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migrants - Page 20

  • Nogent-sur-Oise (60) : un gardien égorgé dans le foyer d’accueil pour migrants Adoma, un Soudanais en situation irrégulière en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2021

    fdesouche

    Les faits se sont déroulés ce lundi matin au sein du foyer Adoma de Nogent-sur-Oise. L’auteur présumé des faits, qui aurait également mis le feu à la résidence, a été placé en garde à vue. « Aucun de ses propos ne laisse apparaître une quelconque motivation qui serait liée à une radicalisation », précise le procureur de la République.

    […]

     

    « On a vu ce corps allongé vers l’entrée du foyer »

    « Tout cela vient de se produire et les circonstances sont encore un peu confuses », souligne un officier de police. Selon les premiers éléments récoltés sur place, l’incendie aurait débuté en début de matinée. « J’ai été réveillé vers 8 heures à cause des bruits des gens inquiets dans la résidence. Tout le monde sortait. Et quand on est arrivés en bas, on a vu ce corps allongé vers l’entrée du foyer », relate un résident.

    Foyer Adoma incendie meurtre Nogent-sur-Oise

    Selon plusieurs sources, la victime aurait été « égorgée ». D’après un résident, il s’agirait d’un des gardiens du foyer qui aurait eu un différend avec son agresseur, un homme né en 1988 d’origine soudanaise. Celui-ci a été interpellé par les policiers dans la foulée. Du côté des habitants du foyer, c’est la sidération. « On ne comprend pas », réagit l’un d’eux, décrivant la victime comme un « homme adorable, une crème qui ne manque jamais de respect à personne ».

    […]

     

    Le suspect serait en situation irrégulière en France depuis 2015. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Creil.

    Le Parisien / Actu17

  • A Lyon, des écoles primaires ouvertes le jour aux écoliers, la nuit à des familles de migrants

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021

    Il est 19h45, les portes métalliques de l’école primaire Jean-Pierre Veyet, dans le 7e arrondissement de Lyon, se déverrouillent pour deux familles albanaises, accueillies en catimini sous une bise glaciale et escortées dans les couloirs vides jusqu’à la salle des maîtres.

    (…)

    Un répit bienvenu pour Manjola, enceinte de cinq mois. Sa famille a dormi sous une tente dans un parc voisin et connu «le stress permanent» de la rue après avoir décliné un logement dans un Centre d’accueil des demandeurs d’asile (Cada) situé en rase campagne près de Brioude, en Haute-Loire. «On ne pensait pas que ça allait être si dur en France, mais on restera, pour nos enfants», assure son mari Plarent, les traits tirés. Un mois après leur arrivée en France, un dossier de demande d’asile a été déposé en octobre à l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), mais obtenir un hypothétique titre de séjour demande plusieurs mois de procédure.

    (…)

    Le collectif lyonnais «Jamais sans toit», qui conseille parents et enseignants pour ouvrir les écoles aux enfants scolarisés sans abri et à leurs familles, recensait en début de semaine à Lyon 34 familles sans abri, dont 72 enfants mineurs. (…) À ce jour, six écoles lyonnaises abritent la nuit sept familles, dont 20 enfants. Des Albanais mais aussi des Géorgiens, des Syriens ou des Roumains. Propriétaire des murs, la mairie a fait savoir qu’il n’y aurait pas d’expulsion, salue Sophie Pécourt. Mais l’approche des congés de Noël, propices à l’éparpillement des bénévoles, l’inquiète. Pour remédier à la situation, la ville de Lyon a annoncé, jeudi, qu’elle allait mobiliser 100 nouvelles places d’hébergement, dans le cadre du dispositif «Zéro enfant à la rue» mené en partenariat avec l’Etat. «Nous mettons à disposition une partie du patrimoine de la ville, dont 15 appartements à Lyon intra muros, qui sera mobilisée pour une durée de deux ans», a précisé à l’AFP Sandrine Runel, adjointe à l’inclusion et aux solidarités. Manjola et Plarent veulent y croire. En attendant, ils doivent chaque matin enfiler leurs parkas et quitter discrètement l’école avant l’arrivée des premiers élèves.

