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  • Les catholiques conservateurs sont indignés et confus après la lettre du pape François sur la « bénédiction » des couples homosexuels

    Publié par Guy de Laferrière le 04 octobre 2023

    bénédiction des couples homosexuels

    Ce changement a suscité une grande confusion dans le monde catholique, certains ecclésiastiques et experts conservateurs de premier plan accusant François d’ouvrir la voie à une éventuelle « reconnaissance » totale des unions entre personnes de même sexe.

    « Le pape François a assoupli l’interdiction du Vatican de bénir les couples de même sexe, en disant que les prêtres peuvent utiliser leur pouvoir discrétionnaire pour donner de telles bénédictions, tant qu’ils n’impliquent pas qu’une union de même sexe est équivalente à un mariage hétérosexuel », a écrit le WSJ lundi.

    « La déclaration du pape, dans une lettre publiée par le Vatican lundi, marque un changement significatif dans la position de l’Église catholique sur la bénédiction des relations homosexuelles. Sa publication intervient à la veille d’une importante réunion du Vatican qui envisagera d’éventuels changements dans l’enseignement et la pratique de l’Église sur des questions telles que l’homosexualité et l’ordination des femmes ». La lettre a été rédigée en juillet en réponse à des questions posées en privé par un groupe d’éminents cardinaux, mais n’a été révélée que cette semaine.

    Le pape François a suggéré que les prêtres ou les évêques pourraient éventuellement bénir des couples de même sexe (ce que certains interprètent comme une reconnaissance catholique d’une « union civile ») sur la base d’une « prudence pastorale » et dans « certaines circonstances ». Selon le texte :

    Mais il a ajouté que les prêtres, agissant par charité pastorale et non comme des « juges qui ne font que nier, rejeter, exclure », devraient chercher à discerner « s’il existe des formes de bénédiction, demandées par une ou plusieurs personnes, qui ne véhiculent pas une conception erronée du mariage ». Il a ajouté que cette charité pastorale devrait s’appliquer même dans des situations « qui, d’un point de vue objectif, ne sont pas moralement acceptables ».

    Le pape a suggéré que ces bénédictions restent une pratique non officielle, écrivant que de tels exercices de « prudence pastorale dans certaines circonstances ne doivent pas être transformés en norme ».

    Pour l’instant, le pape a donc précisé que toute « bénédiction » de couples de même sexe ne devait pas être interprétée comme l’équivalent d’un mariage reconnu par l’Église ; toutefois, l’ambiguïté du langage et le fait qu’il soit maintenant interprété comme un renversement sans précédent de l’enseignement moral et des pratiques antérieures du Vatican ont indigné l’aile la plus traditionnelle de l’Église catholique, qui a tendance à considérer ces changements subtils exprimant l' »ouverture » comme le proverbial nez de chameau sous la tente pour les changements majeurs et les compromis à venir.

    Par exemple, l’éminente publication catholique conservatrice américaine Church Militant a tiré la sonnette d’alarme sur les changements imminents, rapportant que de nombreuses doctrines sont sur le point d’être renversées ou du moins sont « ouvertes » à une « étude » plus approfondie, y compris l’interdiction des femmes prêtres…

     

    La publication catholique a noté que l’interdiction des bénédictions homosexuelles a été formellement réaffirmée aussi récemment qu’en 2021 sous son propre pontificat : « Dans ce qui pourrait être un tournant historique, certains pensent que le pape François a ouvert la porte à la bénédiction de l’union de couples homosexuels dans l’Église catholique romaine, ce qui remet en question l’interdiction des bénédictions de couples de même sexe émise par son propre chien de garde doctrinal en 2021 », peut-on lire dans le rapport.

    La controverse faisait déjà rage depuis des années, en grande partie à cause des évêques catholiques allemands libéraux. Ils se sont opposés à l’enseignement officiel du Vatican et ont pratiqué la bénédiction de couples de même sexe. Les évêques et les prêtres conservateurs ont entre-temps demandé à Rome de clarifier la question. Mais au lieu de mettre un terme définitif à cette pratique ou de la réprimer, la lettre du pape François a introduit une nouvelle confusion et pourrait même l’encourager positivement.

