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france - Page 25

  • Églises détruites, vandalisées ou laissées à l’abandon : la France tourne le dos à son passé

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Chaque année, une poignée d’églises, laissées à l’abandon, doivent être détruites. Mais d’ici 2030, 2.500 à 5.000 églises seront menacées d’être démolies ou vendues.

    « La grue s’approche lentement de l’église. En quelques minutes, dans un silence assourdissant, le clocher du Genest-Saint-Isle (Mayenne) est désolidarisé de la structure. Pierre après pierre, l’église Saint-Sulpice, bâtie au XIXe siècle, se retrouve réduite en gravats. Désormais, les cloches ne sonneront plus dans ce petit village de Mayenne… Non loin de là, à La Baconnière, une autre église pourrait bientôt connaitre le même triste sort.

     

    Des églises laissées à l’abandon

    « À chaque fois qu’une église s’efface, c’est un fragment d’âme de la France qui s’évanouit. » Dans une indifférence médiatique totale, la lettre ouverte d’une centaine de parlementaires de droite résonne comme un avertissement. Alors qu’au Moyen Âge, les bâtisseurs détruisaient les édifices religieux pour en construire de plus beaux et de plus grands, désormais, en France, des églises sont démolies pour ne jamais être remplacées… Petit à petit, influencés par la cancel culture, certains élus, souvent encouragés par des associations et collectifs, laissent s’effacer toute trace de notre passé chrétien qu’ils ignorent ou honnissent tant.

    À 700 kilomètres de la Mayenne, Notre-Dame de Fourvière, qui surplombe et protège la ville de Lyon, ne résiste plus aux attaques du temps. Les tours de la basilique, consacrée en 1896, sont de plus en plus exposées. Des infiltrations et des fissures menacent la structure et nécessitent d’importants travaux d’urgence, rapporte Le Parisien. La fondation privée en charge de l’édifice recherche plus de 8 millions d’euros pour mener à terme ce chantier, dont 5 millions seulement pour la partie patrimoine. Quelques mécènes ont d’ores et déjà annoncé leur participation à la collecte de fonds. En revanche, la ville de Lyon, dirigée par l’écologiste Grégory Doucet, a fait savoir qu’elle ne débourserait pas un centime, considérant avoir déjà assez investi dans cet édifice. Ainsi, plutôt que de participer à la sauvegarde du premier site touristique de la métropole et de l’emblème de la ville des Lumières, la majorité écologiste semble préférer attribuer des subventions à des associations pro-migrants (SOS Méditerranée, notamment).

    L’indifférence contre les actes antichrétiens

    Quand elles ne sont pas laissées à l’abandon par des élus peu soucieux de défendre l’identité de la France, de (trop) nombreuses églises sont vandalisées ou profanées. Église fracturée et dégradée à Paris, ce 26 février, statue décapitée dans une église d’Orly, dix jours plus tôt, départs de feu dans une église des Yvelines, cocktail Molotov lancé contre le porche d’une église parisienne en janvier… Depuis le début de l’année 2023, la presse recense (de façon non exhaustive) déjà plus d’une dizaine d’actes de vandalisme contre des édifices religieux chrétiens. Au mieux, ces profanations remplissent la rubrique des simples « faits divers ». Mais, la plupart du temps, elles sont passées sous silence. À l’inverse, toute attaque contre une mosquée ou une synagogue déclenche – légitimement – une vague d’indignations et de réactions.

    Chaque année, une poignée d’églises, laissées à l’abandon, doivent être détruites. Mais d’ici 2030, 2.500 à 5.000 églises seront menacées d’être démolies ou vendues. Et alors, que restera-t-il du « blanc manteau d’église » qui couvrait la France jusqu’à l’aube du XXIe siècle ? Avant que des églises, vestiges cultuels et culturels de notre pays, ne deviennent des mosquées, comme ce fut le cas à Graulhet (Tarn), il n’y a qu’un pas. Sera-t-il bientôt franchi ? Seule une mobilisation des Français, et des catholiques en première ligne, pourrait inverser la tendance. »

    de Clémence de Longraye
    sur BVoltaire

  • Pour le très médiatique démographe François Héran, il n’y a pas de « tsunami migratoire » et « la France est très loin d’avoir pris sa part »

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Il n’y a pas de «tsunami migratoire», et la France n’est pas un pays si attractif pour les étrangers. Le démographe, professeur au Collège de France, démonte les clichés et enjoint les politiques qui se pencheront bientôt sur la nouvelle loi immigration à faire de même.

