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habitants

  • Laigneville (60) : des casseurs éjectés par des habitants

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

    Laigneville (60) : des casseurs éjectés par des habitants

    Vendredi, une vingtaine de voyous cagoulés ont entrepris de dresser une barricade de feux de poubelles sur un rond point et les gendarmes ont été reçus par des tirs de mortiers d’artifice et des jets de pierres.

    Ce sont 6 jeunes adultes de la commune qui sont intervenus pour « botter le cul des gamins et reprendre le contrôle du rond-point » raconte le maire de la commune. Le maire est très fier de cette réaction de jeunes « que je connais bien ».

    Ils ont bien conscience que si des dégâts sont commis dans leur ville, eux et leurs familles seront les premiers pénalisés. Ce qu’on a vécu à Laigneville est le contraire absolu de toutes les images qu’on voit en ce moment.

    De même à Lorient, vendredi, une trentaine de personnes encapuchonnés, cagoulés et vêtus d’habits sportifs ont interpellé des émeutiers. Plusieurs vidéos attestent d’interpellations musclées d’émeutiers, menottés avec des serres-flex, et qui s’égosillent en criant leur innocence. Vitupérations qui ne semblent pas convaincre les «anti-casseurs» qui les remettent aux forces de l’ordre. Les forces de l’ordre ont expliqué ne pas connaître ces «anti-casseurs» qui se sont présentés spontanément pour les aider. Une aide qui n’est d’ailleurs pas illégale. «Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche», précise l’article 73 du code de procédure pénale.

    La reconquête des zones d’occupation passera par la coopération entre les forces de l’ordre et les Français.

     

    Source : lesalonbeige

  • Mariupol, les habitants accusent… mais qui? Regardez

    Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2022

     

  • À Lattes (34), de jeunes délinquants terrorisent les habitants : “Les victimes sont menacées, détroussées et frappées au hasard (…) L’un des meneurs est fiché S” (MàJ : riverains et commerçants lancent une pétition)

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2022

    fdesouche

    21/04/2022

    Des résidents et des commerçants de la place Jacques d’Aragon et de Port Ariane, à Lattes, lancent une pétition ce mercredi, pour alerter sur l’insécurité jugée inquiétante.

    Des résidents et des commerçants de la place Jacques d’Aragon et de Port Ariane, à Lattes, au sud de Montpellier, lancent une pétition ce mercredi, pour alerter sur l’insécurité jugée inquiétante. « Ce n’est pas un sentiment, c’est une réalité que nous vivons au quotidien et qui devient insupportable », assure un habitant, ex-commerçant pendant de longues années : « Il y a peu, j’ai assisté à une agression de la bande de jeunes qui installe la terreur place d’Aragon, le meneur est violent. Je me suis renseigné, on m’a dit qu’il serait un fiché S et qu’il était récemment sorti de prison ».  Et de dresser ce constat : « Si moi je possède ces renseignements, qu’on ne me dise pas que la police nationale n’est pas au courant ». Il s’interroge : « Pourquoi les enquêtes ne progressent pas après des signalements et des plaintes ? ».

    (…) Selon nos informations, alerté de cette fronde, le maire de la commune Cyril Meunier qui demande en permanence aux policiers municipaux d’être vigilants, ce qui se traduit par des patrouilles diurnes et nocturnes renforcées, devrait être présent ce mercredi soir place Jacques d’Aragon pour apaiser la colère et échanger avec ceux qui sont à l’origine de la pétition.

    (…) Actu.fr

    (Merci à Blaireau Bondissant)


    14/04/2022

    À Lattes, aux portes sud de Montpellier, de jeunes délinquants violents imposent leur loi sur la place Jacques Aragon : commerçants, clients, piétons et usagers du tramway ont peur

    « Depuis ces dernières semaines, les victimes choisies au hasard sont terrorisées, les commerçants sont à bout, le restaurant et le pressing sont dégradés volontairement, mais ce groupe de jeunes âgés de 15 à 20 ans, va plus loin que des actes de vandalisme : des victimes sont menacées, détroussées et frappées si elles résistent, ce sont des comportements de voyous », confirme un témoin à Métropolitain.

    Les victimes qui craignent des représailles ont signalé les faits à police-secours, via le 17 et le bureau mixte de police (nationale et municipale) de Lattes, situé, pour l’anecdote, à 150 mètres de la place Aragon. « Les policiers municipaux sont très réactifs, ils ne cessent d’intervenir, de contrôler ces délinquants qui résident à Lattes pour certains, dans des cités de Montpellier pour les autres, mais, pas la police nationale, on dirait qu’ils sont aveugles et sourds. Ils attendent que l’un d’entre-nous fassent justice ? », dénonce un commerçant très remonté.