    Un commentateur des affaires religieuses a fait remarquer que « l’expérience séculière nous a appris que la première chose à faire est d’autoriser quelque chose mais de lui donner un nom différent, puis de lui donner la parité, puis de le définir comme étant également valable ou comme étant la même chose, et enfin de rendre illégal le fait de s’y opposer ».

    Source : Zero Hedge

    Traduction : Les Moutons Rebelles

  • La visite politique du pape François à Marseille : l’immigration, toujours l’immigration

    Publié par Guy de Laferrière le 23 septembre 2023

    Le pape François  en visite à Marseille pour parler d'accueil des migrants
    Le pape François en visite à Marseille pour parler d’accueil des migrants

    Le pape François débute ce vendredi 22 septembre, dans la cité phocéenne, et non en France a-t-il spécifié, sa visite de deux jours sous les auspices des Rencontres Méditerranéennes pour « promouvoir des chemins de collaboration et d’intégration autour de la Méditerranée, avec un accent particulier sur le phénomène de la migration ». L’ex-territorialité de Marseille est décrétée, manière inconvenante de se mêler de la politique migratoire de la France sans déroger à son devoir de réserve.

    Le message immigrationniste que doit faire passer cette visite bergoglienne

    Le premier acte sur le sol français de pape noir, après avoir débarqué en milieu d’après-midi et une rencontre avec le clergé, aura été de se rendre au monument aux marins et migrants disparus en mer, pour rendre hommage aux réfugiés morts en Méditerranée. Tout un symbole politique qui révèle le message immigrationniste que doit faire passer cette visite bergoglienne.

    Alors qu’à Lampedusa, toute petite ile italienne au large de la Sicile, en 5 jours, 15550 clandestins africains y ont débarqués en toute illégalité, que les Français savent qu’une majorité de ces aspirants à un Eldorado européen illusoire va arriver chez eux, alors que les églises sont vides de fidèles, vendues ou détruites faute d’argent, François vient scander son leitmotiv depuis qu’il est monté sur le trône de Pierre : non le retour à la foi catholique, mais l’accueil des « migrants » extra-européens et bien souvent mahométans, envers et contre tout.

    Le Pape affirme qu’il se rend en France pour réfléchir aux défis de l’accueil et de l’intégration

    La signification politique du voyage du Saint-Père en France n’échappe à personne, son choix de la ville de Marseille, plaque tournante d’une immigration sans frein, en est la preuve éclatante. Pour confirmer cette interprétation, le télégramme envoyé par le Pontife lui-même à Sergio Mattarella, le président de la République italienne, l’explicite : le Pape affirme qu’il se rend en France pour « réfléchir aux défis de l’accueil et de l’intégration ».

    Précisément les questions qui enflamment et divisent le débat public en France, accentué par l’actualité qui met en évidence les difficultés d’un certain modèle d’intégration permissive. Mais il ne fait guère de doute que le pape des migrants ne changera pas d’idéologie malgré l’échec patent, et aux conséquences toujours plus dévastatrices, de la politique immigrationniste pratiquée par les politiciens du système depuis des décennies.

    Rappelons que, la question des « réfugiés » étant le point central de son « apostolat », le premier voyage d’El papa argentin, en tant que pontife fut dans cette même Lampedusa, submergée déjà à l’époque par les débarquements “migratoires”, et qui vit aujourd’hui son apocalypse. Depuis, il n’a cessé de ressasser ce rêve d’ouverture sans frontières, sans limites, à l’excès. Quand le rêve bergoglien est un cauchemar pour les peuples…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Eglise conciliaire toujours plus Sodome et Gomorrhe

    Publié par Guy Jovelin le 11 mai 2022

    L’Eglise conciliaire, et encore plus sous François, est devenue Sodome et Gomorrhe. La dernière illustration en est la publication de Secrétariat général du Synode des évêques qui vient de publier sur le site officiel du Synode le texte suivant.

    L’histoire que nous vous présentons est en fait trois histoires – témoignages que la responsable synodale de la paroisse Immaculate Conception de Hendersonville, en Caroline du Nord (États-Unis), Noelle Therese Thompson, a recueillis lors de conversations synodales avec des couples de même sexe en présence et en ligne.

