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incendie - Page 5

  • Gers : Incendie criminel et satanique dans la cathédrale d’Eauze ?

    Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2019

     le 

    Incendie criminel et satanique dans la cathédrale d’Eauze ?

    Cette cathédrale Saint-Luperc d’Eauze a conservé son titre bien que le diocèse d’Eauze ait disparu dès le IXe siècle. Elle est désormais une église catholique de la paroisse Notre-Dame-de-la-Gélise, rattachée à l’archidiocèse d’Auch. L’incendie, assurément criminel, a été commis le 11 novembre, et il est peut-être dû à des satanistes.

    Un crucifix, normalement placé derrière l’autel de messe, se retrouve à l’envers. Sur une porte close, à l’extérieur de l’édifice, écrite au stylo, une inscription : « Satan est plus fort que Dieu Ah Ah ».

    Pour le maire, Michel Gabbas,

    « il y a pas mal d’indices qui font penser à un acte sataniste ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Incendie à Castres : les voitures étaient-elles piégées pour blesser les pompiers?

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-là
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-làPhoto DDM, P.B.
    Les pompiers ont déposé plusieurs plaintes suite à leur intervention de la nuit du 27 au 28 octobre. Les véhicules auraient été piégés. "Des dispositifs" auraient été placés dans les voitures afin d’exploser lors des interventions des forces de sécurité, indiquent des représentants syndicaux des sapeurs-pompiers.

    Depuis plusieurs semaines, les pompiers ont dû intervenir à plusieurs reprises à Castres, pour des feux de poubelles et de voitures. Ces incidents ont pour point commun des représailles à des actions de la police et de la justice contre des trafics commis dans ces quartiers. Le maire de Castres Pascal Bugis était sorti de son silence, pour fustiger le «laxisme des services de l’Etat».

    Dans la nuit du dimanche 27 au lundi 28 octobre à Castres (Tarn), dans le quartier de Lameilhé, rue Goya,  quatre voitures et trois poubelles ont été incendiées entre 19h et 0h30, nécessitant de nouveau l’intervention des sapeurs-pompiers. Deux ont été blessés au cours de cette nuit. L’un relativement légèrement, l’autre plus sérieusement, aux tympans, avec 15 jours d’ITTà la clé (interruption totale de travail).

    Plaintes déposées

    Plusieurs plaintes ont été déposées, par les pompiers blessés et le SDIS81 (service départemental d’incendie et de secours). "Les voitures auraient été piégées, avec l’intention de blesser les pompiers", selon Damien Garel du syndicat autonome des pompiers du Tarn (SPP-PATS) et porte-parole de l’intersyndicale CGT. «Il y avait clairement une intention de blesser les intervenants. Ça ne fait aucun doute. Il y avait dans plusieurs véhicules des dispositifs qui n’ont rien à faire dans une voiture, sinon pour blesser des gens», s’insurge le représentant syndical. «Pour les sapeurs-pompiers qui sont intervenus ce soir-là, il n’y a pas de doute : ils ont bien été victimes d’un acte de malveillance.  Les collègues sont particulièrement inquiets».

    L’enquête se poursuit pour retrouver les auteurs

    Si des plaintes ont bien été déposées, c’est l’enquête qui déterminera si ces dispositifs étaient là volontairement pour blesser les sapeurs-pompiers. Entendus par les enquêteurs, les propriétaires des voitures incendiées ont précisé que les engins explosifs, à savoir des bombes aérosols, ne leur appartenaient pas et avaient été placés par un tiers.

    «C’est maintenant à la justice de faire son travail, et nous avons toute confiance. À chaque fois que des collègues sont blessés, la réponse pénale est adaptée, les agresseurs sont toujours sévèrement punis. Encore faut-il bien sûr arrêter les coupables», ajoutait hier Damien Garel.

    Un communiqué du syndicat autonome circule depuis plusieurs jours, demandant aux sapeurs-pompiers en intervention de rester vigilent suite à ces incidents.

     
    Ra. B.
     
     
    Source : ladepeche.fr
  • L’incendie d’une église grenobloise était bien criminel : France 3 supprime un article qui accusait l’ « extrême-droite » de fake news (MàJ: France 3 tente de se justifier)

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2019

    Par  le 10/10/2019

    10/10/19

    Non, France 3 n’a censuré aucune information sur l’incendie de l’église Saint-Jacques à Grenoble

    La rédaction de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes est mise en cause sur les réseaux sociaux par des groupuscules nous attaquant sur notre traitement de l’incendie de l’église Saint-Jacques à Grenoble, en janvier. Si l’un de nos papiers a été temporairement dépublié, il ne s’agit pas d’une censure.

