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migrants - Page 23

  • Pyrénées-Orientales : entre Cerbère et le Perthus, l’afflux de migrants inquiète, certains mettent le feu à leurs papiers d’identité pour éviter l’expulsion

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    A Cerbère, la pression migratoire augmente depuis le début de l’année. La police aux frontières a interpellé 39 passeurs au mois d’octobre contre une dizaine habituellement, un triste record qui met en exergue l’absence de structures capables d’accompagner le flux des migrants.

    Ils ont attendu que la nuit tombe pour passer la frontière, surgissant sur la route entre Portbou en Espagne et Cerbère, en France. Mohammed, 20 ans, et Hocine, 25 ans, sont frères.

    Tous deux sont arrivés d’Algérie pour fuir ce qu’ils décrivent comme un “chaos social et politique“. Dans leur pays, on les surnomme les brûleurs, ils ont mis le feu à leurs papiers d’identité pour tenter d’éviter l’expulsion d’Europe.

    Prêts à tout, même à mourir pour tenter leur chance en Europe, les deux ont quitté Mostaganem, au Nord-Ouest de l’Algérie, à 18 sur une embarcation de fortune. Coût du voyage : 1.800 euros.

    (…) France 3 via fdesouche

  • Au Pays basque, malgré l’intensification des contrôles, les migrants continuent de franchir la frontière franco-espagnole, plus de 16.500 entrées irrégulières en 2021 (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

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    21/10/2021

    REPORTAGE – Après la mort de trois migrants sur les voies ferrées près de Saint-Jean-de-Luz la semaine dernière, Samy, Anas, Mohammed et Ali, originaires du Maghreb, tentent de traverser coûte que coûte la frontière franco-espagnole en empruntant les voies ferrées, entre Irun et Bayonne.

    Malgré une chaleur approchant les 30 degrés ce dimanche 17 octobre, quatre hommes, au bout d’un quai, se tiennent recroquevillés, capuches enfoncées sur la tête, sans échanger une parole. Leur regard est tourné vers l’autre côté du rivage de la Bidassoa, le fleuve séparant Irun, en Espagne, et Hendaye, dans les Pyrénées-Atlantiques. Machinalement, les quatre hommes s’échangent une bouteille d’eau et se débarbouillent le visage. Samy, originaire d’Algérie, et Ali, originaire du Maroc, tentent de regagner la France, d’où ils ont été expulsés quelques mois plus tôt. Tandis qu’Anas et Mohammed, arrivant ensemble de Casablanca après cinq mois de marche, souhaitent continuer leur périple jusqu’au Canada. Mais aujourd’hui, un but les réunit : celui de passer la frontière pour entrer sur le territoire français.

    (…) Le Figaro 

     

    17/10/2021

    Plus de 16 500 entrées irrégulières se sont faites par l’Espagne depuis janvier 2021. Le Pays basque est devenu un important point de passage. Deux migrants sont morts noyés dans le fleuve séparant les deux pays. Le nombre de clandestins algériens est en forte augmentation.

    Plusieurs migrants veulent tenter coûte que coûte de passer de l’autre côté de la frontière franco-espagnole à Irun. “On reste là, on observe, et s’il y a une occasion, on tente de traverser“, témoigne un migrant d’origine ivoirienne. Bus, train, bateau, il envisage toutes les options pour rejoindre la France puis l’Angleterre. Ils sont de plus en plus nombreux à tenter leur chance. Dans la Bidassoa, le fleuve séparant l’Espagne et la France, deux personnes se sont noyées ces derniers mois.

