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migrants - Page 16

  • Pessac (33) : Les habitants ne veulent pas d’un centre de rétention pour migrants derrière leurs pavillons. “La mobilisation contre ce projet est très forte (…) C’est inadmissible”

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2022

    Des habitants du quartier du Monteil à Pessac, près de Bordeaux, se mobilisent après avoir appris l’existence d’un projet de construction d’un Centre de rétention administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire

    La patate chaude pourrait vite devenir incandescente, surtout en période électorale. Les habitants du quartier du Monteil, à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux, ont appris il y a quelques jours l’existence d’un projet de Centre de Rétention Administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire, d’ici à 2024. La préfecture a lancé les premiers marchés publics pour la réalisation de l’infrastructure, d’un montant d’environ 20 millions d’euros. (…)

    « La mobilisation est très forte »

    La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans le quartier, dont les habitants se sont mobilisés en un temps record. Une première manifestation a eu lieu mardi, et une réunion publique est organisée ce lundi en vue de monter un collectif. « Le quartier du Monteil c’est 6.000 habitants, dont 3.000 rien que sur ce secteur, prévient Jean-Claude Juzan, président du comité de défense et des fêtes des quartiers du Monteil. Et la mobilisation est très forte. »

    Pas une démarche « politique »

    Si les CRA font régulièrement l’objet de critiques concernant les conditions de rétention des étrangers qui y sont maintenus, les habitants ne souhaitent pas se positionner dans ce débat, précisant que leur mouvement « n’est pas politique ». Ils s’élèvent contre un projet « qui n’a rien à faire dans un secteur pavillonnaire ». Le bâtiment principal serait installé en bordure du lotissement Monbalon 1, et le parking en bordure des pavillons du lotissement Village de Madran.

    « Pour nous, poursuit Jean-Claude Juzan, c’est inadmissible par rapport aux nuisances que cela va engendrer, notamment la destruction d’un petit bois pour en faire un parking, la bétonisation des sols, et par répercussion le volume de véhicules dans ce secteur, sans parler du bruit. Pourquoi ne le fait-on pas aux abords de l’aéroport, ce qui est le cas généralement pour les autres CRA ? Il y a une vraie crainte de la part des résidents de subir une dévalorisation de leurs biens. »

    20 minutes

     

  • “C’est un ghetto” : à Chypre, un maire dénonce la présence de centaines de migrants syriens dans sa petite ville et souhaite leur départ

    Publié par Guy Jovelin le 10 février 2022

    «C’est un ghetto». À Chypre, un maire dénonce la présence de centaines de migrants syriens dans sa petite ville et souhaite leur départ. Mais ces demandeurs d’asile, qui louent des appartements dans un complexe touristique, craignent ne pas pouvoir obtenir de logement ailleurs.

    «Nous avons un problème démographique», lance sans détour le maire de Chloraka, Nicholas Liasides. «Pour le résoudre, il faut répartir ces réfugiés à travers l’île», plaide-t-il. Dans cette petite ville de 7000 habitants, situé dans l’ouest de Chypre, le nombre de réfugiés, des Syriens la plupart, est passé de 800 à 1700 en trois ans, représentant environ un quart de la population.

    À l’image de Chloraka, l’île méditerranéenne, membre de l’Union européenne, a vu une arrivée massive de migrants ces dernières années, en majorité des Syriens fuyant la guerre dans leur pays, situé à moins de 100 km des côtes chypriotes.

    Le Figaro via fdesouche

  • Arles : Auteurs de 70 vols et cambriolages en 3 mois, ces trois migrants clandestins récidivistes sous le coup d’une OQTF sont remis en liberté après 48h de garde à vue

    .Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2022

    Arles : trois clandestins interpellés pour 70 vols

    Une opération de la compagnie de gendarmerie d’Arles a permis l’interpellation de trois individus soupçonnés de très nombreux cambriolages et vols à la roulotte.

    Selon les enquêteurs, les trois hommes, âgés entre 20 et 30 ans, originaires du Maghreb, sans domicile fixe et en situation irrégulière en France, se seraient rendus coupables d’au moins 70 vols depuis trois mois.
    Déjà très défavorablement connus pour une activité similaire dans l’est du pays, et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), ils ont été placés en garde à vue pendant 48 heures avant d’être présentés au tribunal de Tarascon, qui les a remis en liberté.

    www.laprovence.com via fdesouche

  • Calais: un nouveau barrage dressé par les migrants sur la route menant au port, environ une quinzaine dressés depuis le début de l’année

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2022

    La nuit de mardi à ce mercredi a, une nouvelle fois, été marquée par un barrage érigé par des migrants sur la rocade portuaire. Le phénomène se poursuit ces dernières semaines avec déjà presque une quinzaine de barrages depuis le début de l’année. […]

    La Voix du Nord via fdesouche

  • Rennes : une centaine de migrants occupent un gymnase de la ville

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2022

    fdesouche

    Une centaine de migrants, dont la majorité était hébergés depuis trois mois dans un centre scout de la métropole rennaise, ont occupé samedi un gymnase de Rennes, a-t-on appris auprès d’une association et de la mairie qui demande que cette occupation prenne fin «rapidement».

     «Cet après-midi, en marge d’une manifestation en soutien aux personnes exilées, des militants ont occupé le gymnase de la Poterie pour y héberger des personnes migrantes», a indiqué la mairie à l’AFP, précisant qu’une partie d’entre elles était jusqu’alors hébergée sur un site à Thorigné-Fouillard, près de Rennes, propriété des Éclaireurs de France.

    «L’occupation du gymnase de la Poterie questionne, s’agissant de la mise à l’abri de personnes qui avaient jusqu’ici des solutions d’hébergement plus adaptées, même si elles étaient précaires», selon la même source. La municipalité rennaise, qui demande que cette occupation prenne fin «rapidement», a annoncé avoir saisi la préfecture «pour que des solutions soient trouvées au plus vite pour ces personnes».

    Selon un communiqué de l’association d’aide aux migrants Utopia 56, «une centaine de personnes, dont 42 enfants, sans solution d’hébergement, réquisitionnent un gymnase de la ville de Rennes afin de ne pas passer la nuit et l’hiver à la rue».   […]

    Le Figaro ; Ouest-France