    Nous avons résumé les trois histoires que Noëlle nous a envoyées. Les titres sont les nôtres et dans l’une des histoires, nous avons utilisé un nom fictif.L’histoire pro-vie de Parker

    Voici l’un des récits les plus émouvants des conversations en présence du synode. Elle a été racontée par un paroissien qui a présenté l’histoire comme une « véritable histoire pro-vie ».

    Une jeune femme se rendait en voiture à l’endroit où elle avait l’intention de se faire avorter. À un feu rouge, elle ouvre Facebook pour trouver en haut de son flux un appel d’un autre paroissien, Karl, que la jeune femme enceinte connaissait : « Pourquoi quelqu’un ne peut-il pas simplement nous donner un bébé ? ».

    La jeune femme contacte son ami, qui lui fait part de sa frustration car il souhaitait tellement avoir un enfant, mais son mariage n’avait pas été béni et toutes les possibilités avaient été explorées et bloquées.

    – La jeune femme : « Je vais à la clinique d’avortement. Si vous aviez cet enfant, l’adopteriez-vous ? »

    – Karl : « Bien sûr, je vais devoir demander à la maison, mais je pense que je peux dire oui ».

    Aujourd’hui, Parker est un garçon de huit ans avec deux parents aimants, Karl et Diego, dont la relation a sauvé cet enfant de l’avortement.

    L’histoire d’une sexualité qui donne la vie

    Un participant du diocèse a raconté l’histoire d’un couple d’homosexuels qui venait du diocèse de Charlotte, mais qui a été offensé par les membres de l’église catholique qu’il fréquentait. Josh et Nick ont déménagé au Canada, où ils se sont mariés et sont restés ensemble pendant plus de 15 ans. Ils ont voulu que leur sexualité soit véritablement porteuse de vie, en encourageant et en adoptant des adolescents locaux souffrant de handicaps mentaux, pour leur donner une chance d’avoir une vie meilleure, un foyer, une éducation et deux parents aimants. Comme Josh est un conseiller pour les adolescents souffrant de troubles, ce choix était parfait, leur permettant d’aller de l’avant dans l’appel de Dieu pour aider la population d’adolescents souffrant de troubles mentaux de la région à mieux s’adapter et à réussir dans la vie.

    Avoir un but : sortir les enfants de la pauvreté

    Le premier membre du couple, Matthew (nom d’emprunt), est actuellement le professeur préféré d’un lycée catholique aux États-Unis et, tout en cachant son homosexualité, décide d’épouser son partenaire ailleurs. En tant que couple, ils décident d’accueillir, d’aimer et d’adopter de jeunes enfants à l’échelle internationale et, ce faisant, de les sortir de l’extrême pauvreté.

    La plus grande tristesse de Matthew est qu’il doit cacher sa sexualité pour conserver son emploi dans une institution ecclésiastique et qu’il ne se sent pas le bienvenu dans l’Église catholique, précisément à cause de sa sexualité qu’il considère comme donnée par Dieu, et ce malgré sa tentative d’aimer les pauvres et les démunis par sa décision pro-vie d’adopter.

    Qu’on ne vienne pas nous dire ensuite que François et sa clique de pervertis ne font pas la promotion active de l’homosexualité ! Et ce n’est pas nouveau, car François, dès le début de son pontificat, n’a eu de cesse de faire la promotion de l’homosexualité, que ce soit par ses déclarations diverses ou bien par le Synode sur la Famille qu’il a orchestré avec un cynisme et un vice incroyable.

     

    Source : medias-presse.info

  • Pape François : « Prêt à rencontrer Poutine à Moscou » et « les aboiements de l’Otan »

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2022

    Prêt à rencontrer Poutine, a déclaré le pape François.

    Le pape François a expliqué qu’il est disposé à rencontrer le président russe mais qu’il n’a pas encore reçu de réponse du Kremlin :

    « Je crains que maintenant Poutine ne puisse pas et ne veuille pas avoir cette rencontre ».

    Ainsi le pape François, interviewé par le Corriere della Sera, explique ce qu’il aimerait faire pour tenter d’arrêter la guerre. Un chemin diplomatique, semé d’obstacles et d’embûches, mais pas pour autant à ne pas suivre a priori. Bref, le Pontife semble sortir pour une fois du sentier du politiquement correct, dans une phase très délicate d’un conflit dramatique qui pourrait éclater au-delà des frontières ukrainiennes.

