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france - Page 24

  • Les enlèvements et séquestrations, souvent liés au trafic de drogue, se multiplient en France

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

    Les enlèvements en plein jour suivis de séquestration ont considérablement augmenté ces derniers mois dans l’Hexagone. Ils concernent généralement des personnes impliquées dans le trafic de drogue et n’épargnent aucune région du pays.

    Un jeune homme frappé, brutalisé et sous la menace d’une arme, jeté de force dans le coffre d’une voiture par quatre agresseurs masqués. La scène se déroule en plein jour, le 8 janvier dernier, à Villeparisis (Seine-et-Marne). Au cours de l’enquête, les policiers retrouvent la victime à son domicile à l’autre bout de la région parisienne. Elle n’a pas souhaité déposer plainte. À Marseille (Bouches-du-Rhône), mais aussi un peu partout en France, les affaires de séquestration se sont multipliées ces dernières années. 128 ont été comptabilisées en 2022, soit une tous les trois jours en moyenne.

    L’enlèvement est une violence souvent destinée à régler des conflits dans le milieu des narco-trafiquants. “Le mobile d’un enlèvement-séquestration est, dans la très grande majorité des cas, lié au trafic de stupéfiants. Il s’agit de recouvrer une dette, de régler un contentieux au sujet de marchandises qui n’ont pas été livrées, qui n’ont pas été payées ou qui ont été volées“, explique Yann Sourisseau, chef de l’Office centrale de lutte contre la criminalité organisée. Pour les victimes, ces méthodes peuvent parfois s’avérer de simples avertissements, visant à leur faire peur.

    francetvinfo via fdesouche

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 12 mars 2023

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  • Immigration illégale : le Royaume-Unis va verser à la France, sur trois ans, 550 millions d’euros pour la surveillance des côtes de la Manche

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mars 2023

    Ce vendredi 10 mars, la France et l’Angleterre ont conclu un accord pour mettre un frein à l’immigration illégale lors du sommet franco-britannique à Paris. Une réunion de “retrouvaille, reconnexion, et nouveau départ” a dit le président Emmanuel Macron, où il a beaucoup été question des migrants qui veulent traverser la Manche sur des bateaux de fortune. En 2022, 46.000 migrants ont réussi gagner les côtes anglaises de manière clandestine. Le Royaume-Uni va contribuer à hauteur de 550 millions d’euros, avec 500 agents supplémentaires sur les côtes françaises, un nouveau centre de rétention va être installé dans le Nord Pas-de-Calais.

    Lors de cette réunion, le premier ministre Britannique Rishi Sunak a annoncé qu’au cours des trois prochaines années, le Royaume-Unis va contribuer à hauteur de 550 millions d’euros pour la lutte contre l’immigration clandestine. 500 agents supplémentaires vont ainsi patrouiller sur les plages françaises. Des drones et d’autres technologies de surveillance vont être mis en place pour augmenter le taux d’interception. Pour lutter contre la présence de migrants à Calais ou Grande-Synthe, il faut plus de coopération entre la France et l’Angleterre, estime Emmanuel Macron.

    Un nouveau centre de rétention administrative va être installé dans le Nord-Pas-de-Calais comme l’a confirmé le ministère de l’Intérieur à France Bleu Nord. Le lieu reste à déterminer. Le président Emmanuel Macron a souligné que les deux pays voulaient “avancer de concert” dans la lutte contre l’immigration irrégulière tout en ayant “conscience des enjeux humains” et de “l’extrême sensibilité de ces sujets”.

    France Bleu via fdesouche

  • « Le christianisme demeure la première cible des actes antireligieux en France comme en Europe » : une vingtaine de personnalités appellent l’Union européenne à réagir

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    Deux religieuses du quartier Bouffay, à Nantes, vont quitter la ville, épuisées par l’insécurité. Si la montée inquiétante de la violence contre les religions touche l’ensemble des croyants, le christianisme demeure la première cible des actes antireligieux en France comme en Europe. Dans une tribune collective, une vingtaine de personnalités appellent l’Union européenne à réagir et rappellent que tous les actes antireligieux doivent être combattus avec la même force.

    (…)

    Pourquoi, dans un courrier du 11 novembre 2022 en réponse à une demande formulée à ce propos par l’association La France en partage, la Commission européenne a-t-elle explicitement confirmé son refus de désigner un coordinateur en charge de la lutte contre les actes antichrétiens?

    Pourquoi refuse-t-elle ainsi d’ouvrir les yeux sur une réalité certes déplaisante, mais dont attestent les statistiques et l’expérience quotidienne de nombreux Français? Que justifie ce «deux poids, deux mesures» dont on doit bien reconnaître qu’il constitue une discrimination à l’égard de la communauté chrétienne? L’Union européenne ne doit pas oublier que les valeurs communes qui la fondent sont l’égale protection des individus.

    L’Europe serait-elle à ce point mal à l’aise avec la protection de l’identité héritée de son histoire qu’elle refuserait de voir en face la montée des actes antichrétiens?

    Ce qui se joue ici, c’est l’égale garantie des libertés fondamentales de pensée et de croyance en Europe. Mais c’est aussi, dans l’indifférence coupable des pouvoirs publics, le maintien du lien avec ce qui a fondé la culture européenne elle-même, du monachisme des origines aux douze étoiles de son drapeau. Et, avec elle, la pérennité d’un élément essentiel de notre civilisation.

    (…)

    Signataires: Carine Chaix, avocate à la cour, présidente de l’association La France en partage ; Alban du Rostu, directeur général du Fonds du bien commun ; Jérôme Bascher, sénateur, vice-président du groupe France Saint-Siège au Sénat ; Henri de Beauregard, avocat à la cour ; Jérôme Besnard, juriste et essayiste ; Olivier Bonassies, auteur, directeur de l’association Marie de Nazareth ; Loris Chavanette, historien ; Typhanie Degois, ancienne députée LREM ; Denis Duverne, président de l’association Saint-Jean de Passy ; Maxime Bonassies, responsable de l’association M de Marie ; Michel Degoffe, professeur de droit public ; Thomas Delenda, directeur de l’association Hozana ; Jean-Michel Fauvergue, romancier, ancien député LREM ; Julien Le Page, président de SOS Calvaires ; Charles Prats, vice-président de l’Association professionnelle des magistrats ; Gregor Puppinck, juriste, directeur du think-tank ECLJ ; Jean-Bernard Prim, délégué général de l’Alliance Siméon ; Thierry Rambaud, professeur de droit public, avocat à la cour ; Frédéric Rouvillois, professeur de droit public, délégué général de la Fondation du Pont-Neuf ; Joseph Macé-scaron, écrivain ; Nicola Speranza, secrétaire général de la FAFCE.

    Le Figaro via fdesouche

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

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