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extrême droite

  • Marine Le Pen: “Je ne suis pas d’extrême-droite”

    Publié par Guy de Laferrière le 19 mars 2023

    Marine Le Pen était l’invitée du “European-American Press Club”, le 2 mai, à quelques jours du deuxième tour de la présidentielle. M. Le Pen a sans surprise confirmé son intention de voter blanc mais refuse de

    “porter le chapeau d’une défaite potentielle de Nicolas Sarkozy. J’ai dit clairement que je considérais que l’un valait l’autre par leur volonté de renforcer le fédéralisme européen et leur refus d’arrêter l’immigration. Leur politique sera la même”. (…)

    La normalisation du parti reste visiblement la priorité de Marine Le Pen. Je ne suis pas d’extrême-droite, je suis la représentante d’un parti national et patriote.

    Je dénie et refuse ce terme d’extrême-droite volontairement péjoratif qui a été utilisé par des organes de presse pour nous mettre dans des sacs avec des gens infréquentables,

    a-t-elle déclaré. Marine le Pen n’exclut d’ailleurs pas de changer le nom du parti: “si le Rassemblement bleu marine est un succès, nous nous poserons la question de le perpétuer”.
    Nonfiction via fdesouche

  • La formule magique pour tout faire gober...

    Publié par Guy de Laferrière le 19 mars 2023

    synthesenationale

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    "Toutes les nations à direction démocratique en sont là : tout esprit critique, toute pensée personnelle sont détruits. Il suffit que soient prononcés les mots-clefs pour déclencher le réflexe conditionné prévu et supprimer tout raisonnement."
     
    Dominique Venner
  • Marin Karmitz, fondateur des cinémas MK2 : « Je préfère être riche et de gauche que pauvre et d’extrême droite »

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    Marin Karmitz, né en Roumanie, en 1938, devenu réalisateur puis distributeur et producteur, après des débuts rocambolesques et militants, s’est taillé une part de lion dans l’industrie du cinéma. Aujourd’hui, il se consacre à sa fabuleuse collection d’art, en particulier de photos, en homme d’images qu’il a toujours été.

    (…)

    La rage de ma mère contre la bourgeoisie qu’incarnait la famille de mon père, contre le fric, contre ce mariage forcé, je l’avais complètement faite mienne. J’étais très actif contre la guerre d’Algérie et j’ai été arrêté après une manifestation. Quand mon père est venu me chercher au commissariat et qu’on lui a dit que j’étais communiste, ç’a été une douleur terrible pour lui. Il a vécu comme une trahison que j’aille du côté de ceux qui avaient détruit sa vie. J’ai mis longtemps à le comprendre. Sur le moment, je ne voyais que la rupture de ma solitude en intégrant ce groupe de lycéens communistes du lycée Carnot, dont j’appréciais la solidarité. J’ai dû quitter le PCF assez vite, car j’étais trop engagé en faveur de l’Algérie au goût des communistes qui, du coup, m’ont mis de côté.

    Comment conciliez-vous le fait d’être de gauche et très fortuné ?

    Je préfère être riche et de gauche que pauvre et d’extrême droite.

    (…) Le Monde via fdesouche

  • Sous pression de l’extrême-droite, le maire de Toulouse “réoriente” une lecture pour enfants animée par des drag-queens

    Publié par Guy de Laferrière le 24 janvier 2023

    L’extrême-droite dénonce une lecture pour enfants dans une médiathèque de Toulouse (Haute-Garonne) par deux drag-queens. L’événement prônant le respect d’autrui provoque une vague de haine. Jean-Luc Moudenc modifie l’atelier “dans un souci d’apaisement”.

    (…)

    La publication d’une pétition “contre les lectures drag à l’intention des jeunes enfants” lancée par Furie Française, groupuscule né des cendres toulousaines de Génération identitaire, a accéléré la mobilisation. La pétition, désormais supprimée, comptait, lundi 23 janvier 2023, près de 5000 signatures, entraînant dans son sillage une vague de réactions indignées et d’insultes particulièrement violentes sur les réseaux sociaux : “ignominie”, “pédophiles gauchistes”, “erreurs de la nature”, “dépravation”. 

     

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1601285377980932096

    (…)

    “Ce choix de programmation – qui n’a donné lieu à aucun visa ou aval de la part des élus – peut déstabiliser une partie du public. Ce n’est évidemment pas la volonté de la Collectivité” explique la mairie de Toulouse qui compte parmi ses adjoints, Jean-Baptiste De Scorraille, figure toulousaine de la Manif pour tous en 2014 et représentant de la frange la plus conservatrice de la majorité municipale.

    Mais en même temps, la municipalité tient à préciser : “qu’elle condamne fermement toute forme d’extrémisme, de menace ou d’expression discriminatoire envers Shanna Banana et Brandy Snap, qui interviennent dans l’atelier en cause. Jean-Luc Moudenc, Maire de Toulouse et Président de Toulouse Métropole, demandera par ailleurs à Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, la dissolution du mouvement “Furie Française”, à l’origine des menaces et du trouble à l’ordre public.”

    France 3 Occitanie via fdesouche

  • Lyon : l’extrême gauche pleurniche auprès de Moussa Darmanin après l’agression de militants LFI par des identitaires

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Allo, Moussa, bobo, les identitaires c’est pas des rigolos…

    Une enquête a été ouverte mardi au lendemain de l’agression présumée de militants insoumis – LFI – qui distribuaient des tracts demandant «la fermeture des locaux fascistes» dans le vieux Lyon, fief historique de l’ultra-droite locale.

    Le maire écologiste de Lyon Grégory Doucet a annoncé sur Twitter avoir saisi la justice, qui a confirmé l’ouverture d’une enquête pour «violences par pluralité d’auteurs».

    La fédération rhodanienne de La France insoumise a indiqué dans un communiqué que plusieurs de ses militants avaient été agressés dans le quartier du vieux Lyon (centre-ville), alors qu’ils distribuaient des tracts visant à dénoncer «la violence des groupuscules d’extrême-droite».

    «Plusieurs individus violents sont arrivés en courant et hurlant des slogans nationalistes et fascistes. Ils ont tabassé un jeune camarade à coups de pied et poing», a affirmé LFI 69, précisant qu’une «jeune militante» qui tentait de s’interposer avait été «bousculée et projetée au sol».

    En pleurnichant, ils appellent Moussa Darmanin au secours et demandent à être reçus «en urgence» pour dénoncer au ministre de l’Intérieur, le spécialiste des dissolutions à droite,  «les agissements violents des identitaires lyonnais».

    De son côté, le maire de Lyon a de nouveau appelé à «fermer» les locaux où se réunissent des militants d’extrême droite, le bar associatif «La Traboule» connu comme un fief des nostalgiques de Génération identitaire – dissous en 2021 par notre cher Moussa – et la salle de boxe «L’Agogé» qui se présente comme «la première salle de sport identitaire de France».

    Suite à ces récents évènements, la préfecture du Rhône a interdit une manifestation prévue jeudi par les identitaires, ce rassemblement organisé traditionnellement le premier soir de la Fête annuelle des Lumières étant selon les autorités «susceptible de générer de sérieux troubles à l’ordre public».

    Voilà des gens incapables de faire régner l’ordre dans les territoires occupés par les islamistes, mais toujours prompts à courir sus aux patriotes. Forts avec les faibles, faibles avec les forts.

    Tout cela se terminera comme pour les collaborateurs du Camp des saints de Jean Raspail…

    Sources : AFP / Le Figaro / Twitter mairie de Lyon