    Depuis trois ans et le renforcement des contrôles en Italie, une partie du flux migratoire s’est reportée vers les Pyrénées-Atlantiques. Le ministère de l’Intérieur recense 1 249 mesures de refoulement prises en août dernier, soit 23% de plus qu’en juillet, dont 352 concernaient des Algériens (+38%). Si la présence policière a quasiment doublé depuis l’automne 2020, plusieurs syndicats de policiers trouvent le nombre de patrouilles insuffisant, surtout la nuit, et demandent plus de moyens.

    francetv.info

  • Migrants : plus de 16 500 entrées irrégulières depuis janvier 2021, le Pays Basque durcit les contrôles à la frontière

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2021

     

    Plus de 16 500 entrées irrégulières se sont faites par l’Espagne depuis janvier 2021. Le Pays basque est devenu un important point de passage. Deux migrants sont morts noyés dans le fleuve séparant les deux pays. Le nombre de clandestins algériens est en forte augmentation.


    Plusieurs migrants veulent tenter coûte que coûte de passer de l’autre côté de la frontière franco-espagnole à Irun. “On reste là, on observe, et s’il y a une occasion, on tente de traverser“, témoigne un migrant d’origine ivoirienne. Bus, train, bateau, il envisage toutes les options pour rejoindre la France puis l’Angleterre. Ils sont de plus en plus nombreux à tenter leur chance. Dans la Bidassoa, le fleuve séparant l’Espagne et la France, deux personnes se sont noyées ces derniers mois.

    Depuis trois ans et le renforcement des contrôles en Italie, une partie du flux migratoire s’est reportée vers les Pyrénées-Atlantiques. Le ministère de l’Intérieur recense 1 249 mesures de refoulement prises en août dernier, soit 23% de plus qu’en juillet, dont 352 concernaient des Algériens (+38%). Si la présence policière a quasiment doublé depuis l’automne 2020, plusieurs syndicats de policiers trouvent le nombre de patrouilles insuffisant, surtout la nuit, et demandent plus de moyens.

    francetv.info via fdesouche

  • Royaume-Uni : les gardes-frontières, amenés à repousser les embarcations de migrants, pourraient bénéficier d’une immunité en cas de noyade de migrants

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2021

    Selon la presse britannique, la ministre de l’Intérieur britannique, Priti Patel, souhaiterait que les gardes-frontières bénéficient d’une immunité dans le cas où un migrant mourrait noyé en mer. Une disposition qui semble difficile à appliquer compte tenu du droit maritime international.

    La mort sur la conscience, mais pas sur le casier judiciaire ? C’est en substance ce qui pourrait devenir le cas pour les gardes-frontières au Royaume-Uni. Selon le Guardian, la ministre britannique de l’Intérieur voudrait introduire dans un projet de loi portant sur la nationalité et les frontières une immunité pour ces forces de sécurité dans le cas où un migrant viendrait à se noyer. 

    Le mois dernier, le ministère de l’Intérieur a annoncé que les gardes-frontières s’entrainaient à repousser les embarcations de migrants pour les contraindre à rebrousser chemin. Mais en vertu des lois existantes, les agents risquent d’être poursuivis si un migrant est en danger ou se noie. 

    Pour remédier à ce qui se pose comme un frein à la nouvelle stratégie britannique, l’annexe du projet de loi précise : “Un officier compétent n’est pas responsable, dans le cadre d’une procédure pénale ou civile, de tout acte accompli dans le cadre de l’exercice présumé de ses fonctions en vertu de cette partie de la présente annexe si le tribunal est convaincu que (a) l’acte a été accompli de bonne foi, et (b) il y avait des motifs raisonnables de le faire.”

    (…) LCI via fdesouche

  • Agnès B. et le Slip Français créent une collection avec des réfugiés et des migrants

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Préserver et développer les savoir-faire. L’association solidaire, La Fabrique Nomade, qui agit pour l’insertion professionnelle des artisans d’art réfugiés et des migrants régularisés en France, en collaboration avec Le Slip Français, a lancé une collection de bandanas en voile de coton et de tabliers en toile de coton, disponible à la vente ce mercredi 13 octobre. La collection a obtenu le parrainage de la styliste Agnès B.