    Le Figaro via fdesouche

  • « Il faut abattre les murs » : en visite à Chypre, le pape François va ramener 50 migrants en Italie (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021

    02/12/2021

    En visite sur l’île méditerranéenne, il a également appelé à dépasser les divisions, au moment où Chypre fait face à une importante crise migratoire

    Le président chypriote Nicos Anastasiades a annoncé jeudi 2 décembre que le pape François comptait ramener en Italie 50 migrants résidant à Chypre, dans un discours en présence du souverain pontife en visite dans l’île méditerranéenne. « Nous aimerions exprimer notre gratitude pour l’initiative de transférer 50 migrants de Chypre vers l’Italie », a déclaré Nicos Anastasiades au palais présidentiel de Nicosie. Le Vatican n’a pas confirmé dans l’immédiat cette annonce. Ce n’est pas la première fois : le pape avait ramené des familles syriennes en 2016, lors d’une visite sur l’île grecque de Lesbos.

    Le pape François, en visite à Chypre, a également appelé à l’unité ainsi qu’à dépasser les divisions, au moment où l’île méditerranéenne membre de l’Union européenne fait face à une importante crise migratoire. « Pour construire un avenir digne de l’Homme, il faut travailler ensemble, dépasser les divisions, abattre les murs et cultiver le rêve de l’unité », a affirmé le souverain pontife dans une cathédrale maronite à Nicosie. « Nous avons besoin de nous accueillir et de nous intégrer, de marcher ensemble », a-t-il ajouté.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Migrants qui partent, migrants qui arrivent, migrants qui traversent, l’UE dans tous ses états

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2021

    A l’Est, dans cette Europe slave qui défend son identité et sa culture, les migrants massés à la frontière biélorusse repartent chez eux. La fermeté des Polonais pour empêcher l’invasion, contre vents et marées, contre les technocrates de l’Union européenne et les pleureuses de la bien-pensance, a gagné. L’aéroport de Minsk, capitale Biélorussie, est plein à craquer d’aspirants à l’Eldorado européen déboutés qui rentrent chez eux.

     

    A l’Ouest, dans cette Europe dévirilisée, déchristianisée, soumise à la déconstruction systématique promue par une intelligentzia mondialiste et apatride, bastion de la conscience morale universelle et des ONG pseudo-humanitaristes, la mort d’une trentaine de migrants qui tentaient de traverser la Manche pour rejoindre de France l’Angleterre, remet la question de l’accueil de toute la misère du monde au centre du débat politique. Et confirme les limites des injonctions bruxelloises et l’absence d’une politique européenne claire de défense des frontières.

    Face au réel, Londres aux prises avec la plus massive « invasion » outre-Manche depuis le débarquement normand en 1066, résiste. Et la France ploie. La polémique anglo-française concernant l’immigration s’est aggravée. Londres déplore l’arrivée de France, en moins d’un an, de plus de 26 000 immigrés clandestins dont 1 185 en une seule journée. Le gouvernement britannique a donc durci sa position vis-à-vis de la France mais aussi de l’Union européenne incapable de contrôler ses frontières tant entrantes que sortantes.

    La colère de Londres est compréhensible, étant donné qu’environ un millier de personnes sont arrivées de la Manche en 2019 et environ 8.000 en 2020. Les 30 migrants clandestins décédés mercredi en tentant de traverser la Manche, dont des enfants et des femmes enceintes, ont amplifié la polémique. Le gouvernement britannique a « à plusieurs reprises » proposé à Paris du personnel et des moyens supplémentaires pour patrouiller la frontière en proposant de couvrir les coûts jusqu’à 54 millions de livres (près de 63 millions d’euros) pour tenter de décourager les passages, a déclaré un porte-parole du premier ministre Boris Johnson.

