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migrants - Page 54

  • Paris : trois nouveaux centres d’accueil pour migrants vont ouvrir

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2019

    Par  le 01/07/2019

    […]

    «Un deuxième CAES (Centre d’accueil et d’examen des situations) va ouvrir début octobre boulevard Ney, dans le 18e arrondissement, dans un bâtiment SNCF vide, pour héberger 150 hommes isolés migrants», a indiqué le préfet lundi. Les CAES ont été créés en mars 2018 pour héberger temporairement les migrants et les orienter en fonction de leur droit au séjour: demandeur d’asile, débouté, «dubliné» dépendant d’un autre pays européen. Aujourd’hui, l’État dispose déjà en Île-de-France de cinq centres d’une capacité totale de 750 places.

    Sur un deuxième site boulevard Poniatowski dans le 12e arrondissement, deux autres centres vont ouvrir en octobre dont «une halte de nuit pour les familles» avec une capacité de 70 places et un centre pour hommes isolés réfugiés «insérés professionnellement ou en passe de l’être» de 200 places.

    […]

    Par ailleurs, le préfet a évoqué le projet de mettre à disposition le «foncier de l’État» pour construire des «chalets» ou «des mobile-homes de qualité». Cette «nouvelle formule transitoire» permettrait de loger «pendant 6 mois maximum» des réfugiés en attendant leurs logements définitifs.

    […]

    LeFigaro via fdesouche

  • SeaWatch3 : Christophe Castaner annonce que la France va accueillir dix migrants «sans délai»

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2019

    […] Après d’intenses échanges diplomatiques, ils devraient être répartis entre cinq pays européens, l’Allemagne, le Portugal, le Luxembourg, la Finlande et la France qui est prête à accueillir 10 migrants, selon le ministère de l’Intérieur.

    Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, a demandé samedi après-midi une « clarification rapide » des accusations pesant contre Carola Rackete.

    « Sauver des vies est une obligation humanitaire. Le sauvetage en mer ne doit pas être criminalisé », a-t-il plaidé, tout comme son homologue luxembourgeois, Jean Asselborn, tandis que le ministre français de l’Intérieur, Christophe Castaner, estimait que la politique italienne de fermeture des ports était contraire au droit maritime.

    « L’Italie n’accepte de leçons de personnes », a répliqué M. Salvini. Toute la semaine, il a martelé que les migrants du Sea-Watch, secourus dans la zone relevant des garde-côtes libyens, par une ONG allemande à bord d’un navire battant pavillon néerlandais, n’avaient rien à faire en Italie. […]

    Et malgré les difficultés du Sea-Watch, deux autres navires humanitaires, l’Open Arms de l’ONG espagnole Proactiva Open Arms et l’Alan Kurdi de l’ONG allemande Sea-Eye étaient samedi en route vers la zone des secours au large de la Libye.

    lepoint.fr via fdesouche

  • Sexe avec des requérants: le tabou qui gêne les ONG

    Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2019

    Par  le 25/06/2019

    Les relations intimes entre migrants et personnel humanitaire sont une zone grise.

    Lors d’un récent procès à Lausanne, un jeune migrant sur le banc des accusés a détaillé les relations qu’il a eues avec le sexagénaire bénévole qui l’a assisté à son arrivée en Suisse, il y a 11 ans, pour le compte d’Amnesty International.

    Un procès-verbal présenté lors de l’audience recense les aveux signés du bénévole d’Amnesty. L’homme y admet avoir eu une relation avec le demandeur d’asile alors âgé de 18 ans en 2008. S’il conteste des relations sexuelles complètes avec le requérant qu’il assistait pour lui éviter un renvoi dans son pays, il reconnaît l’avoir accueilli dans son lit plusieurs fois pour partager des attouchements à caractère sexuel.

    Le sujet embarrasse visiblement l’organisation humanitaire. Sa porte-parole et sa directrice ont finalement demandé à ne pas être citées.

