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france - Page 29

  • “Ne privons pas l’Afrique de ses médecins” : des sommités de la médecine appellent le gouvernement à retirer son projet de loi sur l’immigration, visant à créer un titre de séjour spécial pour les médecins étrangers

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

    « Ne privons pas l’Afrique de ses médecins », c’est le titre d’une tribune publiée, ce week-end, en France. Elle est signée par d’importants professeurs de médecine et également par des défenseurs des droits de l’homme qui estiment que le projet de loi sur l’immigration proposé par le gouvernement français, fin décembre, pour faire venir du personnel de santé qualifié, n’est pas acceptable.

    Le projet de loi doit être présenté en janvier et prévoit, notamment, la création d’une carte de séjour spéciale pour les professionnels de santé.

    (…) Nombre de syndicats ont fustigé ces propositions. Ils estiment que la formation doit être améliorée en France. Actuellement, près de 5 000 médecins étrangers exercent dans l’hexagone. Ils n’ont pas le même statut et ont des salaires plus faibles que leurs confrères français.

    Le professeur André Grimaldi est l’un des signataires de la tribune : « Ne privons pas l’Afrique de ses médecins » Il estime que la France ne peut pas, une fois de plus, piller les compétences scientifiques et intellectuelles du continent africain et appelle les autorités à retirer ce projet de loi sur l’immigration.

    Voilà des gens qui ont été formés par leur pays et qu’on veut récupérer en France parce qu’on manque de médecins, sans se poser la question: Et leurs malades, dans leur pays, qui va les soigner ?

    RFI


    André Grimaldi, Jean-Paul Vernant, Xavier Emmanuelli et Rony Brauman, respectivement professeur émérite de diabétologie ; professeur émérite d’hématologie, membre du comité des sages de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) ; ancien secrétaire d’État, président du comité des sages de l’Ofii ; ancien président de Médecins sans frontières, s’opposent à la création d’une carte de séjour dénommée « talent-professions médicales et de pharmacie » et demande au gouvernement de retirer cette proposition du projet de loi sur l’immigration. 

    (…) Le nombre d’étudiants admis en faculté de médecine est passé de 8 500 au début des années 1970 à seulement 3 800 en 2000 tandis que la Sécurité sociale a payé jusqu’à cette date la retraite anticipée de près de 10 000 médecins pour réduire la supposée “pléthore médicale”. La fin du numerus clausus ne mettra pas un terme aux inégalités territoriales d’accès aux soins.

    Le gouvernement pense donc que pour répondre à cette situation, il ne s’agit pas de changer de politique de santé mais, en améliorant l’“attractivité nationale”, de recruter encore plus de médecins, en provenance pour la plupart du Maghreb et d’Afrique subsaharienne, qui accepteront de travailler pour des salaires moindres dans les lieux délaissés par les médecins français. Ce faisant, il entend profiter sans frais de professionnels formés par ces pays avec comme conséquence une réduction de l’accès aux soins de leurs populations.

    (…) Nous demandons au gouvernement de retirer de son projet de loi cette proposition de titre de séjour spécifique pour attirer les personnels médicaux, et de négocier avec les gouvernements concernés des accords pour aider au développement de la santé sur leur territoire.

    Le JDD

  • L’Algérie a gagné le combat contre l’ancien colonisateur: elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

    L’Algérie a gagné le combat contre l’ancien colonisateur: elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chuteL’Algérie a gagné le combat contre l’ancien colonisateur: elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute

    Xavier Driencourt, diplomate, ancien directeur général de l’administration du Quai d’Orsay, chef de l’Inspection générale des affaires étrangères, ancien ambassadeur de France à Alger, écrit dans Le Figaro :

    (…) l’Algérie va mal, beaucoup plus mal que les observateurs ou les rares journalistes autorisés le pensent ; 45 millions d’Algériens n’ont qu’une obsession: partir et fuir. Partir où, si ce n’est en France, où chaque Algérien a de la famille? On ne compte plus aujourd’hui ceux qui demandent un visa dans le seul but de ne faire qu’un aller simple, c’est-à-dire de rester d’une façon ou d’une autre en France avec l’espoir d’être un jour régularisé. Les choix désastreux de 1962, la crise économique, la corruption née de la rente pétrolière, le découragement non seulement des élites des grandes villes du Nord, mais aussi du peuple des campagnes et de l’Algérie profonde, découragement stimulé par la générosité de la France, font qu’à ce rythme-là peu de gens resteront en Algérie. Le prix de notre aveuglement ou de nos compromissions s’appellera donc immigration massive, sans rapport avec ce qu’elle est aujourd’hui, islamisme conquérant, ghettoïsation de nos banlieues, repentance mémorielle.

    La France fait face à un double paradoxe: d’une part celui de l’alliance, autrefois contre nature, entre une armée antifrançaise et des islamistes qui nous détestent, les deux ayant en commun la haine de la France et la ferme volonté d’éradiquer les survivances linguistiques ou culturelles de la colonisation tout en nous faisant payer, par l’émigration et les excuses, le prix de notre passé colonial ; le second paradoxe est celui, soixante ans après l’indépendance algérienne, de traîner toujours et encore le problème algérien auquel précisément les accords d’Evian devaient mettre fin. L’Algérie, en ce sens, a gagné le combat contre l’ancien colonisateur: elle reste un problème pour la France, elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute.