    […]

    Comment expliquez-vous l’obsession pour l’immigration, de la droite à l’extrême droite ? C’est une obsession récurrente depuis deux siècles. Par temps de crise, l’autre est de trop. De nos jours, pourtant, les immigrés ne sont pour rien dans le dérèglement climatique, la crise énergétique, la guerre en Ukraine, l’inflation, mais il se trouve toujours des marchands de peur pour raviver cette vieille hantise. Avec des variantes. Eric Zemmour était totalement convaincu, et c’était son erreur, que les Français partageaient sa détestation de l’immigration. D’où sa promesse pathétique de l’abolir de façon rétrospective en créant un «ministère de la Rémigration». Marine Le Pen a fait de ce thème un usage plus tactique. Quand ce n’est plus payant, elle est tout à fait capable de le mettre en retrait au profit du pouvoir d’achat comme lors de la dernière campagne présidentielle. Quant à la droite LR, elle s’est enfermée dans la surenchère des primaires visant un noyau dur de militants. A l’en croire, les gouvernements précédents – ceux de droite compris! – n’auraient rien fait contre la montée de l’immigration, par manque de «courage». Ils prétendent qu’«on n’a pas essayé la fermeté». Comme si les 20 lois votées sur le sujet depuis trente ans (par la droite et par la gauche) n’avaient pas cessé de durcir à outrance la politique migratoire.

    Vous assurez que la migration progresse de façon continue, quelle que soit la majorité poli- tique.

    Après avoir stagné dans les années 1974 à 2000, la part des immigrés, toutes origines confondues, n’a cessé de progresser dans la société française. C’est un phénomène général : elle a progressé de 67% dans le monde depuis l’an 2000. On retrouve cette tendance lourde dans tous les Etats de droit européens, et il est vain d’imaginer que la France puisse y échapper. Cela dit, la progression observée en France reste modérée par rapport à la pression mondiale: moins de 40% depuis 2000.

    […]

    La droite LR hurle à l’appel d’air dès qu’elle entend parler de régularisations. C’est raisonner à courte vue, car si l’on ferme toute voie de régularisation, cela augmentera le nombre d’irréguliers en France au lieu de le réduire, et ce au détriment de l’ordre public qu’on prétend défendre. A mon sens, la gauche devrait saisir l’occasion de conforter les passerelles qui permettent de légaliser certaines situations de fait, par exemple en inscrivant dans la loi le contenu de la circulaire Valls de 2012.

    […]

    Présenter l’immigration comme étant un facteur qui met fin à la continuité historique, c’est puéril. C’est d’ailleurs une formulation euphémisée du «grand remplacement». Il y a une série de variants littéraires un peu chics, cités par Ciotti, Le Pen ou Finkielkraut, autour de ce thème. L’objectif de ces formules – «envahissement», «submersion», «invasion», «grand remplacement» – n’est-il pas finalement de déshumaniser la migration ? C’est certain.

    […]

    La notion même de l’identité française n’a cessé de s’élargir au fil des générations, elle continuera de s’étendre à l’avenir, en incluant les patronymes de toutes origines. […]

    Libération via fdesouche

  • Implantations de centres d’accueil pour migrants en France : état des lieux (1)

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

     

    Par S. Quintinius ♦ Callac, Saint-Brévin, Saint-Lys, Beyssenac, Bélâbre, Thiverval-Grignon : ces dernières semaines, plusieurs manifestations ont été organisées par des habitants contre le projet des pouvoirs publics d’installer des migrants dans leur commune. Bien qu’ayant comme point commun de concerner des étrangers, ces projets relèvent de mesures bien distinctes. Le présent article vise à faire un état des lieux du dispositif d’accueil et d’hébergement des migrants sur le territoire national. Un second article sera consacré aux enjeux qu’il représente pour la société française.

    Les villages « horizon »

    À Callac, dans les Côtes d’Armor, le maire a signé en 2021 une convention avec le fonds de dotation Merci, afin d’installer plusieurs familles de migrants dans la commune. En raison de l’opposition d’une partie de la population, le maire a annoncé le 11 janvier 2023 renoncer à son projet (1).

    Parmi les projets qu’elle finance, la fondation privée Merci soutient l’installation de migrants dans des communes. Son rapport d’activité de l’année 2021 donne des informations sur la nature de l’aide qui est apportée aux communes qui contractent avec elle  : « Horizon propose de rénover ou de construire des « lieux de vie » avec des personnes réfugiées et non-réfugiées qui, grâce à leurs savoir-faire, participeront ensemble au développement économique, urbain, social et culturel d’un territoire » (2). Une carte de France dans le rapport d’activité fait apparaitre une vingtaine de sites qui pourraient devenir des « villages horizon ». La fondation a précisé après la décision du maire de Callac que « de nombreuses communes se sont déjà portées volontaires pour accueillir le projet. » (3).

