrets abusivement qualifiés d'”éducatifs” et offrant des places gratuites aux enfants dès l’âge de cinq ans !

    Festival de l’Enfer pour enfants dès l’âge de 5 ans

    Le programme destiné à ces petits enfants prévoit notamment un concert “Helldebert – Enfantillages 666”. Les références sont explicites. Et l’objectif est bien de banaliser le satanisme auprès des plus petits enfants.

    Des enfants au Hellfest

    Outre que ce festival Hellfest Kids nuit aux âmes des enfants, il risque bien de nuire également à leur santé. Les organisateurs eux-mêmes conseillent de “protéger l’ouïe des enfants”. A cet âge-là, n’est-ce pas de la folie de soumettre des enfants à de tels volumes de décibels ?

    "Helldebert - Enfantillages 666"

    Vous pouvez toujours écrire ou téléphoner au maire François Guillot pour demander d’annuler cet événement sataniste destiné aux enfants.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info