     

    Source : lesalonbeige

  • Evolution de la fourniture d'électricité en France.

    Publié par Guy de Laferrière le 08 janvier 2023

    Peut être une image de texte qui dit ’ÉLUCID Evolution de la fourniture de l'électricité en France Source apres Philippe Toupereau Avant 2000 (monopole) TAXES galaf En 2022 (après libéralisation européenne) DIVIDENDES TAXES TAXES REPURLIQUEFRANCA INVESTISSEMENTS SUEIVENTIONS ACTIONNAIRES CAPITAL DIVIDENDES SUEVENTIONS EDF ARENH DIVIDENDES 40 FOURNISSEURS ALTERNATIFS SPECULATIONS EDFSA f代 SERVICES RTE SERVICES SYSTEMES SURVENTION PHOTOVOLTAIQUE RACHAT HOTOVOLTAIO ENEDIS USAGER TARIF FOE USAGER TARIF BRF www.elucid.media’

  • Vive le Roi Louis XX ! Vive la France !

    Publié par Guy de Laferrière le 08 janvier 2023

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  • La faillite de la France et l’explosion de la zone euro sont inéluctables

    Publié par Guy de Laferrière le 06 janvier 2023

    Marc Rousset

    Marc Rousset, auteur sur Boulevard Voltaire

    Il n’ y a plus que l’inconscient technocrate Macron pour ne pas croire aux sombres prédictions économiques de 2023, alors que les raisons sont nombreuses : sanctions économiques suicidaires et contre-productives avec la Russie, poursuite de l’inflation, des prix délirants, variables et incompréhensibles de l’électricité pour les entreprises, les artisans, les boulangers, les restaurateurs, les PME qui ne peuvent être abaissés que par la fin du Système mis en place, une véritable usine à gaz inventée par Macron afin de brouiller les cartes (établissement d’un prix clair, juste et compréhensible de l’électricité en sortant du marché européen comme en Espagne et au Portugal ou en pratiquant une politique claire du « quoi qu’il en coûte » comme en Allemagne), hausse des taux d’intérêt, dégonflement des bulles boursières ,obligataires et immobilières, risques de croissance zéro et de récession en Europe, hausse des faillites à venir, double déficit du budget public et de la balance commerciale, dégradation de la notation de la dette française, crise latente de l’UE et explosion inéluctable à venir de la zone euro, tout cela dans un monde malsain avec un endettement public mondial de 96 % du PIB mondial , et même de 247 % si l’on ajoute la dette des ménages et des entreprises !

    La France de plus en plus désindustrialisée s’est éloignée de l’Allemagne et des pays de l’Europe du Nord pour devenir un pays de l’Europe du Sud surendetté et non compétitif qui n’attire plus les grands investisseurs industriels (Tesla, projets d’usines de puces, semi-conducteurs tous dirigés vers l’Allemagne). La dette publique française est passée de 20 % du PIB en 1980, à 58 % en 2000, 85 % en 2010 pour atteindre le ratio insoutenable de 114,5 % en 2022. La dette française (2956,8 milliards d’euros) approche les 3000 miliards d’euros et a progressé de 115,9 milliards d’euros en un an.

    La France s’enlise en matière de dette avec le cinquième rang dans le peloton de queue européen, après la Grèce (171,1%), l’Italie (144,6%), le Portugal (115,9 %) et l’Espagne (114 %) alors que le taux des obligations du Trésor français (OAT) à dix ans vient de dépasser les 3 %, soit le taux de début 2012, pour la première fois ; il y a un an le taux était de seulement 0,20 %. On assiste donc à une véritable envolée des taux d’intérêt. En un an, en 2022, les intérêts de la dette publique ont augmenté de 34 % pour atteindre 51 milliards d’euros. Mais selon le Président de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, chaque point d’augmentation sur les taux d’intérêt se traduira en effet pleinement, seulement au bout de 10 ans (emprunts nouveaux pour remplacer progressivement la totalité des anciens emprunts venant à échéance), par une augmentation annuelle de 40 miliards d’euros de la charge de la dette, soit le montant du budget des Armées.

    A terme, donc, au bout de 10 ans, la seule augmentation de taux d’intérêt à 3% correspondra d’ores et déjà à une charge irréversible et insupportable de 120 milliards d’euros ! Les 51 Milliards d’euros actuels d’intérêt au budget 2023 ne représentent donc que moins de 50% des 120 miliards d’euros d’intérêt à venir ! Si les taux d’intérêt devaient s’élever dans les années qui viennent de 3 % à 6 %, au bout de 10 ans, la France devrait payer 240 milliards d’intérêt, soit 80 % des recettes du budget de l’Etat qui est de l’ordre de 300 milliards d’euros ! Or l’Italie paie déjà 4,63 % de taux d’intérêt et l’Allemagne seulement 2,50 %. Pas besoin donc de sortir de Centrale ou de Polytechnique pour réaliser vers quelle catastrophe la France se dirige, même si les taux d’intérêt devaient rester à 3%, et a fortiori s’ils devaient passer par malheur à 6% !

     

    Source : synthesenationale