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migrants - Page 52

  • Redon (35) : des jeunes marchent pour les migrants

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Par  le 07/08/2019

    Une trentaine d’adolescents marchent depuis le 16 juillet le long du canal de Nantes à Brest pour sensibiliser les gens à la cause des migrants. Une initiative lancée par Camille une Redonnaise de 14 ans.

    Depuis le 16 juillet ils marchent et ils parlent. Camille et ses copains sont partis de Redon en direction du Finistère le long du canal de Nantes à Brest pour une randonnée solidaire de 3 semaines. Sur la période une trentaine de jeunes se sont relayés sur ce camp de vacances un peu particulier. Et parmi eux 8 jeunes migrants.

    Le groupe va de village en village, de camping en camping et rencontre du monde. L’échange, la discussion avec les personnes est le moteur même de leur aventure. Ils veulent sensibiliser leurs concitoyens à la vie que mènent les migrants et déconstruire tous les préjugés. Chaque soirs lors des veillés les adolescents se racontent leur vie et leur vision du monde.

    Repas et concerts pour échanger et collecter des fonds

    Sur 6 étapes des soirées ont été organisées avec des associations ou des hôtes locaux. C’est le cas à Chateaulin ce 5 août. Le groupe d’adolescents âgés de 14 à 16 ans sont accueillis au Ren ar Puns, un bar associatif. Ensemble ils ont organisé un repas solidaire et une soirée de concerts qui vont permettre à tous de vivre un bon moment ensemble mais aussi de collecter des sous pour l’association « Soutien migrants Redon ». […]

    francetvinfo.fr via fdesouche

    Les gens qui vont penser « on est envahis par les migrants » alors qu’au final les migrants représentent moins de 1% de la population mondiale, bah je trouve que c’est un peu idiot, du coup j’aimerais qu’ils comprennent qu’il ne faut pas se baser sur des préjugés pour se fonder un avis, faut essayer de se baser sur des faits réels.

    Camille

  • Migrants : Le diocèse de Bordeaux appelle à soutenir une association anarchiste anti-catholique

    Publié par Guy Jovelin le 05 août 2019

    Par  le 02/08/2019

    Dans un communiqué de presse signé par Michel Barrabès, délégué épiscopal pour la « Pastorale des Migrants », le diocèse de Bordeaux appelle les catholiques à la « solidarité » avec les migrants.

    Celui qui est également diacre (photo) et qui office dans le secteur des Graves « lance un appel à la solidarité » et demande aux catholiques de rejoindre les associations d’extrême gauche qui luttent contre la préfecture, et aident de nombreux immigrés en situation irrégulière.

    « Au cœur de l’été, de nombreuses associations d’entraide se trouvent à court de bénévoles. Nous lançons donc un appel à la solidarité à tous les catholiques du diocèse de Bordeaux pour qu’ils apportent leur soutien et aide, chacun selon ses moyens, aux hommes et femmes de bonnes volontés déjà mobilisés pour aider ces personnes mises à la rue (…) vous pouvez vous rendre directement à l’Athénée libertaire, 7 rue du Muguet, où le Collectif des Migrants de Bordeaux assure un accueil de jour au mois d’août (accueil et orientation, tri des vêtements, permanence juridique quotidienne de 10h à 12h, distribution d’un repas en fin d’après-midi…) (05 56 81 01 91) ».

    Ce que ne précise pas le diocèse de Bordeaux dans ce message envoyé à de nombreux catholiques de Gironde, c’est que l’Athénée libertaire est le fief des milieux anarchistes et violemment anticatholiques.

    Ce local situé dans le centre-ville de Bordeaux se définit comme « un espace associatif militant, crée dans les années 60 par des militant-e-s anarchistes bordelais-e-s. Ce lieu héberge des activités de libertaires sur Bordeaux. Il favorise des rencontres, des initiatives, des débats, des échanges sur d’autres bases que celles du fric, de la consommation, de l’aliénation, de l’exploitation et de la domination ».

    Ce sont des associations hébergées dans ce local qui avaient en 2011 dégradé la libraire catholique « La Barque des apôtres » (voir notre article). Ces derniers militent pour « le droit à l’euthanasie », « L’abolition du genre : le sexe biologique ne détermine plus la place des individu.es, les catégories hommes – femmes cessent d’être la norme de référence pour l’organisation de la société », « l’IVG libre et gratuit », ou encore « le libre choix de nos sexualités ».

