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france - Page 28

  • Tous les indicateurs de délinquance et criminalité en forte hausse pour 2022 avec + 8 % pour les homicides, + 15 % pour les coups et blessures volontaires, + 13 % pour l’usage de stupéfiants, + 11 % pour les violences sexuelles et les cambriolages

    Publié par Guy de Laferrière le 31 janvier 2023

    D’après des chiffres publiés par le ministère de l’Intérieur ce mardi, « la quasi-totalité des indicateurs de la délinquance enregistrée sont en hausse en 2022 par rapport à l’année précédente ».

    Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire ».

    Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 »

    Selon les chiffres disponibles, si les tendances s’observent partout en France, quelques départements contribuent particulièrement aux progressions, notamment « les Bouches-du-Rhône pour la hausse des vols dans les véhicules et le Nord pour la hausse des vols d’accessoires sur les véhicules ».

    Le Parisien via fdesouche

  • « La France, c’est un ennemi »: le vice-président de la Douma évoque la dégradation de la relation Moscou-Paris

    Publié par Guy de Laferrière le 26 janvier 2023

    Piotr Tolstoï, vice-président de la Douma, la chambre basse du parlement russe, affirme que la France est « un ennemi de la Russie » en apportant son soutien militaire à l’Ukraine.

    Ce proche de Vladimir Poutine affirme que les pays européens « empêchent les négociations » entre le Kremlin et Kiev.

     

  • La France malade du socialisme

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    Le mouvement enclenché en France contre la réforme des retraites est tout à la fois grotesque et consternant.

    Il est grotesque parce que la France apparaît une fois de plus pour ce qu’elle est : un pays où les grèves, les manifestations accompagnées parfois d’émeutes, font partie d’une sorte de folklore local qui n’existe, sous cette forme et à ce degré, dans aucun autre pays développé de la planète.

    Le réceptionniste d’un hôtel, où j’ai résidé lors d’un bref séjour en France au mois de novembre dernier et à qui je disais que je ne pouvais pas passer quelques jours en France sans être confronté à une grève, m’avait répondu que grèves et manifestations font partie des traditions françaises.

    Sa remarque m’avait fait sourire à l’époque et j’avais pensé qu’il avait raison.

    J’ai écrit dans un article, il y a quelques années, qu’il y avait en France deux saisons, celle allant de septembre au mois de juin de l’année suivante, la saison des grèves, et les mois de juillet et août, au cours desquels les grévistes se reposent ou partent en vacances pour reprendre des forces en vue des prochaines grèves – et la description à laquelle j’avais ainsi procédé me semble toujours pertinente.

    Le mouvement contre la réforme des retraites me paraît grotesque, oui.

    Il me paraît consternant aussi, parce qu’il repose (ce qui est très souvent le cas lorsqu’il y a des grèves en France) sur une ignorance de l’économie très répandue au sein de la population et au sein de la gauche politique. Et ce doit être dit et répété : le système de retraites français est en situation de faillite et ne peut pas être sauvé.

    La réforme que propose le gouvernement peut être comparée au célèbre emplâtre sur une jambe de bois, ou à un rafistolage très provisoire et vain.

    Le fondement du système est, je l’ai déjà dit, et je dois le répéter, ce qui s’appelle la répartition, mais il ne répartit pas : il prend aux uns pour donner aux autres, il distribue.

    C’est un système de redistribution qui ne dit pas son nom, et ce système relève de l’escroquerie. Il dit aux salariés qu’on prélève sur leurs salaires une cotisation pour leur propre retraite. En réalité, l’argent qu’on leur prend sert à payer les pensions des gens qui sont déjà à la retraite. Et les salariés en activité sont censés compter sur les salariés que seront en activité lorsqu’eux-mêmes partiront à la retraite.

    Il reste aux salariés en activité à espérer qu’il y aura encore assez de salariés à ce moment pour cela, et que les salaires de ces salariés seront suffisamment élevés pour que la retraite versée reste assez proche des chiffres qu’on leur annonce.

    La réalité est que ce n’est pas sûr et qu’il n’y aura probablement pas assez de salariés.