    Les centres de préparation au retour

    Le 11 février 2023, près de Toulouse, à Saint-Lys, des habitants ont manifesté dans les rues de la commune à l’appel du « collectif Saint-Lysien ». Ils entendaient protester contre le projet d’installation d’un centre de préparation au retour, qui pourrait accueillir jusqu’à 120 migrants (4).

    Les premiers centres de préparation au retour ont vu le jour à partir de 2015. Leur vocation est selon un rapport sénatorial paru en mai 2022 de « développer des alternatives à la rétention pour l’éloignement des ressortissants de pays tiers d’une part, (et) fluidifier le parcours des demandeurs d’asile d’autre part » (4). A fin 2021, 34 centres disposant de 2 151 places étaient implantés sur le territoire national. Si les crédits dédiés à ce dispositif sont en très forte hausse en 2023 (+29 millions d’euros en autorisations d’engagement par rapport à 2022), le nombre de créations de nouveaux centres prévu cette année n’est pas connu (5).

    Le Plan grand froid

    L’État a réquisitionné en décembre 2022 dans le cadre du Plan grand froid deux cents places d’hébergement dans le domaine de Grignon, à Thiverval-Grignon (Yvelines) pour y loger principalement des migrants. Une manifestation a été organisée le 11 février 2023 pour le dénoncer (6).

    Le Plan grand froid vise selon les pouvoirs publics à « prévenir et limiter les effets sanitaires et sociaux liés aux températures de l’hiver et ses aspects collatéraux, en portant une attention particulière aux populations vulnérables » (7). En Ile de France, ce plan a été déclenché le 11 décembre 2022 et s’est traduit notamment par le renforcement du nombre de places d’hébergement. Selon le journal Les Échos, « cette solution d’urgence (l’hébergement au domaine de Grignon NDLR), adoptée pour la période hivernale, devrait prendre fin entre les mois de mars et de mai 2023. » (8)

    Les centres d’accueil pour demandeurs d’asile

    Plusieurs manifestations (et contre manifestations) ont été organisées ces dernières semaines à travers la France contre l’implantation de centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) : à Beyssenac (Corrèze) le 18 février (9), à Saint-Brévin (Loire Atlantique) et à Bélâbre (Indre) le 25 février (10).

    Les CADA en projet dans ces communes sont l’un des types de structures du Dispositif National d’Accueil (DNA), dont la vocation est de permettre aux demandeurs d’asile et aux réfugiés sans logement d’être hébergés.

    Le Dispositif National d’Accueil

    Les différents types de structures du DNA sont les suivants :

    • Les centres d’accueil pour demandeurs d’asile. Ils comptaient fin 2022 près de 50 000 places dans un parc d’hébergement de plus de 390 centres répartis sur le territoire national (11).
    • Les centres d’hébergement d’urgence des demandeurs d’asile (HUDA). Ils ont été mis en place pour pallier au manque de places en CADA. Il peut s’agir de places dans des foyers, des appartements ou des chambres d’hôtel. Il y avait fin 2021 64 500 places dans 446 HUDA.
    • Le programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile (PRAHDA). Il consiste essentiellement en places dans des hôtels rachetés pour l’occasion. 5 351 places dans 59 sites ont été créées dans ce cadre.
    • Les 57 centres d’accueil et d’étude de situations (CAES) sont destinés aux personnes qui souhaitent demander l’asile. Ils comptent environ 6 000 places.
    • Les 144 centres provisoires d’hébergement (CPH) accueillent les bénéficiaires de la protection internationale avant leur départ vers d’autres types d’hébergements « durables ». Ils comptent près de 10 000 places.

    Les capacités du Dispositif National d’Accueil ont très fortement progressé depuis l’accession au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017. Le nombre de places est passé de 82 362 en 2017 à 113 382 en 2022. Selon un rapport sénatorial paru le 17 novembre 2022, 4 900 nouvelles places vont être créées cette année (2 500 en CADA, 1 500 en CAES et 900 HUDA) (12).

    Sources : Ministère de l’intérieurrapport sénatorial 121 2022

    Plus généralement, le directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration déclarait récemment au sujet de l’hébergement d’urgence : « On est le seul pays à considérer que chaque personne, peu importe son statut à droit à un hébergement d’urgence, sans conditions. 40% des places dans l’UE sont en France » (13).

    Le coût budgétaire du DNA

    Le financement du DNA dépend principalement de deux lignes du budget de l’État :

    • l’action « Garantie de l’exercice du droit d’asile », dotée d’un budget de 1,89 milliards d’euros (en autorisations d’engagement) en 2023 ;
    • l’action « Accompagnement des réfugiés », dont le budget est de 122 millions d’euros en 2023.