  • Toulouse (31) : la French Tech recherche une dizaine de candidats, dont des réfugiés, pour son nouveau tremplin

    Publié par Guy Jovelin le 02 août 2019

     

    La French Tech a annoncé le déploiement national de son nouveau programme tremplin. Ce dernier a pour objectif de donner la possibilité aux entrepreneurs débutants issus de tous les milieux sociaux (réfugiés, étudiants boursiers etc) de rejoindre l’écosystème. (…)

    Le secrétaire d’État au numérique Cédric O a présenté le 11 juillet le lancement national du nouveau programme de la French Tech, baptisé French Tech Tremplin. L’organisation a pour objectif de rompre l’homogénéité des profils de ses entrepreneurs en attirant des personnalités jusqu’alors peu représentées dans le secteur (étudiants boursiers, réfugiés, personnes issues de milieux défavorisés etc). « Notre écosystème souffre encore d’un manque de diversité, aussi bien sociale que de genre et d’âge », affirme la French Tech.

    « Actuellement, 90% des startuppers sont des hommes, 71% ont fait une grande école (de commerce ou d’ingénieurs) et seuls 1% d’entre eux sont des autodidactes. Le manque de mixité sociale prive notre écosystème de nombreux talents et pèse sur sa compétitivité », explique la structure. (…)

     

    La Tribune via fdesouche

  • Rennes (35) : les migrants déplorent leurs conditions de vie dans les gymnases et réclament des logements

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2019

    Par  le 01/08/2019

    Les gymnases de la Motte-Brûlon et du Haut-Sancé à Rennes accueillent tout l’été des familles de migrants. Les occupants y relatent leurs difficiles conditions de vie. En attendant qu’un centre d’accueil soit ouvert à la fin de l’année.

    Les cris des enfants résonnent. La chaleur et les odeurs de nourriture se mélangent. Le gymnase de la Motte-Brûlon à Rennes accueille depuis le début du mois de juillet des familles de migrants avec leurs enfants, environ 50 personnes. Des conditions de vie difficiles pour ces étrangers, ni expulsés du territoire, ni régularisés. Les familles seront évacuées à la fin du mois d’août, avant la rentrée scolaire et le retour des associations sportives dans les bâtiments.

    La demande de logement des migrants ne cesse de croître à Rennes. Entre 500 et 600 personnes seraient hébergées par la ville. Le manque de place dans les hôtels conventionnés et les expulsions des squats – tel que la Tour Europe de Maurepas en juin – n’arrangent pas la situation. « L’accueil dans les gymnases, c’était le dernier recours. Il faut trouver des biens disponibles, s’organiser avec les associations et accueillir ces familles quelques mois », explique Frédéric Bourcier, adjoint délégué à la solidarité et à la cohésion sociale à la maire de Rennes.
     
    (…)
     
  • Paris : les Gilets Noirs à nouveau rassemblés, « La peur a changé de camp »

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2019

    Par  le 29/07/2019
    « Gilets Noirs cherchent Premier ministre« . C’est sous cette banderole que le collectif de sans-papiers qui a occupé le Panthéon le 12 juillet dernier s’est rassemblé, place de la Sorbonne, ce samedi 27 juillet. Leur objectif : faire le point sur leur action. L’occasion pour ces travailleurs sans-papiers de témoigner de leur quotidien. Soutenus par des collectifs habitués à travailler avec les migrants, comme La Chapelle Debout, ou la Cimade, des travailleurs sans-papiers ont, tour à tour, raconté leur expérience en France et leurs arrestations lors de l’occupation du Panthéon, il y a un peu plus de deux semaines.

    Ils n’ont pas obtenu d’autorisation préfectorale pour se réunir devant le Panthéon. Les « Gilets noirs » ont décidé de se rassembler, place de la Sorbonne, à quelques pas du monument. Il est près de midi quand les prises de paroles commencent. Quelques policiers sont présents et entourent la place, sans être inquiétants.

    Le collectif La Chapelle Debout interpelle le gestionnaire du Panthéon, David Madec, accusé « d’avoir collaboré avec la police, en voulant faire passer les « Gilets noirs » pour des sauvages qui envahissent la République et bafouent sa mémoire. » Le ton accusateur est donné. Il s’agit pour les différents collectifs présents d’exprimer leur vision des faits. Diakité, un des membres du collectif « Gilets noirs » prend alors la parole pour raconter l’occupation : « On n’a jamais été violents, on n’a jamais insulté, ni frappé qui que ce soit. Nous sommes venus réclamer nos droits. » […]

    Du travail au noir, aux mariages blancs, en passant par le danger d’être à la rue, Rodrigue tient à alerter des dangers de sa situation : « Le mouvement des « Gilets noirs » ne revendique rien d’autre que le respect des droits des humains. Quand on vous parle du travail au noir, il ne s’agit pas de la suite de ‘Germinal’. Ce sont des muscles, des intelligences, des gens employés mais qui échappent à la fiscalité. Nous voulons rendre cela à la France. Le système fabrique des SDF. Nous ne voulons pas avoir à nous marier ou à faire des enfants avec des Français ou Françaises pour être régularisés. Nous voulons être amoureux avant de nous marier, sans chercher les papiers, car la situation actuelle crée des cas de crise très graves. » […]

    TV5 Monde via fdesouche