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migrants - Page 55

  • Sexe avec des requérants: le tabou qui gêne les ONG

    Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2019

    Par  le 25/06/2019

    Les relations intimes entre migrants et personnel humanitaire sont une zone grise.

    Lors d’un récent procès à Lausanne, un jeune migrant sur le banc des accusés a détaillé les relations qu’il a eues avec le sexagénaire bénévole qui l’a assisté à son arrivée en Suisse, il y a 11 ans, pour le compte d’Amnesty International.

    Un procès-verbal présenté lors de l’audience recense les aveux signés du bénévole d’Amnesty. L’homme y admet avoir eu une relation avec le demandeur d’asile alors âgé de 18 ans en 2008. S’il conteste des relations sexuelles complètes avec le requérant qu’il assistait pour lui éviter un renvoi dans son pays, il reconnaît l’avoir accueilli dans son lit plusieurs fois pour partager des attouchements à caractère sexuel.

    Le sujet embarrasse visiblement l’organisation humanitaire. Sa porte-parole et sa directrice ont finalement demandé à ne pas être citées.

    […]

    20Min.ch via fdesouche

  • Quotas de migrants ? Non ! Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2019

     

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Quotas de migrants ? Non ! Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !
    Selon l'essayiste, démographe et sociologue Jean-Paul Gourévitch, 7,3 millions d’immigrés vivraient aujourd’hui sur notre sol, soit 11 % de la population, auquel il faudrait ajouter entre 12 % et 14 % de descendants directs d'immigrés, c’est-à-dire au total entre 14 et 16 millions de personnes « venues d'ailleurs ». Quatre fois plus qu'il y a 20 ans.
    Ce constat n’empêche pas l’exécutif de relancer le débat sur l'immigration voulue, choisie et organisée.
    C'est ainsi qu'Emmanuel Macron vient d'ouvrir la porte à l'introduction de quotas destinés selon lui à maîtriser les flux migratoires. Vieille lune que ce concept proposé au début des années 1990 par le duo Pasqua/Seguin lors de leur tentative de puputsch au sein du RPR contre Chirac et Juppé, et repris en 2007 par Sarkozy lors de sa campagne présidentielle. Concept ancien donc et surtout illusoire et fantasmagorique.
    Par définition, en effet, l'immigration illégale échappe à tout contrôle et ne pourrait donc être quantifiée dans une politique de quotas.
    Par légalisme international autant que par soumission à la bien-pensance, il ne saurait non plus être question d’introduire les quotas dans l'attribution des droits d'asile (120 000 demandes en 2018, en hausse de 21 %).
    Reste donc l'immigration dite légale qui concerne désormais 250 000 personnes chaque année.
    Sur ces 250 000 nouveaux entrants, 88 737 premiers titres de séjours délivrés l'année dernière l'ont été au titre du regroupement familial. La remettre en cause irait à l’encontre de la Convention européenne des droits de l'homme que la France a ratifiée et surtout de la Constitution qui stipule que "la Nation assure à l'individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement, et protège le droit à vivre en famille ». Inutile de préciser qu'aucun gouvernement du Système, ne dérogera à des principes républicains aussi éclairés…
    Alors, des quotas pour l’immigration dite économique qui ne concerne que 11 % des entrants ? Mais là encore, on voit mal les entreprises qui ont besoin de flexibilité dans leurs embauches accepter que les taux de répartitions d'emplois soient décidés par l'État ou par le Parlement une fois pour toutes en début d’année de façon discrétionnaire et selon une méthode comptable.
    Nous sommes donc bien dans la mythographie et le mensonge.
    Pour le Parti de la France, notre pays n'a pas besoin d'immigration économique. Dans une France minée par le chômage, une formation adaptée, une adaptation aux réalités économiques, une revalorisation du travail manuel et des salaires qui leurs sont attachés doivent permettre aux nationaux d’occuper tous les postes à pourvoir. Notre pays n'a pas non plus à faire bénéficier des étrangers du « droit à la famille » qui ne doit concerner que les seuls Français. Il n'a pas à accueillir par dizaines de milliers de faux réfugiés.
    L'immigration ne doit pas être organisée. Elle doit être stoppée. Totalement et définitivement.
    Il est pourtant un quota que nous pouvons adopter : celui de la rémigration : la droite nationale au pouvoir fixera donc chaque année le nombre d'étrangers et de faux nationaux, selon leur origine et leur « qualité », afin de procéder à leur retour au pays.
    Jusqu’à épuisement des stocks.
  • Ouistreham (14): Deux passeurs de banlieue parisienne arrêtés avec 2 migrants dans le coffre

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2019

    Par  le 18/06/2019

    Les parents du plus âgé le soutiennent, tandis que le plus jeune voit quatre ou cinq amis de son âge « l’encourager ». A la sortie, l’équipe remonte dans une Audi A4 garée devant le tribunal.

    […]

    Dans le coffre de leur Mercedes classe E, s’imbriquent deux migrants indiens, pris en charge vers Paris.Leur « rapatriement » s’organise depuis Londres où ils retrouvent une partie de leur famille. Ils ont payé près de 5 600 euros. En comparution immédiate du mardi 11 juin, Yassin El Mhamedi, 21 ans et Fahim Baki, 24 ans, écopent tous deux de 18 mois de prison ferme.

    […]

    Tendance Ouest via fdesouche

  • Sauvetage de migrants en Méditerranée : une capitaine risque jusqu’à 20 ans de prison

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2019

     

     
     
    Cyril Simon

    L’Allemande Pia Klemp, 35 ans, est soupçonnée par la justice italienne d’aide et de complicité à l’immigration illégale au large de l’île de Lampedusa.

    En France, le visage de l’aide aux réfugiés se nomme Cédric Herrou, aux prises avec la justice depuis plusieurs années pour ses activités à la frontière franco-italienne. À l’échelle européenne, l’Allemande Pia Klemp va-t-elle incarner l’épineuse problématique du « délit de solidarité » ?

    L’ancienne capitaine du navire « Sea Watch 3 », âgée de 35 ans, doit être jugée par la justice italienne dans le cadre de ses sauvetages de migrants en mer Méditerranée. Soupçonnée « d’aide et de complicité à l’immigration illégale » de 2016 à 2017, elle risque jusqu’à 20 ans de prison, selon son avocat.

    Ce procès s’annonce très symbolique puisque le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a plusieurs fois assimilé les missions de certains navires au trafic des passeurs - une position partagée par son homologue français Christophe Castaner.

    [...]

    article complet:

    via lesobservateurs

  • SNCF : 1,3 million d’euros pour «accompagner» des migrants et les aider à s’intégrer

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2019

    Par  le 30/05/2019

    Souvent mise en présence des réfugiés dans ses trains et ses emprises ferroviaires, SNCF lance un programme d’1,3 million d’euros pour les aider à s’intégrer, par l’intermédiaire d’associations mais aussi par l’action directe de ses salariés.

    La crise migratoire européenne est un enjeu économique, social et politique majeur. Le train est pour les migrants un moyen de transport souvent utilisé pour circuler en Europe. Face aux flux de migrants, SNCF – tout en assurant la sécurité de ses infrastructures – a mis en œuvre des actions de prévention pédagogiques pour les migrants et de sensibilisation pour les agents avec l’aide d’associations.

    Aujourd’hui, elle passe à l’étape supérieure, comme l’explique Stéphane Volant, secrétaire général :« SNCF a pris les mesures de sécurité qui s’imposaient pour protéger les migrants. Aujourd’hui, il faut aller plus loin et aider les réfugiés à s’intégrer« .

    sncf via fdesouche