    […]

    Parmi ceux qui nous accusent de diffuser des « fake news », Pierre Sautarel, administrateur du blog d’extrême droite « F de Souche », a pointé la suppression de l’un de nos articles intitulé « Non, l’église Saint-Jacques de Grenoble n’a pas été incendiée volontairement en janvier »

    […]

    Cet article, publié le 19 avril par l’un de nos journalistes, a effectivement été dépublié de manière conservatoire ce lundi 7 octobre au vu de la récupération dont il faisait l’objet par ces mêmes auteurs sur les réseaux sociaux et à la lumière des nouvelles conclusions de l’enquête.

    […]

    Nous maintenons toutefois son contenu : il était erroné de laisser penser, à cette époque, que l’incendie de l’église Saint-Jacques était d’origine criminelle puisqu’aucun élément de l’enquête n’attestait cette thèse.

    […]

    La dépublication de l’article n’était en aucun cas un acte de censure ou une tentative de désinformation mais bien une mesure d’urgence pour ne pas induire nos lecteurs en erreur.

    […]

    France 3


    La chaîne assure avoir «momentanément dépublié» un article et plaide la bonne foi. De nouveaux éléments de l’enquête sur l’incendie d’une église à Grenoble sont venus contredire ce qui avait été écrit précédemment.

    (…) Checknews

    9/10/19

     

    Source : fdesouche

  • Incendies en Amazonie : Une photo fake news diffusée par Macron

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2019

    Par  le 23/08/2019

    La photo relayée par le président pour s’alarmer des flammes qui ravagent la forêt tropicale a été prise il y a plusieurs décennies.

    « Notre maison brûle. Littéralement. » Jeudi soir, Emmanuel Macron réagit sur Twitter à propos des incendies qui ravagent actuellement l’Amazonie. Son tweet est accompagné d’une photo montrant un épais nuage de fumée s’élevant au-dessus d’une forêt. Le cliché a largement été relayé par nombre d’internautes et célébrités pour illustrer la catastrophe naturelle. Mais problème, s’il s’agit bien de la forêt amazonienne, le feu n’est pas celui qui la dévaste ces derniers jours.

    Contactés par BFMTV, les services du palais présidentiel ont déclaré qu’ils l’avaient choisi en « connaissance de cause », faute d’images de la catastrophe actuelle.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • L’incendie de Notre-Dame, quel qu’en soit l’origine, serait donc un message envoyé par la Vierge

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2019

     le 

    L’incendie de Notre-Dame, quel qu’en soit l’origine, serait donc un message envoyé par la Vierge

    De Reynald Secher dans l’Homme Nouveau à propos de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris :

    […] La cathédrale Notre-Dame de Paris est un édifice marial qui assure la protection de la Vierge à la France. L’incendie, quel qu’en soit l’origine, serait donc un message envoyé par la Vierge : la destruction de la toiture, dont la charpente en bois était un hommage à Joseph, le charpentier, signifierait que cette protection est retirée aux Français parce qu’ils sont devenus infidèles. D’où la destruction de l’autel moderne, symbole de la dénaturation de l’Église comme l’a démontré Guillaume Cuchet à travers son ouvrage Comment notre monde a cessé d’être chrétien (Seuil). À l’inverse, si elle revient à la pratique traditionnelle et à l’amour inconditionné du Christ, la France serait de nouveau protégée. En témoignerait le fait que le chœur n’a subi aucun dommage. Il était d’ailleurs stupéfiant de voir dans l’intensité de l’incendie, puis la noirceur de l’édifice, la lumière jaillissant de la croix du Christ portée par la Pietà. Il est aussi à noter que les statues de bronze des douze apôtres et des quatre évangélistes qui ornaient la flèche avaient été retirées la semaine précédant l’incendie et qu’elles ont donc été préservées. Imaginons qu’elles soient restées en place. En raison de leur volume et de leur poids, leur chute aurait pu causer des dégâts considérables notamment au niveau des voûtes et des superstructures de l’édifice. Dernier fait marquant, le coq placé au sommet de la flèche, qui symbolise saint Pierre, premier pape et Père de l’Église, et qui contenait des reliques majeures (une épine de la Sainte Couronne, des reliques de sainte Geneviève et de saint Rémi), a été retrouvé intact, simplement « cabossé » au dire de l’architecte.

    À chacun d’en tirer les conclusions.

     

    Source : lesalonbeige