    (…) La colère va crescendo place Jacques Aragon, à Lattes. Elle est bien remontée à la mairie où le message a été reçu cinq sur cinq la police municipale faisant son travail, mais pour ce qui est de la police nationale, dont les communes de Lattes et de Pérols font partie de la circonscription de Montpellier, c’est une autre histoire. « Mais que fait la police nationale ? Déjà, la nuit, les interventions d’urgence sont assurées par la patrouille de la police municipale et quand la situation devient grave et difficile à gérer, les trois agents obtiennent quelquefois des renforts, notamment de la brigade anticriminalité, la Bac », assure un Lattois bien informé.

    (…) Actu.fr

  • Pessac (33) : Les habitants ne veulent pas d’un centre de rétention pour migrants derrière leurs pavillons. “La mobilisation contre ce projet est très forte (…) C’est inadmissible”

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2022

    Des habitants du quartier du Monteil à Pessac, près de Bordeaux, se mobilisent après avoir appris l’existence d’un projet de construction d’un Centre de rétention administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire

    La patate chaude pourrait vite devenir incandescente, surtout en période électorale. Les habitants du quartier du Monteil, à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux, ont appris il y a quelques jours l’existence d’un projet de Centre de Rétention Administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire, d’ici à 2024. La préfecture a lancé les premiers marchés publics pour la réalisation de l’infrastructure, d’un montant d’environ 20 millions d’euros. (…)

    « La mobilisation est très forte »

    La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans le quartier, dont les habitants se sont mobilisés en un temps record. Une première manifestation a eu lieu mardi, et une réunion publique est organisée ce lundi en vue de monter un collectif. « Le quartier du Monteil c’est 6.000 habitants, dont 3.000 rien que sur ce secteur, prévient Jean-Claude Juzan, président du comité de défense et des fêtes des quartiers du Monteil. Et la mobilisation est très forte. »

    Pas une démarche « politique »

    Si les CRA font régulièrement l’objet de critiques concernant les conditions de rétention des étrangers qui y sont maintenus, les habitants ne souhaitent pas se positionner dans ce débat, précisant que leur mouvement « n’est pas politique ». Ils s’élèvent contre un projet « qui n’a rien à faire dans un secteur pavillonnaire ». Le bâtiment principal serait installé en bordure du lotissement Monbalon 1, et le parking en bordure des pavillons du lotissement Village de Madran.

    « Pour nous, poursuit Jean-Claude Juzan, c’est inadmissible par rapport aux nuisances que cela va engendrer, notamment la destruction d’un petit bois pour en faire un parking, la bétonisation des sols, et par répercussion le volume de véhicules dans ce secteur, sans parler du bruit. Pourquoi ne le fait-on pas aux abords de l’aéroport, ce qui est le cas généralement pour les autres CRA ? Il y a une vraie crainte de la part des résidents de subir une dévalorisation de leurs biens. »

    20 minutes

     

  • Coronavirus. En visite en Seine-Saint-Denis, Macron déclare que «les habitants respectent le confinement de manière remarquable»

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2020

    Par  le 07/04/2020

    Le président de la République, Emmanuel Macron, s’est rendu dans un centre médical de Seine-Saint-Denis. Le département est l’un des plus touchés par la crise du coronavirus.

    Emmanuel Macron a remercié mardi les habitants qui respectent le confinement et a été interpellé sur le manque d’équipements pour les soignants, en visitant une maison de santé en Seine-Saint-Denis, l’un des départements les plus touchés par l’épidémie de coronavirus.

    «Dans un département où il y a beaucoup de pauvreté, les habitants respectent le confinement de manière remarquable. Vraiment, je les en remercie», a déclaré le chef de l’État peu après son arrivée à la Maison de santé pluridisciplinaire de Pantin.

    Un responsable lui a expliqué qu’ils manquaient de certains équipements de base, avec de grosses difficultés pour les surblouses. Je n’en n’ai pas assez, a témoigné une infirmière, en indiquant qu’elle lavait ses deux blouses tous les soirs pour les porter à tour de rôle. Emmanuel Macron lui a répondu qu’elles faisaient un travail formidable et que l’État cherchait à les soulager en démultipliant la production et les importations. […]

    ouest-france via fdesouche