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france - Page 26

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 26 février 2023

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  • Les femmes immigrées de 45 ans à 60 ans originaires d’Afrique ou du Moyen-Orient et résidant en France en 2019-2020 ont eu en moyenne 2,85 enfants, contre 1,86 pour les femmes nées en France sans ascendance migratoire directe

    Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2021

  • Espionnage, lobbying, infiltration, drogue et immigration : comment le Maroc tient la France

    Publié par Guy de Laferrière le 20 février 2023

    Bien sûr, on s’espionne entre alliés. C’est même le moyen de savoir si l’autre est bien un allié. Mais le Maroc n’aurait pas « seulement » écouté Emmanuel Macron et certains de ses ministres. Il aurait aussi cherché à corrompre des eurodéputés.

    Le 19 janvier, pour la première fois de leur histoire, les eurodéputés ont taclé le royaume du Maroc, lui enjoignant de « respecter la liberté d’expression et la liberté des médias » et de « mettre un terme au harcèlement de tous les journalistes ». Ils en ont aussi profité pour dire combien ils étaient « profondément préoccupés par les allégations selon lesquelles les autorités marocaines auraient corrompu des députés au Parlement européen ».

    Une attaque en règle, aux antipodes des propos de l’ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier, qui, au lendemain de ce vote fort mal reçu du côté de Rabat, a clamé que « la résolution du Parlement européen n’engage aucunement la France ». Une manière de rappeler que, entre ces deux pays, ce n’est pas une histoire comme une autre, et ce, malgré les coups bas que le royaume inflige régulièrement à la République.

    CORRUPTION À BRUXELLES

    Loin de ce que sous-entend la dénomination de « Qatargate », tout est en effet parti de soupçons d’ingérence portant sur le Maroc. Ce dernier constitue bel et bien le point de départ des investigations lancées par les services de renseignement belge et désormais entre les mains de la justice de nos voisins d’outre-Quiévrain, laquelle enquête notamment pour corruption. L’enjeu : le royaume chérifien a-t-il corrompu des élus pour faire voter à Bruxelles des lois en sa faveur ? En France, cela n’émeut manifestement pas grand monde parmi nos politiques et leaders d’opinion…

    INFLUENCE ET INGÉRENCE

    À croire que le Maroc est dans notre pays comme chez lui. « Les services marocains se sont toujours mal comportés en France », glisse à Marianne un ponte du renseignement, qui rappelle l’affaire Ben Barka – chef de file de l’opposition marocaine au roi Hassan II, le père de l’actuel monarque –, lequel avait disparu en plein Paris à l’automne 1965. Et notre homme de poursuivre : « Les services marocains [la DGED] n’ont aucune pudeur en France, quand bien même ils sont pris la main dans le sac. Souvenez-vous de cet espion qui, identifié en 2016, avait notamment corrompu un membre de la police aux frontières pour se procurer des documents ulltraconfidentiels, comme des fiches “S” de personnes radicalisées. » On nous opposera que la France n’est pas un parangon de vertu. Certes. Il n’empêche, l’ancien protectorat déploie ses réseaux dans tous les rouages de la République, du sommet de l’État au conseil municipal d’Ivry-sur-Seine.

    (…) Marianne


    (…) Afin d’obliger le Maroc à reprendre ces clandestins, Emmanuel Macron avait décidé à l’automne 2021 de restreindre le nombre de visas délivrés ; et Mohammed VI, de jouer la rétorsion. À l’été 2022, Rabat a annulé le laissez-passer consulaire nécessaire à l’expulsion de l’imam marocain Hassan Iquioussen (prédicateur du nord de la France par ailleurs fiché « S ») pour des « propos incitant à la haine et à la discrimination ». Il a finalement été expulsé vers son pays par la Belgique, où il avait fui. Une politique de fermeté sur les visas, levée depuis, et qui n’a pas eu l’heur de faire véritablement fléchir notre ami le roi.

    PARCE QUE C’EST L’UNE DES PORTES D’ENTRÉE DE LA DROGUE VERS L’EUROPE

    Premier producteur mondial de résine de cannabis selon l’ONU, le Maroc devrait figurer au sommet de la « wanted list » du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui proclame régulièrement que « la lutte contre la drogue, partout sur le territoire, est une priorité ». Sollicité par Marianne, le ministère refuse pourtant tout commentaire sur sa coopération avec Rabat dans la lutte antidrogue, à l’instar de l’Office antistupéfiants (Ofast). Preuve que le sujet est sensible Place Beauvau. Et pour cause.

    (…) Marianne

  • Et vous, êtes-vous pour ou contre le port d’arme en France ? (VIDÉO)

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    Posté par Eric Martin

    Et vous, êtes-vous pour ou contre le port d’arme en France ? (VIDÉO)

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1625926470206881811

     

     

  • Ballons « espions » au-dessus du sol français : le grand flou

    Publié par Guy de Laferrière le 14 février 2023

    Après la crise sino-américaine déclenchée par le survol de ballons dits « espions » au-dessus des Etats-Unis, qu’en est-il de l’espace aérien français et de la présence potentielle de ces outils d’espionnage ?

    Contactée, l’armée de l’Air française n’est pas très à l’aise. Le dispositif radar hexagonale voit tout… sur une tranche de 0 à 20 kilomètres d’altitude. Au-delà, c’est plus compliqué.

    « Si on observe quelque chose au-dessus des 20 km, ce serait de manière opportune car, actuellement, nous n’avons pas de moyens dédiés à l’observation permanente de cette zone supérieure » confie Béatrice Hainaut, capitaine de l’armée de l’Air et de l’Espace, chercheuse à l’Irsem.

    Or les ballons « espions » peuvent voler à 40 km d’altitude. En d’autres mots, l’armée n’est pas en capacité d’assurer formellement l’absence ou non de ballon espion au-dessus de la tête des Français. De source interne, à l’armée de l’Air et de l’Espace, cette situation préoccupe. 

    Le Progrès via fdesouche