    Le Royaume-Uni a renouvelé son offre de patrouilles conjointes avec la France dans la Manche, a réitéré hier le ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel, faisant référence à une conversation qu’il a eue avec son homologue français Gérald Darmarin. Patel a ensuite précisé que la traversée était « inutile » pour les immigrés clandestins, ajoutant que « personne ne doit quitter la France » pour être en sécurité. Le ministre a rappelé que les personnes devraient demander l’asile dans le premier « pays sûr » qu’elles atteignent après avoir quitté leur pays, anticipant une nouvelle loi sur les frontières qui s’attaquera aux « facteurs d’attraction » qui incitent les migrants illégaux à tenter d’atteindre le Royaume-Uni.

    Les demandes d’asile au Royaume-Uni ont atteint cette année leur plus haut niveau depuis 2004, certifie le British National Bureau of Statistics (Ons). 37 562 demandes d’asile jusqu’en septembre, ce qui correspond à une augmentation de 18% par rapport à 2021, alors qu’il y en a 67 547 en attente d’évaluation. Les demandeurs sont principalement originaires d’Iran, d’Érythrée, d’Albanie, d’Irak et de Syrie.

    Le président français Emmanuel Macron a appelé à un renforcement de la coopération européenne en matière de migration irrégulière, déclarant que « la France ne permettra pas que la Manche devienne un cimetière ». Curieusement, exactement ce que l’Italie demande en vain depuis des années. Mais Macron a également déclaré à Johnson, lors d’un entretien téléphonique, qu’  « il s’attend à ce que les Britanniques coopèrent pleinement et s’abstiennent d’exploiter une situation dramatique à des fins politiques ». Mercredi, le Premier ministre britannique avait déclaré que les efforts déployés sur la crise migratoire n’étaient pas suffisants et qu’il avait « du mal à convaincre certains partenaires, notamment les Français, d’être à la hauteur de la situation ».

    Des flux migratoires aussi massifs et similaires, même en nombre de ceux qui ont franchi illégalement la frontière cette année, à destination de la Grande-Bretagne et de la Pologne, contribuent à ridiculiser l’Europe et sa capacité et sa volonté de défendre les frontières. L’absence de politiques communes, de refoulement et de volonté afin de ne pas accepter d’immigrants illégaux et de poursuivre les trafiquants encouragent en effet les migrants et les organisations criminelles qui les gèrent.

    L’augmentation des traversées de la Manche est inacceptable pour le gouvernement et la société britanniques et renforce le détachement de Londres de l’Union européenne. Une UE qui paie une fois de plus l’absence d’une politique du tiers-monde claire et sans ambiguïté, comme l’a bien illustré le refus de la Commission de financer la construction de barrières anti-immigration irrégulière à ses frontières extérieures, demandées par pas moins de 13 États membres.

    Cette énième crise des migrants illégaux le long des frontières des États individuels confirme une fois de plus l’absence de l’UE dans la défense des frontières communes. Sa volonté de ne pas aider à la construction de « murs » et de ne pas appliquer d’autres mesures pour décourager le trafic de migrants le long des frontières extérieures de l’UE conduira inévitablement à devoir faire face aux murs intérieurs érigés par les États individuels et à l’augmentation des tensions au sein de l’UE. Cela compromettra encore davantage la stabilité du traité de Schengen tout en couvrant l’Europe technocratique de ridicule aux yeux des immigrés clandestins et des trafiquants. Un ridicule qui malheureusement ne la tue pas…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Boris Johnson appelle la France à reprendre tous les migrants qui traversent la Manche

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021

    Boris Johnson appelle la France à reprendre tous les migrants qui traversent la Manche

    Le premier ministre britannique a proposé à Emmanuel Macron un «accord bilatéral de réadmission pour permettre le retour de tous les migrants illégaux qui traversent la Manche».

    Le premier ministre britannique Boris Johnson a demandé au président français Emmanuel Macron de reprendre les migrants arrivant en Angleterre depuis la France, au lendemain d’un naufrage dans la Manche qui a vu 27 personnes perdre la vie.

    www.lefigaro.fr via fdesouche