    […]

    20Min.ch via fdesouche

  • Quotas de migrants ? Non ! Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2019

     

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Quotas de migrants ? Non ! Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !
    Selon l'essayiste, démographe et sociologue Jean-Paul Gourévitch, 7,3 millions d’immigrés vivraient aujourd’hui sur notre sol, soit 11 % de la population, auquel il faudrait ajouter entre 12 % et 14 % de descendants directs d'immigrés, c’est-à-dire au total entre 14 et 16 millions de personnes « venues d'ailleurs ». Quatre fois plus qu'il y a 20 ans.
    Ce constat n’empêche pas l’exécutif de relancer le débat sur l'immigration voulue, choisie et organisée.
    C'est ainsi qu'Emmanuel Macron vient d'ouvrir la porte à l'introduction de quotas destinés selon lui à maîtriser les flux migratoires. Vieille lune que ce concept proposé au début des années 1990 par le duo Pasqua/Seguin lors de leur tentative de puputsch au sein du RPR contre Chirac et Juppé, et repris en 2007 par Sarkozy lors de sa campagne présidentielle. Concept ancien donc et surtout illusoire et fantasmagorique.
    Par définition, en effet, l'immigration illégale échappe à tout contrôle et ne pourrait donc être quantifiée dans une politique de quotas.
    Par légalisme international autant que par soumission à la bien-pensance, il ne saurait non plus être question d’introduire les quotas dans l'attribution des droits d'asile (120 000 demandes en 2018, en hausse de 21 %).
    Reste donc l'immigration dite légale qui concerne désormais 250 000 personnes chaque année.
    Sur ces 250 000 nouveaux entrants, 88 737 premiers titres de séjours délivrés l'année dernière l'ont été au titre du regroupement familial. La remettre en cause irait à l’encontre de la Convention européenne des droits de l'homme que la France a ratifiée et surtout de la Constitution qui stipule que "la Nation assure à l'individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement, et protège le droit à vivre en famille ». Inutile de préciser qu'aucun gouvernement du Système, ne dérogera à des principes républicains aussi éclairés…
    Alors, des quotas pour l’immigration dite économique qui ne concerne que 11 % des entrants ? Mais là encore, on voit mal les entreprises qui ont besoin de flexibilité dans leurs embauches accepter que les taux de répartitions d'emplois soient décidés par l'État ou par le Parlement une fois pour toutes en début d’année de façon discrétionnaire et selon une méthode comptable.
    Nous sommes donc bien dans la mythographie et le mensonge.
    Pour le Parti de la France, notre pays n'a pas besoin d'immigration économique. Dans une France minée par le chômage, une formation adaptée, une adaptation aux réalités économiques, une revalorisation du travail manuel et des salaires qui leurs sont attachés doivent permettre aux nationaux d’occuper tous les postes à pourvoir. Notre pays n'a pas non plus à faire bénéficier des étrangers du « droit à la famille » qui ne doit concerner que les seuls Français. Il n'a pas à accueillir par dizaines de milliers de faux réfugiés.
    L'immigration ne doit pas être organisée. Elle doit être stoppée. Totalement et définitivement.
    Il est pourtant un quota que nous pouvons adopter : celui de la rémigration : la droite nationale au pouvoir fixera donc chaque année le nombre d'étrangers et de faux nationaux, selon leur origine et leur « qualité », afin de procéder à leur retour au pays.
    Jusqu’à épuisement des stocks.
  • Ouistreham (14): Deux passeurs de banlieue parisienne arrêtés avec 2 migrants dans le coffre

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2019

    Par  le 18/06/2019

    Les parents du plus âgé le soutiennent, tandis que le plus jeune voit quatre ou cinq amis de son âge « l’encourager ». A la sortie, l’équipe remonte dans une Audi A4 garée devant le tribunal.

    […]

    Dans le coffre de leur Mercedes classe E, s’imbriquent deux migrants indiens, pris en charge vers Paris.Leur « rapatriement » s’organise depuis Londres où ils retrouvent une partie de leur famille. Ils ont payé près de 5 600 euros. En comparution immédiate du mardi 11 juin, Yassin El Mhamedi, 21 ans et Fahim Baki, 24 ans, écopent tous deux de 18 mois de prison ferme.

    […]

    Tendance Ouest via fdesouche