    Quand le système a été créé, il y avait environ 5 salariés pour un retraité. Il reste aujourd’hui 1,7 salarié pour un retraité. D’ici à 2035, il restera 1,5 salarié pour un retraité. Un calcul mathématique simple permet de comprendre que le poids du retraité sur les salariés est écrasant et que ce qui est prélevé sur les salaires aujourd’hui n’est pas du tout suffisant pour payer les retraites.

    Des artifices comptables permettent de maquiller les chiffres et de dissimuler la réalité qui est celle d’un puits sans fonds où la richesse qui subsiste dans le pays va continuer à s’engloutir.

    Quand je travaillais en France, il y a un quart de siècle, dans des cercles libéraux, on parlait d’un retour indispensable et urgent à un système de capitalisation, et on constatait aussi que proposer ce retour était politiquement impensable en France.

    Aujourd’hui, cela reste impensable, et il est de toute façon trop tard. Les grévistes ne pourront pas obtenir satisfaction, car les caisses sont plus que vides, et les déficits se creusent.

    Les dirigeants politiques qui disent le contraire pratiquent l’analphabétisme économique cynique et volontaire pour garder leurs électeurs.

    Le gouvernement français est dans une impasse. L’avenir de la France est sombre et désespérant. Je l’écris avec une infinie tristesse. Il y a longtemps que la France est malade du socialisme, et la maladie socialiste qui frappe la France a de nombreuses autres dimensions. Je crains fort que la maladie soit mortelle. J’éprouve de la pitié pour les pauvres Français qui vont devenir plus pauvres.

     

    Auteur

  • La Hongrie poursuit sa politique nataliste, la France fait le choix de l’immigration

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    polemia

    La Hongrie poursuit sa politique nataliste, la France fait le choix de l’immigration

    Par Marie d’Armagnac, journaliste et auteur de Matteo Salvini, l’indiscipliné ♦ Alors que les dirigeants européens, Macron en tête, considèrent que l’immigration est une fatalité face au déclin démographique, des résistants tentent de montrer qu’une autre voie est possible. C’est le cas de Viktor Orbán. Nous partageons ici à nos lecteurs un excellent point de situation publié sur Boulevard Voltaire par Marie d’Armagnac.
    Polémia

    Viktor Orbán poursuit sa politique nataliste : depuis le 1er janvier 2023, les femmes de moins de trente ans décidant d’avoir ou d’adopter un enfant sont exonérées d’impôts. Objectif : doper la natalité et ne pas avoir recours à l’immigration pour assurer le renouvellement des générations. L’an dernier, c’étaient les jeunes de moins de 25 ans qui étaient exonérés d’impôts et, il y a trois ans, les mères de quatre enfants et plus.

    Ces mesures rejoignent le corpus législatif, déjà consistant, d’une politique nataliste volontariste. Florilège : congé parental, réduction d’impôts, allocations familiales, prêt à taux zéro de 33.000 euros pour une naissance dans les cinq ans, aide financière conséquente pour l’achat d’un véhicule sept places dès trois enfants.

    En 2021 a eu lieu à Budapest le quatrième sommet mondial de la démographie, c’est dire si le sujet est d’importance. La politique retrouve ici ses lettres de noblesse : voir et agir pour la prochaine génération plutôt que pour les prochaines élections. Viktor Orbán qui, comme ses alliés du groupe de Visegrád, ne s’embarrasse pas de circonlocutions politiquement correctes, explique que le choix est simple : la démographie repose soit sur une immigration massive – telle que nous la vivons en France – soit sur une politique tournée résolument vers les berceaux. « Les politiques libérales et conservatrices s’affrontent également – ​​et s’engagent même dans une lutte à mort – sur la question des migrations », avait-il dit (propos rapportés par le Visegrád Post).

    Cette politique nataliste porte-t-elle des fruits ? Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années : en 2010, la Hongrie comptait 1,25 enfant par femme ; en 2021, 1,6 enfant par femme. C’est encore trop peu, mais une politique nataliste s’évalue sur le long terme, à l’aune d’une génération. Actuellement, la crise économique due en partie à la gestion de la crise sanitaire mais aussi aux conséquences des sanctions appliquées à la Russie fragilisent cette entreprise.