    « Je ne vais pas à Kiev pour le moment. J’ai envoyé le Cardinal Michael Czerny et le Cardinal Konrad Krajewski, (l’aumônier du Pape) qui s’y sont rendus pour la quatrième fois. Mais je sens que je n’ai pas à y aller. Je dois d’abord aller à Moscou, d’abord je dois rencontrer Poutine. Mais je suis aussi prêtre, que puis-je faire ? Je fais ce que je peux. Si Poutine ouvre la porte… », dit le pontife, conscient de la difficile opération.

    « Le premier jour de la guerre, j’ai téléphoné au président ukrainien Zelensky, mais je n’ai pas appelé Poutine, révèle le Pape. Je l’avais entendu en décembre pour mon anniversaire mais cette fois non, je n’ai pas appelé. Je voulais faire un geste clair pour que le monde entier le voit et pour cela je suis allé voir l’ambassadeur de Russie. Je leur ai demandé de m’expliquer, j’ai dit « arrêtez s’il vous plaît ». Puis j’ai demandé au cardinal Parolin, après vingt jours de guerre, d’envoyer à Poutine le message que j’étais prêt à aller à Moscou. Bien sûr, il fallait que le chef du Kremlin autorise quelques fenêtres. Nous n’avons pas encore reçu de réponse et nous insistons toujours, bien que je craigne que Poutine ne puisse pas et ne veuille pas avoir cette réunion en ce moment. Mais tant de brutalité comment ne pas l’arrêter ? Il y a vingt-cinq ans, nous avons vécu la même chose avec le Rwanda. »

    Le pape argentin a réfléchi brièvement sur les causes de la guerre, avec une accusation assez claire :

    « Les aboiements de l’OTAN aux portes de la Russie » ont conduit Poutine à mal réagir et à déclencher la guerre. « Une colère dont je ne sais pas si elle a été provoquée, se demande Bergoglio, mais peut-être facilitée oui. »

    Ensuite, le pape pose de sérieux doutes sur l’opportunité d’envoyer des armes à l’Ukraine.

    « Je ne peux pas répondre, je suis trop loin, à la question de savoir s’il est juste d’approvisionner les Ukrainiens, dit-il. La chose claire est que des armes sont testées sur cette terre. Les Russes savent maintenant que les chars ne servent à rien et pensent à autre chose. Les guerres sont menées pour cela : pour tester les armes que nous avons produites. Ce fut le cas pendant la guerre civile espagnole avant la Seconde Guerre mondiale. Le commerce des armes est un scandale, peu s’y opposent. Il y a deux ou trois ans, un navire chargé d’armes est arrivé à Gênes qu’il a fallu transférer sur un gros cargo pour les transporter au Yémen. Les travailleurs du port ne voulaient pas le faire. Ils ont dit : pensons aux enfants du Yémen. C’est une petite chose, mais un beau geste. Il devrait y en avoir beaucoup comme ça. »

    La question œcuménique centrale au Vatican a poussé le pape François à parler avec le patriarche de l’Église orthodoxe russe. Au Corriere delle Sera, il a donc déclaré avoir « parlé avec Kirill 40 minutes via zoom. Les vingt premières, une carte à la main, il m’a lu toutes les justifications de la guerre. Je l’ai écouté et lui ai dit : je n’y comprends rien. Frère, nous ne sommes pas des clercs d’État, nous ne pouvons pas utiliser le langage de la politique, mais celui de Jésus. Nous sommes les bergers du même saint peuple de Dieu. Pour cela, nous devons chercher des voies de paix, pour mettre fin aux tirs de armes. Le patriarche ne peut pas se transformer en enfant de chœur de Poutine. J’avais rendez-vous avec lui à Jérusalem le 14 juin. Cela aurait été notre deuxième face à face, rien à voir avec la guerre. Mais maintenant, lui aussi est d’accord : arrêtons, ça pourrait être un signal ambigu ».

    Une fois n’est pas coutume, on peut saluer cette distanciation vis-à-vis du narratif officiel occidental prise sur ce conflit russo-ukrainien par le pape François, pourtant si prompt à suivre la pensée unique sur tous les sujets d’actualité.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le recteur de la grande mosquée de Paris au Vatican

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2022

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