    Plus globalement, le gouvernement a alloué 2,674 milliards d’euros (en A.E.) à la mission « Immigration, asile et intégration » en 2023, soit 681 millions d’euros de plus que l’année dernière (14).

    Les centres d’hébergement des Mineurs Non Accompagnés

    Contrairement aux demandeurs d’asile, lesdits Mineurs Non Accompagnés (MNA) relèvent d’une prise en charge non de l’État mais des départements. Une étude réalisée en 2017 a fait ressortir qu’un quart des MNA était logé dans un centre d’hébergement, d’autres étant avant l’évaluation de leur minorité sans hébergement connu (15).

    Source : Mission MNA du ministère de la justice

     

    Compte tenu de la progression continue du nombre de jeunes étrangers demandant à être pris en charge au titre de l’Aide Sociale à l’Enfance, la création de nouveaux centres d’hébergement dans différentes communes est également plus que jamais à l’ordre du jour.

     

    S. Quintinius
    02/03/2023

     

    (1) https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/guingamp/le-maire-callac-renonce-au-projet-conteste-d-accueil-de-migrants-ce-n-etait-plus-tenable-2691482.html
    (2) https://fondsdedotationmerci.org/
    (3) https://mailchi.mp/5fc331fe86cb/arrt-du-projet-horizon-callac
    (4) https://www.ladepeche.fr/2023/02/15/manifestation-contre-le-centre-de-migrants-11000184.php
    (5) https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/rapports/cion_fin/l16b0292-tiii-a28_rapport-fond.pdf
    (6) https://actu.fr/ile-de-france/thiverval-grignon_78615/une-manifestation-anti-migrants-devant-le-domaine-de-grignon-le-11-fevrier_57187304.html
    (7) https://www.prefectures-regions.gouv.fr/ile-de-france/Actualites/Plan-Grand-Froid-declenche-a-Paris-l-Etat-renforce-ses-mesures-pour-les-personnes-a-la-rue
    (8) https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile-de-france/yvelines-le-domaine-de-grignon-utilise-comme-refuge-temporaire-pour-sans-abri-1890901
    (9) https://www.lamontagne.fr/arnac-pompadour-19230/actualites/creation-d-un-centre-d-accueil-de-refugies-a-beyssenac-opposants-et-defenseurs-du-projet-se-font-face_14264717/
    (10) https://www.francebleu.fr/infos/societe/a-belabre-l-arrivee-d-un-centre-de-demandeurs-d-asile-provoque-des-tensions-4066315
    (11) Rapport d’activité 2021 – Ofii
    (12) https://www.senat.fr/rap/l22-115-316/l22-115-316.html
    (13) https://twitter.com/j_jaures/status/1628462208135864322
    (14) https://www.senat.fr/rap/l22-115-316/l22-115-3164.html#toc35
    (15) https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications/etudes-et-resultats/un-quart-des-mineurs-non-accompagnes-mna-dormaient-en-centre

    La boutique en ligne de l'Institut Iliade

     

     
  • "la France n'est pas un coupe-gorge"

    Publié par Guy de Laferrière le 01 mars 2023

    On sait que, pour Dupond-Moretti, "la France n'est pas un coupe-gorge", ce que dément quotidiennement l'actualité la plus angoissante. Par contre, ce qui indéniable, c'est qu'elle est devenue, par la faute et l'action du Système, un gigantesque foutoir/pétaudière, dont les péripéties prêteraient presque à sourire, s'il ne s'agissait de personnes qui, peut-être, ont déjà tué et vont, du coup, peut-être recommencer...

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    Merci Éric !

    Si ce "détenu" fait quelque chose de grave un jour prochain, on s'en souviendra, et on saura à qui le rappeler !!!!!

     

    Source : lafautearousseau

  • Alger suspend la délivrance des laissez-passer consulaires en France : plus aucun Algérien ne pourra être expulsé depuis la France

    Publié par Guy de Laferrière le 28 février 2023

    Dans la foulée du transfert d’Amira Bouraoui en France, Alger a décidé de stopper la coopération consulaire entre les deux pays. Un blocage qui pèse directement sur un sujet sensible, celui des reconduites à la frontière. 

    www.africaintelligence.fr


    Il y a de l’eau dans le gaz entre l’Algérie et la France, l’exfiltration rocambolesque de la militante Amira Bouraoui ne passe toujours pas à Alger. Le voyage du président Abdelmajid Tebboune à Paris, programmé en mai prochain, a été renvoyé aux calendes grecques, sans parler des autres préjudices subis par l’alliance algéro-française. Mais cette agitation politico-diplomatique n’impacte en rien la dynamique économique entre les deux pays, à en croire Romain Keraval, directeur en Algérie de Business France, l’agence chargée de dynamiser les entreprises françaises à l’international.

    (…) Tunisie Numérique