    Mais plus largement, au-delà même de la survie et de l’avenir d’un pays, cette politique nataliste a le mérite de mettre au centre des décisions politiques au sens noble un enjeu essentiel : le renouvellement des générations. Les mesures favorables aux familles sont la pierre angulaire du maintien de l’identité d’un pays mais aussi de la survie de son système social. Nous l’évoquions récemment, le Danemark a choisi pour cela de réduire drastiquement l’immigration.

    Le lien avec la problématique des retraites, sujet crucial non seulement en France mais partout dans une Europe vieillissante, est évident, naturel. Et pourtant, il semble que le sujet tabou de cette réforme française des retraites soit bien l’incitation à la natalité : comme l’explique Jean-Thomas Lesueur, directeur de l’Institut Thomas More dans une tribune parue dans Le FigaroVox« le système par répartition est fondé sur une solidarité intergénérationnelle qui se conjugue au présent immédiat. Les cotisations d’aujourd’hui servent à payer les retraites d’aujourd’hui. Pour se maintenir à l’équilibre et ne pas devenir écrasant pour les travailleurs, il a besoin d’un nombre important de cotisants. Les chiffres sont connus et répétés à l’envi à chaque nouvelle réforme: alors qu’on comptait plus de 4 cotisants pour 1 retraité en 1960, il y en a 1,7 aujourd’hui. »

    L’adoption d’une vraie politique familiale en France est d’une urgence vitale. En faisant le choix de toujours plus d’immigration, anarchique, sans contrôle et au détriment de la survie physique, morale et spirituelle des Français, le gouvernement actuel comme ceux qui l’ont précédé porte une responsabilité historique. La France a fait depuis longtemps le choix d’une politique d’aide sociale, de chèques-minutes, au détriment d’une politique familiale. Cela procède évidemment d’une vision postmoderne de la société, composée désormais d’individus atomisés, de moins en moins réunis en corps social. Le report de l’âge de la retraite, actuel pont de cristallisation, n’est qu’une arme de distraction médiatique massive.

    La Hongrie nous montre une voie opposant immigration et natalité autochtone. Bien loin de la petite case médiatique « extrême-droite-xénophobe » dans laquelle il est si pratique de l’enfermer, la politique menée par Viktor Orbán montre la nécessité d’agir sur le temps long, face à l’Histoire, pour le bien commun de l’ensemble de la société.

    Marie d’Armagnac
    15/01/2023

    Source : Boulevard Voltaire

  • Il y a 120 attaques au couteau chaque jour en France !

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    lafautearousseau

     

    Mohamed, âgé d'une vingtaine d'années, a blessé six personnes, dont une gravement, avec un poinçon, mercredi matin, Gare du Nord à Paris, avant d'être maîtrisé par des policiers qui l'ont blessé par balle. Il est "enregistré sous plusieurs identités dans le fichier automatisé des empreintes digitales alimenté par ses déclarations au cours de précédentes procédures dont il a fait l'objet", dit Madame le Procureur; et fait, comme tout le monde, aurait-on envie de dire, l'objet d'une OQTF. En somme, on pourrait dire aussi qu'il a ses "papiers" en règle !!!!!

    Darmanin n’a donc tiré aucune leçon du meurtre de Lola : encore un drame qu’on aurait pu éviter !
     
    Pire : on nous explique que l'assassin (aimablement appelé "assaillant" par les journaleux aux ordres) ne sera pas expulsé vers la Libye car le Système craint pour sa sécurité là-bas.
     
    Par contre, notre sécurité à nous, ici, ce Système pourri, qui a poubellisé  la France, s'en fiche éperdumment !

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    Il y a 120 attaques au couteau chaque jour en France ! Très courte vidéo (seize secondes) de Mohamed Amine (nom peut-être faux) qui attaque des passants, Gare du Nord, à Paris. 6 blessés...

    https://twitter.com/InstitutJustice/status/1613207304706424832?s=20&t=nkYzfmZNTGXiSBYUJsLgwQ