Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

migrants - Page 21

  • 120M€ est le coût net en 2020 supporté par la France du fait de la présence de migrants à Calais, cela inclut les contributions britanniques

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2021

     

     

  • Tribunal d’Évry-Courcouronnes (91): un migrant frappe des policiers, insulte la France, qualifie la juge de « raciste » et revendique son appartenance à Daesh

    Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2021

    Essonne. Il crie “Je suis Daesh” et frappe des policiers en plein tribunal 

     

    […]

     

    « Je suis Daesh » dans les couloirs du tribunal

    Il est plus exactement 11 h lorsqu’une escorte policière du centre de rétention de Palaiseau accompagne le prévenu devant la juge des libertés et de la détention. Après avoir refusé de s’entretenir avec son avocat commis d’office, l’homme de 22 ans demande à être libéré.

    Refusant de sortir de la salle, il insulte la juge de « raciste ». Finalement dehors, il tente plusieurs fois de forcer le passage pour négocier sa libération. Face à son comportement, les policiers le menottent.

    Proférant de nouveau des insultes envers la juge, les policiers et la France, ce dernier s’en prend ensuite aux forces de l’ordre. Après avoir donné un coup de pied au ventre à l’un d’eux, il crache dans les yeux d’un autre et le frappe au visage. « Je suis Daesh ! Je suis Daesh ! », crie le suspect en mimant un couteau dans ses mains.

     

    […]

     

    Le procureur de la République requiert alors huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt contre le prévenu. L’avocat de la défense formule pour sa part une demande de relaxe pour le chef d’apologie du terrorisme, estimant que son client voulait « juste faire peur aux policiers ».

    Une demande entendue par le tribunal qui le relaxe pour ce fait.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Actu Essonne

  • Migrants à la frontière polonaise : la Biélorussie menace de couper le gaz à l’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2021

    La Biélorussie, accusée d’orchestrer une crise migratoire à sa frontière avec la Pologne, a menacé ce jeudi 11 novembre de riposter à d’éventuelles sanctions européennes en interrompant les livraisons de gaz transitant sur son territoire. L’Union européenne étudie la mise en place de sanctions contre Minsk, accusée d’organiser des mouvements migratoires pour se venger des sanctions européennes imposées au régime d’Alexandre Loukachenko l’an dernier, après la brutale répression d’opposants.

    En cas de mesures punitives, Minsk «répondra», a affirmé le président Alexandre Loukachenko, évoquant la possibilité de fermer la vanne du gazoduc Yamal-Europe qui achemine du gaz russe en Allemagne et en Pologne, notamment, en passant par la Biélorussie. «Que se passerait-il si nous coupions le gaz naturel qui va là-bas ?», a lancé Alexandre Loukachenko, alors que les pays européens sont confrontés à une flambée des prix du gaz pour cause de pénurie.

    La situation à la frontière entre le Bélarus et la Pologne, deux pays d’Europe centrale, suscite l’inquiétude croissante de la communauté internationale. Le Conseil de sécurité de l’ONU doit se pencher ce jeudi sur ce dossier.

    Plus de 2.000 migrants, notamment des Kurdes du Proche-Orient, sont bloqués depuis plusieurs jours dans un camp de fortune à la frontière, où ils se réchauffent en brûlant du bois pour supporter des températures proches de 0°C. Parmi eux se trouvent des enfants et des femmes. […] Varsovie affirme en outre que les forces de sécurité bélarusses ont recours à l’intimidation pour forcer les migrants à entrer sur le territoire polonais, notamment en tirant des coups de feu en l’air pour les empêcher de faire demi-tour.

    CNEWS via fdesouche

  • Migrants : “En raison des risques de l’arrivée massive d’étrangers pour la cohésion de la société”, la Lituanie déclare l’état d’urgence pour la première fois depuis son indépendance

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2021

    La Lituanie a instauré l’état d’urgence pour un mois le long des 670 kilomètres de sa frontière avec la Biélorussie, par crainte d’un nouvel afflux de migrants organisé par le président biélorusse Alexandre Loukachenko.

    À la quasi-unanimité, le Parlement a approuvé mardi [9 novembre] l’instauration de l’état d’urgence en Lituanie, “en raison des risques de l’arrivée massive d’étrangers pour la cohésion de la société, impossible à assurer […] sans appliquer de mesures concrètes exceptionnelles”, écrit le site 15min.lt en citant un document gouvernemental.

    L’état d’urgence, proposé par le gouvernement, est introduit pour la première fois dans l’histoire de la Lituanie depuis l’indépendance”, en 1991, souligne le média public LRT. Les déplacements seront limités dans les municipalités situées à proximité de la frontière. Dans les centres d’hébergement des migrants, “le réseau mobile et Internet seront bloqués”, précise 15min.lt.

    Dès les premières heures de l’état d’urgence, Ingrida Simonyte, la Première ministre, s’est déplacée à Kapciamiestis, ville frontière du sud de la Lituanie. “Les sanctions qui toucheront les personnes et les entités organisant ce flux de migrants en Biélorussie sont une avancée très importante, et ce ne sera pas la dernière”, a déclaré la ministre, citée par LRT. Selon les gardes-frontières lituaniens, le nombre de personnes tentant de traverser la frontière augmente depuis plusieurs jours. […]

    Courrier International via fdesouche

  • Calais : près de 1400 migrants ont déjà été accueillis en une semaine dans le “centre d’accueil temporaire”

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2021

    Près de 1400 migrants ont déjà été accueillis en une semaine dans un «centre d’accueil temporaire» – 300 lits de camp répartis dans deux hangars – ouvert chaque nuit par l’État à Calais, a indiqué mercredi 10 novembre la préfecture à l’AFP.

    De grandes tentes blanches ont été installées dans ces deux hangars chauffés, situés dans la zone industrielle de Calais, à environ quatre kilomètres du centre-ville, déjà ouverts ponctuellement en hiver ces dernières années, en fonction des conditions climatiques. Les migrants y sont acheminés par bus. Sur place, ils disposent d’une collation, de prises électriques pour recharger leur téléphone, de sanitaires, d’une brosse à dents ou encore d’une paire de tongs. Sur les murs, des affiches rappellent les dangers liés à la traversée de la Manche en bateau.

    L’ouverture de ce «sas» avait été annoncée le 3 novembre par le patron de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), Didier Leschi, envoyé en médiation à Calais par le gouvernement pour négocier avec plusieurs associatifs en grève de la faim. Les migrants peuvent y passer une nuit, mais doivent quitter les lieux à 8H30. En moyenne, 197 personnes sont accueillies chaque nuit, selon la préfecture. 1380 y ont été accueillies en une semaine, selon la même source.

    «Ça ne suffit pas», estime Ludivine Colas, coordinatrice d’Utopia 56. «300 places ne peuvent pas combler les besoins de 1500 personnes présentes sur le Calaisis. On souhaiterait aussi un dispositif (…) qui permette (aux migrants) de se reposer sur plusieurs jours», affirme-t-elle. «C’est toujours ça de pris, mais c’est vraiment insuffisant», tance Pierre Roques, coordinateur de l’Auberge des Migrants. De son côté, la maire de Calais, Natacha Bouchart, craignant la reconstitution d’une nouvelle «Jungle» dans sa ville, a demandé la «suppression» de ce sas, un dispositif «voué à l’échec».

    Le Figaro via fdesouche